Réductionnisme

connaissance n'est pas évidente, il faut construire une représentation qui ne soit pas absolue, mais plus ou moins pertinente. On connaît quelques objectifs. On avance l'idée de la pertinence des modèles. - Le réductionnisme et le globalisme : l’approche cartésienne s’appuie sur le réductionnisme. La connaissance et la science procèdent par décomposition. On réduit en divers éléments, puis on reconstruit. C’est une opération conceptuelle du même type qu'une opération matérielle. Les systémistes insistent

des biens engendre des coûts de recherche d’informations croissants pour le consommateur. Le consommateur est aussi influencé par son environnement : snobisme, imitation (bandwagon effect), effet VEBLEN. Mais, la science nécessite un certain réductionnisme. 1.2.2 L’utilité L’utilité représente la satisfaction apportée par la totalité des biens et services consommés. L’utilité est donc un critère d’évaluation de la satisfaction, satisfaction liée à la vie. Le consommateur cherche donc à la maximiser

and should be reduced to its most basic elements or constituents. Dans le cas des troubles mentaux, ce point de vue propose de réduire les réponses complexes cognitive et émotionnelles à de simple base biologique […] Bien que le réductionnisme soit un point de vue influent chez les psychiatres biologiste et les philosophes, il a été sévèrement critiqué. Tout d’abord, certaines cellules nerveuses sont organisées dans des structures plus complexes ou même en système, comme des patrons

se prête pas si bien à l’analyse visuelle. Ou bien est-ce que les infrastructures énergétiques ne rentrent pas (encore) dans la définition du paysage (comme c’était encore le cas pour la ville il y a peu?). Un autre compte rendu dénonce le « réductionnisme visuel de son concept paysager qui le porte à privilégier des assemblages de pierres et de mortier plutôt que des relations socio spatiales”7. Non seulement le regard sélectionne mais l’essentiel est invisible à l’observateur. Pour Jacques Lévy

Alors que les autres animaux atteignent leur plein développement spontanément, l’homme devient humain à travers des efforts et des choix. C’est pourquoi il est le seul animal à pouvoir à pouvoir rater sa vie. _ Le déterminisme est toujours un réductionnisme. Il réduit l’homme aux autres êtres de la nature. Par exemple le déterminisme cosmologique ne voit pas de différence essentielle entre un homme et un corps matériel : selon lui l’un est déterminé comme l’autre. Or ne pas distingué l’homme des

pouvoir politique par exemple. En somme, le travail anthropologique se résume ainsi : en premier lieu, l’anthropologue observe les règles de conduite et de fonctionnement d’une société donnée, sur un terrain donné, puis les décrit en évitant tout réductionnisme et ethnocentrisme. Dans un deuxième temps, il se distancie par rapport à la culture qu’il a vécue et observée de l’intérieur, pour revenir dans sa culture d’origine et rendre étrange ce qui lui paraissait familier par le biais de la comparaison

mouvement de distanciation (les classes dominantes). Joffre DUMAZEDIER[22], lui, apporte une nuance à la notion d’habitus employé par POCIELLO, en précisant qu’elle enferme l’individu dans un groupe par son déterminisme. L’habitus effectue «un réductionnisme en donnant une image figée de la structure sociale ». Il accorde plus d’importance à la flexibilité des pratiques sociales contrairement à  POCIELLO qui propose un espace des sports relativement figé. Ainsi on pourra s’interroger sur la cohabitation

il y a une modification biologique alors tous le système est modifier c’est-à-dire les pensées, le comportement et même les sentiments. Ex : les psychotropes tels que l’alcool ou le cannabis ont une influence sur le cerveau Mais attention au réductionnisme, la pensée ne se réduit pas à l’activité biologique. A un niveau pratique, le psychologue clinicien travaille au contact du corps médical c’est pour cela que des connaissances en biologie sont indispensables pour interagir avec ses collègues

Les domaines des sciences comme la biologie et les sciences humaines fonctionnent donc comme des contestations des critères de la scientificité dégagés à partir de la physique. Face à cette contestation, une première attitude possible est le reductionnisme physicaliste, qui consiste à utiliser les critères de la scientificité comme autant de lits de Procuste : on coupe tout ce qui dépasse, on admet comme scientifique ce qui rentre dans ces critères et rien d’autre. De ce point de vue, les sciences

simplifications trop faciles, dans des simplismes. Pas de simplification facile, par réductionnisme ou par holisme. Enfin, si nous respectons cette méthode de la complexité, il nous faut avoir le courage de ne pas tomber dans des simplifications arbitraires. Elles sont de deux ordres : soit vous chercher le minimum commun et vous dites tout le reste est possible, c'est ce qu'Edgar Morin appelle le " réductionnisme " (par exemple on dira que toute la morale se résume à pas de meurtre, pas de mensonge