Recit Avec Quiproquo

alliés du fanatisme sont les femmes et le peuple. b- Candide Dès la première question de l’orateur, Candide va répondre de façon mécanique. Le mot cause (ligne 6) suggère chez lui le principe de cause à effet de la philosophie optimiste. Un quiproquo va alors naître : chacun suit son idée et ne comprend rien à son interlocuteur. En enchaînant de façon incohérente les arguments de Candide, Voltaire caricature l’optimisme. Néanmoins, s’il est naïf et ne comprend pas son interlocuteur, Candide

être écartés. Molière s’est inspiré de la commedia dell’arte pour certaines de ses comédies. Le comique de mots, de geste et de répétition sont les plus fréquents. Cependant, il existe aussi le comique de caractère le plus souvent suscité par un quiproquo. Enfin, il existe le comique de caractère en créant des types théâtraux aux personnages comme l’avarice, la misanthropie ou l’hypocondrie. Par opposition, la tragédie est régie par la règle des trois unités soient l’unité de lieu, de temps et d’action

plus érudit. On retrouve de nouvelles méthodes pour faire rire, plus élégantes comme le quiproquo ou le comique de caractère, particulièrement dans les œuvres de Molière. A titre d’exemple, ces deux aspects se retrouvent dans la scène 5 de l’acte 5 du Malade imaginaire où Thomas Diafoirus, un personnage puérile, fils de médecin, qui fait de grandes études mais qui n’est bon qu’à réciter des textes et à citer du latin, se présente à Argan et sa fille puisque l’hypochondriaque

attente de Don Salluste afin de mettre en œuvre son plan machiavélique, et dans un second temps de protéger la reine, dont il est éperdument amoureux, des complots de Don Salluste. Il change de condition sociale ce qui provoque des péripéties, des quiproquos, de la distraction mais surtout qui créé du sublime et des émotions grâce aux nombreux retournements de situations, c’est donc un effet mélodramatique. Dans l’acte V scène 3, Don Salluste ôte son masque, il provoque un coup de théâtre et produit

de la pièce. Effectivement, le dernier intermède qui permet de clôturer Le Malade imaginaire , nous présente lui aussi des éléments comiques. En effet, une cérémonie burlesque à la gloire d’Argan est organisée, composée de récits, de chants et de danses avec des tirades en faux latin. C’est en fait Argan qu’on fait médecin selon un rituel qui fait référence au Bourgeois Gentilhomme. S’ajoute à cela un nombre disproportionné de personnes qui participent à la cérémonie dont

complètent. Scarron le Parisien observe la province d’un œil ironique, tandis que les Provinciaux admirent les Parisiens et tentent de les imiter ; Paris, de fait, prend presque autant de place dans le récit que Le Mans. Une ouverture sur le monde. Elle n’existe que par l’intermédiaire des récits, qu’il s’agisse de l’autobiographie des personnages, ou des nouvelles espagnoles. Les personnages ont beaucoup voyagé, qu’il s’agisse du Destin ou de Léonore-l’Étoile (qui se rencontrent en Italie, puis

quatrième de couverture). Le titre d’un récit remplit quatre fonctions essentielles : - une fonction d’identification : il est la « carte d’identité » du récit. - une fonction descriptive : le titre donne des renseignements sur le contenu et/ou la forme du récit. - une fonction connotative : il renvoie à des significations annexes, à une époque déterminée, à la manière propre à un auteur, etc. - une fonction séductive : le titre met en valeur le récit et attire le lecteur par son mystère

-discours direct : « Quoi , Monsieur , lui dit-elle enfin . » discours indirect libre : « Quoi , c'était là ce précepteur … ses enfants ! » (pensées intérieures) -narration , un peu de description -théâtralité de la scène (effet des ≠ discours) -récit subjectif-point de vue interne -vocabulaire : inquiétude-soulagement => pour les deux -correspondance des sentiments pour les deux personnes (début de l'amour) -timidité , discrétion des deux personnes + la libération , la joie -champ lexical

cible les femmes. Cette dimension critique se poursuit au Moyen-âge, notamment dans les fabliaux. (présentation) Les fabliaux se développent en France à partir du XIIe siècle. Ils sont, à l'origine, écrits en vers et en ancien français, et étaient récités par des jongleurs lors de fêtes ou dans les foires.(thèmes principaux) Le fabliau des « Perdrix », également intitulé « Le dit des perdrix », met en scène une tromperie, construite autour de trois personnages : une femme gourmande et rusée parvient

à l’encontre de la morale est exclu (pas de mort sur scène, ni de violence, ou de rapports physiques.) Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et sont rapportées au spectateur sous forme de récits. Boileau résume cette règle : "Ce qu'on ne doit point voir, qu'un récit nous l'expose : Les yeux en le voyant saisiront mieux la chose ; Mais il est des objets que l'art judicieux Doit offrir aux oreilles et reculer des yeux" b) Le texte On pourrait dire qu’il existe deux sortes