Regard Critique De Bachelard Sur La Science

peut-être fait un livre ou des fragments de livre, le contraire assurément d’une œuvre. J’admire ces penseurs qui poursuivent avec rigueur et endurance une pensée philosophique majeure. Leur fidélité aux grands textes et la force de leurs lectures critiques en fait à la fois des constructeurs et des créateurs. Avec une autorité sans fondement, ils érigent une œuvre plus monumentale que leur modestie ne peut le faire paraître. Je pense à Heiddeger, à Lévinas, à Dérida et bien sûr aussi à Foucault, à

le genre: éternel féminin, éternel masculin ? L'histoire d'une disqualification INTRODUCTION Dans l’histoire des sciences, la différence sexuelle a été envisagée comme la plus générale que toutes celles qui existent entre les corps. Reléguant les caractéristiques ethniques au rang de particularités secondes, la différence sexuelle est supposée être universelle et s’appliquer à toute l’humanité. L’étymologie du mot « sexe » vient d’ailleurs accréditer l’idée d’une partition dichotomique

Adagp, Paris 1 Centre Pompidou / Dossiers pédagogiques / Art et philosophie : LA PERCEPTION, UN CHOIX DE TEXTES PHILOSOPHIQUES Introduction L’art comme libération des potentialités perceptives La perception : art vs science Voir au-delà de la perception Le regard innocent est un mythe La perception réfléchie L’art pense les contradictions du monde perçu La perception des œuvres, la perception comme œuvre Conclusion 2 3 5 9 12 13 17 19 21 INTRODUCTION En bouleversant les

longtemps été perçue négativement à l’intérieur de l’institution scolaire : faire des erreurs, c’était « ne pas faire attention », « ne pas apprendre ses leçons », voire « faire n’importe quoi ». Mais depuis les travaux d’épistémologie des sciences de Gaston Bachelard montrant, avec la notion d’obstacle épistémologique, que le traitement de l’erreur est le passage obligé de la connaissance, la perception de l’erreur au sein de l’école a changé. Aujourd’hui, certains chercheurs, à l’instar de Jean-Pierre

Science et Technique Il est courant de confondre la science et la technique, de les prendre l'une pour l'autre, d'employer indifféremment le mot science à la place du mot technique tout comme il est courant de les associer l'une à l'autre. Ex : parler du progrès de la science alors qu'on veut parler d'innovations technologiques, parler des progrès de la science alors qu'on pense à l'amélioration ou à la découverte d'une technique ou dire d'une prouesse technique qu'elle est une réussite de

LE THEME DE L'EAU DANS LA VIE ET DANS L'OEUVRE DE MAUPASSANT '- LE THEME DE L'EAU DANS LA VIE ET DANS L'QETNRE DE GUY DE MAUPASSANT by Michelle Cuoq L'oeuvre littéraire de chaque grand écrivain est, selon Bachelard, baignée par un des quatre éléments traditionnels: l'eau, l'air, la terre et le feu. Cela est tout-à-fait vrai en ce qui concerne Maupassant puisque l'eau baigne à la fois son oeuvre et sa vie. L'eau, sous toutes ses formes, a inspiré cet écrivain et a occupé dans sa courte vie une

cela revient à faire un usage public de sa raison (« qu’est ce que les lumières ? »). « Quel serait l’ampleur et la justesse de notre pensée si nous ne pensions pas en quelque sorte en communauté avec d’autres à qui nous communiquons nos pensées. » Critique de la faculté de juger. Se cultiver est une action c'est-à-dire une initiative, un cheminement volontaire de chacun d’entre nous. Selon Cassirer, « c’est cette œuvre, c’est le système de ces activités qui définit et détermine le cercle de l’humanité »

La Terre est ronde, c’est ce qu’à démontré la science, une vérité que l’on peut démontrer de manière théorique et pratique. Ainsi la science serait seule à pouvoir rechercher la vérité, elle en aurait le monopole. La science amène déjà des vérités mais en-a-t-elle le monopole ? Il convient de distinguer trois formes de sciences : les sciences formelles, les sciences de la nature et les sciences humaines qui ont chacune leur objet d’étude. La science vise à établir la connaissance d’un objet choisi

néo-positivistes. Dans une large mesure, cette citation de Karl Popper trouve sa pertinence à l’encontre de la théorie néopositive. Elle exprime, à juste titre, sa position critique à l’égard du Cercle de Vienne. Ses travaux incitent les épistémologues à remettre en question l’orthodoxie des méthodes de l’école positiviste empiriste 2. Seule la science juridique, probablement, par méconnaissance de l’analyse poppe- rienne, n’a pas sérieusement renoncé au raisonnement du Cercle de Vienne. Le caractère rigoureusement

glisse pas des idées sous-entendues, implicites et présupposées. Par exemple, dans le présent sujet, il est question du progrès de la « vérité scientifique ». Eh bien avant de se demander si la science progresse, il faut s’interroger sur le sens même de l’expression « vérité scientifique ». Est-ce que la science a un type de vérité spécifique ? Y a-t-il un sens à parler de vérité scientifique, de vérité historique, de vérité religieuse, etc. ? La vérité ne serait-elle pas toujours la même, qu’elle soit