Réductionnisme

multicritérielle Part relative de marché Echelle à 5 niveaux : marginale, faible, favorable, forte, dominante Richesse de l’analyse Simplicité, clarté, opérationnalité multidimentionnali té de la réflexion interne et externe limites Réductionnisme (l’analyse stratégique est menée avec 2 variables Limites de la théorie du cycle de vie et difficulté de la détermination des phases Subjectivité Illusion pseudoscientifique (évaluation : notes et pondérations) I- L’analyse (diagnostic

d'êtres vivants qui non seulement étaient inimaginables avant mais qui, surtout, n'auraient jamais pu voir le jour16. Le 14 avril 2003, la fin du séquençage du génome humain est annoncée. Les années 2010 vont vers la fin du "tout gène" et du réductionnisme de la génétique moléculaire des quarante dernières années avec la découverte de phénomènes épigénétiques liés à l'influence de l'environnement sur le gène17.

Niels Bohr : les contraires sont complémentaires. Le spectacle vivant, comme son nom l’indique, exprime la vie (« bios » pour reprendre le terme de Barba9) dans toute sa complexité et ses contradictions impossibles à résoudre. Pour éviter ce réductionnisme, l’ethnoscénologie privilégie une méthodologie qui tient compte de la complexité des mécanismes au lieu de les figer dans des « taxonomies mécanicistes »10. La recherche est introduite par une analyse linguistique du corpus qui tend à éviter la

données. Chapitre 6 Le chapitre six concerne des aspects sociologiques. Le progrès de l'information se heurte souvent à la lente évolution des MENTALITÉS. Référentiels de l'utilisateur et de l'informaticien s'opposent. Une forme particulière de réductionnisme appauvrit l'information. La forte spécialisation du travail informatique peut nuire aux entreprises. Chapitre 7 Viennent enfin quelques pages consacrées à la CONCEPTION DES SYSTÈMES D'INFORMATION et aux méthodes dans ce domaine. (extrait

leur prise en compte met en évidence l’aspect « vivant » du système. 2. Globalité : P. Valéry écrivait que « celui qui se représente un arbre est forcé de se représenter un ciel pour l’y voir s’y tenir ». Cette évidence montre les limites du réductionnisme et la pertinence du globalisme. Un système est un tout, il ne peut être complètement perçu que par une approche holistique. 3. Téléologie : Les buts de l’organisation lui donnent son sens, orientent ses processus, définissent ses moyens. L’étude

engagé. La mondialisation n'est vue que par les meurtrières de l'offre et de la demande et les constructions juridiques les plus évoluées semblent être prises sous le feu du financièrement rentable. L'actualité récente se fait l'expression de ce réductionnisme avec, par exemple, la création de la Zone de libre échange des Amériques. Cet accord se révèle mettre en oeuvre un démantèlement de toute forme d'entrave juridique au marché avec en prime la possibilité pour les investisseurs de mettre en cause

« don » (vu comme une capacité innée dans un certain domaine) .Sans réellement aborder le sujet ou du moins avancer son opinion, l'auteur n'énonce que les thèses niant ou non l'existence de la notion du don. Elle émet également une critique sur le réductionnisme qu'opèreraient certains sociologues sur l'explication d'une singularité artistique finalement non singulière (en se référant par exemple à la notion d'habitus de Bourdieu). L'auteur souligne donc un regret sur le manque de recul de certains sociologue

s’était constitué pendant les derniers siècles et qui se caractérise par un certain nombre de préjugés, de pré-supposés qui aboutissent à une très stricte hiérarchie. Autrement dit, la Négritude a été une révolte contre ce que j’appellerai le réductionnisme européen Je veux parler de ce système de pensée ou plutôt de l’instinctive tendance d’une civilisation éminente et prestigieuse à abuser de son prestige même pour faire le vide autour d’elle en ramenant abusivement la notion d’universel, chère

l’idée d’infini peut traduire plutôt une prise de conscience individualisée de la matière par elle-même. L’univers matériel à la fois fini et infini (comme le segment [0,1] dans IR) se reflète dans nos cerveaux. C – Transition critique : le réductionnisme positiviste cartésien (exclusion du « pourquoi » pour le seul « comment ») est une négation de la richesse de sens de la vie. Nietzsche soupçonne (doute et critique) la raison scientifique dénuée de sens. L’infini du sens de la vie n’est pas quantifiable

scientifiquement), seule l’autorité (la loi) détermine le juste et l’injuste, le bien et le mal → c’est la loi qui dit le droit. Le positivisme légaliste est une conséquence historique du relativisme des doctrines modernes du droit naturel. Ce réductionnisme légaliste cachait très mal une exaltation du souverain, de la loi. Sous couvert du relativisme, il s’agissait de faire passer la loi pour vraie, pour l’expression de la rationnalité du législateur (la raison). Il y avait un essentialisme de la