Régis Debray

Cependant on ne peut pas les confondre car il a pu exister par le passé des République non-démocratique. Comme la République de Venise. D’autre part, il existe des Démocraties qui ne sont pas des républiques comme les Monarchies Constitutionnelles. Régis Debray : « La Démocratie c’est la République quand on a éteint les Lumières ». A. La nature démocratique du régime La France s’inspire des démocraties libérales. Sont caractère démocratique découle de la Constitution et de son principe d’égalité des

Constitution est donc au sommet de la hiérarchie des normes en France. Les juges constitutionnels sont 9 membres nommés pour 9 ans, 3 nommés par le président de la république, 3 nommés par le président du sénat et 3 nommés par le président de l ‘assemblée (Debray). Plusieurs raisons expliquent donc que la constitution est au sommet de la hiérarchie des normes. D’abord la conception de la constitution, il s’agit du pacte social entre gouvernants et gouvernés, ensuite la deuxième raison est la procédure d’élaboration

du Sénat, il est désigné par les téléspectateurs comme « le plus grand Français de tous les temps », devançant notamment Louis Pasteur, l'Abbé Pierre, Marie Curie, Coluche, Victor Hugo. Une partie des centristes, voire de la gauche, à l'image de Régis Debray, déclare aujourd'hui trouver en lui un inspirateur[réf. nécessaire]. Selon un sondage effectué en 2005, dans le contexte du dixième anniversaire de la disparition de François Mitterrand, ce dernier, seul président de gauche de la Ve République

Français jugeaient positivement l’action du Général. Une émission de France 2 le proclama élu par les téléspectateurs "le plus grand Français de tous les temps" (2006). Une partie des centristes, de la gauche voire de l’extrême-gauche, à l’image de Régis Debray, déclare aujourd’hui trouver en lui un inspirateur. Tout cela a permis à beaucoup de rappeler une phrase célèbre d’André Malraux : « tout le monde a été, est ou sera gaulliste ». Charles de Gaulle est probablement le Français le plus connu au

Berlin und Amsterdam 1995, ISBN 3-89408-052-3. 6. ↑ Vgl. Ernesto Che Guevara: Partisanenkrieg – eine Methode. Mensch und Sozialismus auf Kuba. Mit einem Vorwort von Erich Eisner (SDS München). Eigenverlag, SDS München, SDS Köln September 1966; Régis Debray: Revolution in der Revolution? Bewaffneter Kampf und politischer Kampf in Lateinamerika. Trikont Verlag, München 1967; Ernesto Che Guevara: Brief an das Exekutivsekretariat von OSPAAL: Schaffen wir zwei, drei, viele Vietnam. Das Wesen des Partisanenkampfes

établissements confessionnaux, et c’est ce qui fut à l’origine de la polémique chez les tenants d’une pure laïcité. La question qui demeure au sujet de la laïcité de l’éducation, actuelle et sujette à débat, est soulevée par le philosophe et médiologue Régis Debray : faut-il enseigner le fait religieux à l’école ? L’auteur suggère qu’on enseigne la culture religieuse et non ses dogmes, et le débat à ce sujet est d’actualité.

du Sénat, il est désigné par les téléspectateurs comme « le plus grand Français de tous les temps », devançant notamment Louis Pasteur, l'Abbé Pierre, Marie Curie, Coluche, Victor Hugo. Une partie des centristes, voire de la gauche, à l'image de Régis Debray, déclare aujourd'hui trouver en lui un inspirateur. Selon un sondage effectué en 2005, dans le contexte du dixième anniversaire de la disparition de François Mitterrand, ce dernier, seul président de gauche de la Ve République, est considéré

conditions de nominations au Conseil et la présence d'ancien présidents de la République éminemment politique et qui n'ont en principe pas leur place dans une si importante instance juridique. Les 3 derniers membres sont Renaud Benoît de Saint Marre. JL Debray et ? Le conseil réunit l'ensemble des membres nommés et de droit de l'institution, et ne peut se réunir que si une condition de quorum est satisfaite (pourcentage déterminé de membres présent). Le secrétaire général joue un rôle essentiel au

l’activité humaine ; d’autres sont l’expression, de la part du fabricant du paysage, d’une volonté de sens à l’égard du futur spectateur, projetant vers lui des signes (on est là proche du concept de « monument-message », utilement distingué par Régis Debray1). Se pose dans ce dernier cas la question du code utilisé et de son domaine de validité : qui reconnaîtra une limite de parcelle dans un arbre cornier là où d’autres ne verront qu’un élément du décor champêtre, et à quoi le reconnaîtra-t-on

Nouveau fondement de l'ordre humain, ils auraient un caractère sacré. Les droits de l'homme ont ainsi pu être définis comme la « religion de l'humanité » (Nadine Gordimer), comme une « religion séculière mondiale » (Elie Wiesel). Ils sont, écrit Régis Debray, « la dernière en date de nos religions civiles, l'âme d'un monde sans âme (Que vive la République, Odile Jacob, 1989, p. 173). Une évidence est de l'ordre du dogme : elle ne se discute pas. C'est pourquoi il paraît aujourd'hui aussi inconvenant