Regard Porté Sur Les Monstres

temps s'était dit la petite Charlotte, couchée dans son lit, les mains sur les oreilles pour ne pas entendre les cris, cachée sous la couverture. En fait ça faisait presque un an que son père était « dans cet état ». Charlotte entendit le bruit d'une porte que l'on ferme violemment, puis un long sanglot glissa en dehors du salon. Elle sortit de sa chambre sur la pointe des pieds, et marcha doucement jusqu'au salon. Elle aimait marcher sur la moquette Charlotte, c'était doux et chaud, et ça lui chatouillait

rouage de cette mécanisation et il est avalé | Bilan et transition | II/ Une représentation littéraire de la condition ouvrière a) Focalisation à travers le regard du nouveau venu b) Une vision infernale c) Une vision symbolique et apocalyptique | « il ne comprenait rien »« il semblait ne pas les sentir passer »« beuglement » du porte-voix« et quand ça casse ? »« voreux » (pas dans le texte : paratexte)« avalait », « bouchées », « d’un coup de gosier », « sonnant à la viande », « chargement

de l'enlèvement de Junie ont éveillé son amour pour elle. Comment le récit de l'enlèvement de Junie annonce l'amour ambigu que Néron porte à celle-ci ?Dans un premier temps, nous montrerons que ce récit est en contraste, puis que ce récit est le récit d'un coup de foudre et enfin nous évoquerons le personnage de Néron qui est frappé par la folie, et dont le monstre s'éveille en lui. Nous allons tout d'abord montrer que ce récit est un récit en contraste. Premièrement, dans cet extrait on a le

menton. Et ses yeux – ses yeux étaient d’une merveilleuse limpidité. Ils semblaient vous lancer sans cesse des regards complices pleins d’étincelles. Tout son visage était, pour ainsi dire, illuminé de gaieté, de bonne humeur. Et, oh ! comme il avait l’air futé ! Plein d’esprit, de malice et de vivacité ! Il avait des drôles de petits gestes saccadés, sa tête bougeait sans cesse et son vif regard se posait partout, enregistrait tout en un clin d’œil. Tous ses mouvements étaient rapides comme ceux d’un

LA MÈRE AUX MONSTRES Guy de MAUPASSANT Je me suis rappelé cette horrible histoire et cette horrible femme en voyant passer l'autre jour, sur une plage aimée des riches, une Parisienne connue, jeune, élégante, charmante, adorée et respectée de tous. Mon histoire date de loin déjà, mais on n'oublie point ces choses. J'avais été invité par un ami à demeurer quelque temps chez lui dans une petite ville de province. Pour me faire les honneurs du pays, il me promena de tous les côtés, me fit voir

Sphinx. L'acte II, le texte étudié, est le passage où la jeune fille se transforme en Sphinx.Comment Cocteau nous présente la rencontre de ses personnages ?Tout d'abord, nous allons nous intéressé à la confrontation entre le héros du recueil et le monstre. Ensuite sur les différents registre présent dans le texte et finalement nous étudierons l'autoportrait du Sphinx.Dans ce passage, Œdipe est amené à se confronter au Sphinx. Quand la jeune fille se transforme en Sphinx, il est d'abord surpris puis

Jean-Jacques Rousseau écrit dans la Lettre à Monsieur d'Alembert sur les spectacles : "Le vrai misanthrope est un monstre. S'il pouvait exister, il ne ferait pas rire, il ferait horreur (...)" Dans quelle mesure ce jugement vous paraît-il pouvoir s'appliquer au Bourru de Ménandre et au Misanthrope de Molière? Ce qui frappe au premier abord dans cette sentence de Rousseau, quand il s’agit d’étudier la misanthropie, c’est que de misanthropie il n’est pas question. Ou plutôt, le vrai misanthrope

conséquence concrète. b. Humainement grande Avec le passage au futur, le vocabulaire de l’absolu. Toutes les phrases sont exclamatives et enfin, l’ultime affirmation. Il est celui qui ose dire non à l’ordre établi, aux troupeaux de monstres. Il nous propose un modèle. Un dénouement dont la forme originale, le monologue est signifiante, avec une théâtralisation tragique du conflit intérieur du personnage. Un dénouement qui souligne les enjeux de la pièce : difficulté d’être soi face

tables, tournèrent leur attention vers ces énigmatiques silhouettes. On entendit des murmures dans toute la salle : "Qui sont-ils ?" "Que font-ils ?"... Une vague de froid pénétra à l'intérieur du gîte, les deux protagonistes refermèrent alors la porte d'entrée. On eut d'abord du mal à les identifier, tous deux étaient vêtus de longs manteaux noirs dont la capuche ne laissait apparente que leur bouche. Ils prirent la direction du comptoir, adoptant une démarche lente et laissant retentir le bruit

entourée de monstres. La femme qu'il aimait depuis très longtemps était en danger. Le musicien joua sa plus belle musique pour distraire les monstres. Il fit un signe a Arianne pour qu'elle s'enfuit, pendant qu'il joua les notes si aigus que les monstres ne purent pas avancer et s'écroulerent sur place. Puis, il rejoigna la jolie femme qui lui dit: "Je ne sais pas comment vous remercier, mais je sais que vous devez confronter la sorcière et mon collier vous aidera a ouvrir la porte du château de