Refuser L Inconscient

aussi reconnaître l’existence d’une vie psychique inconsciente. I- La théorie Freud est à l’origine un médecin intéressé par la neurologie et son ordre premier est thérapeutique or pour atteindre cet objectif il faut comprendre les maladies mentales. Il est donc amené à élaborer une théorie qui permet une meilleure compréhension du psychisme humain, il veut donner un fondement scientifique à celle-ci. La grande théorie de Freud est le refus d’expliquer les maladies mentales par des causes organiques

cela se réfère-t-elle aussi à la pensée ? Si, après ce résultat donné, nous utilisons que trois pourcent de ce six pourcent, sommes nous libre ? La liberté fait qu’on peut faire et penser ce qu’on veut. Si on n’est pas libre, on est inconscient et si on est inconscient, on ne se connaît pas nous-mêmes. Diderot a écrit que « ce qu’on n’a jamais mis en question, n’a point être prouvé ». Il nous explique qu’il faut simplement essayer de trouver une limite pour voir s’il y en a une. Nous seront autorisé

fois c’est toujours nier l’évidence, c’est savoir qu’une chose que l’on dit est fausse mais l’affirmer quand même, on refuse de comprendre et d’admettre l’évidence. Cela pourrait impliquer de ne pas vouloir exprimer une vérité qui dérange, ou bien trop de fierté pour avouer que l’on a tort. Dans tous les cas, la mauvaise foi revient en quelque sorte à se mentir à soi-même. Ici on refuse d’admettre une vérité que l’on connaît pourtant. Aussi, on pourrait prendre l’exemple d’un événement historique marquant

l’existence en nous d’une activité psychique inconsciente. Pourtant ce qui fait qu’à travers le temps je continue de me reconnaître, c’est justement l’unité de mes pensées en une seule et même conscience, un même moi. Introduire l’idée qu’il y ait des pensées non conscientes dans mon esprit n’est-ce pas menacer l’unité du sujet ? L’hypothèse d’un inconscient psychique revient-elle à admettre un autre moi en moi ? Ou bien l’hypothèse d’un inconscient psychique revient à admettre un autre moi en moi

règles morales et sociales. On dit de quelqu’un qui a mal agi, qu’il est inconscient ! Mais en définitive qu’elle soit psychologique, physiologique ou moral, l’inconscience évoque toujours ce défaut de vigilance, de lucidité, d’attention à l’environnement et à nous-mêmes. Je reviens donc aux motifs de l’inconscience et insiste sur ce paradoxe : pourquoi désirer consciemment et délibérément plonger dans un état inconscient et involontaire ? Encore une fois, en principe le désir se porte vers un

règles morales et sociales. On dit de quelqu’un qui a mal agi, qu’il est inconscient ! Mais en définitive qu’elle soit psychologique, physiologique ou moral, l’inconscience évoque toujours ce défaut de vigilance, de lucidité, d’attention à l’environnement et à nous-mêmes. Je reviens donc aux motifs de l’inconscience et insiste sur ce paradoxe : pourquoi désirer consciemment et délibérément plonger dans un état inconscient et involontaire ? Encore une fois, en principe le désir se porte vers un espoir

celles qui sont claires et celles qui sont obscures. Et ces dernières peuvent être de plus en plus obscures, jusqu’au point où, étant à peine senties, on peut se demander même si elles parviennent à la conscience, si elles ne sont pas entièrement inconscientes. D’où la question : l’inconscient n'est-il qu'une conscience obscurcie, c'est-à-dire une moindre conscience (ce qui, par exemple, dans notre vie psychique est inaperçu faute d'attention) ou bien l'inconscient est-il une instance spécifique distincte

elle-même. L’important c’est la nature de la relation entre l’aidant et la personne aidée: Une série de phénomènes totalement inconscients se mettent en place. Ex: quelqu’un peut nous apparaître d’emblée comme sympathique ou au contraire comme antipathique. Inconsciemment, nous avons effectué ce que l’on appelle en psychanalyse une projection. C’est un processus inconscient, un jet en avant. Des perceptions internes, des affects notamment, sont projetées, à notre insu, vers l’extérieur. Une personne

suis responsable de chacun de mes actes. En tant qu’être humain, et en tant que citoyen, j’ai nécessairement autant de droits que j’ai de responsabilités. "Ce dont je n'ai pas conscience" signifie ce qui échappe à ma perception, ce qui est en moi inconscient. Si je laisse mon regard être captivé par les publicités à la télé je n’ai donc pas conscience des implications de la publicité, de l’intention réelle du publicitaire, de la manipulation dont je fais l’objet. De quoi peut-on donc avoir conscience

Carl-Gustav Jung. L'inconscient collectif Dans Totem et Tabou (1913), Freud avait étudié des thèmes inconscients de la mentalité primitive, particulièrement sensibles dans les mythes: "Chez eux, écrit Freud en parlant des primitifs, les rapports symboliques n'appartiennent pas en propre au rêveur, et ne caractérisent pas uniquement le travail qui s'accomplit au cours de ses rêves: les mythes et les contes, le peuple dans ses proverbes et ses chants, utilisent le même symbolisme." Après avoir