Recit Avec Quiproquo

entre plusieurs locuteurs (auteur, personnages) et plusieurs destinataires (public, personnages), permet de jouer sur des décalages d'informations: dans un quiproquo comique, dans un malentendu tragique, le spectateur sait ce que les personnages ignorent. C'est un ressort essentiel de l'intérêt dramatique. La structure dramatique Comme un récit, une pièce de théâtre développe une action transformatrice, qui conduit d'un état initial à un état final. Au théâtre, on distingue traditionnellement trois

et la société. Nous étudierons trois grands types différents de « compositions légères » où sont souvent utilisées des armes littéraires et dans quel combat elles sont engagées. D’abord, nous verrons le théâtre comique. Puis, nous examinerons le récit. Finalement, nous étudierons la poésie. La comédie critique tout en restant légère et divertissante. Pour cela elle use de trois grands moyens comiques. Tout d’abord, le burlesque rend l’adversaire ridicule en le mettant dans des situations peu

théâtral Corrigés des exercices Chapitre 2 Visages de la comédie : de Molière à nos jours A. Châtier les mœurs par le rire Texte 1 : Les Précieuses ridicules, sc.9 B. La comédie du mariage Texte 2 : George Dandin, I,4 C. L’utilisation comique du quiproquo Texte 3 : Le Malade imaginaire, I, 4 D. Pour aller plus loin… E. Évolution de la comédie, du XVIIIe au XXe siècle Corrigés des exercices Chapitre 3 La tragédie au XVIIe siècle A. La tragédie grecque, source de la tragédie française B. La tragédie

comique de langage. En effet cette source comique est largement développée au cœur de ces trois textes. Ainsi Rose, dans le texte de Feydeau, est convaincue que les Hébrides sont des objets qu’on l’accuserait d’avoir déplacés. Ionesco de ce côté fait réciter à ses personnages, des noms de manière complétement incohérente n’ayant aucun rapport entre eux : « «Papillon, Euréka, Trafalgar, papi, papa » (ligne 20). De plus, tant chez Ionesco que chez Feydeau, la signification des mots et expressions usuelles

Incongru : qui va contre les règles du savoir-vivre, de la bienséance. Déplacé, inconvenant. Sophistiqué : très raffiné, étudié. D’une complication, d’une subtilité extrême. Très perfectionné. Superficiel Sémiosique : ce qui régule la vitesse du récit. Se dit d’un portrait ou d’une description. Asyndète : suppression intentionnelle des liens logiques en les remplaçant par la ponctuation. Un démiurge : personne qui manifeste une puissance créatrice. Quelqu'un qui invente un monde. Libertin : se

phrases exclamatives et interrogatives qui marquent son étonnement et ensuite nous verrons son début vers la folie. Effectivement cette réplique de Pylade vers 1600 : « Et parce qu'elle meurt, faut-il que vous mourriez ? » annonce le début d'un quiproquo que nous pourrions même qualifier de coup de théâtre. Il aura la fonction de retarder le dénoument et donc de donner un ressort dramatique au texte .De plus c'est un héros déterminé : la double négation vers 1597 marque la obstination qu'à Oreste

normalement aux enfers (« chaudières bouillantes » (Acte III, scène 2). Arnolphe est à « la merci » d’Agnès, comme suspendu à ses lèvres et à son récit. *Sa souffrance a des conséquences physiques : La didascalie « reprenant haleine » (juste avant le vers 580) montre qu’Arnolphe est si troublé qu’il en est essoufflé. III- LE COMIQUE DE LA SCÈNE 1-LE QUIPROQUO *Il est dû à l’opposition entre l’innocence d’Agnès et l’obsession d’Arnolphe. *Le ruban : comique de farce : -Les stichomythies rythment

 Diderot  parle-­‐t-­‐il?   -­‐ Dans  cet  extrait,  le  narrateur  est-­‐il  omniscient,  témoin  ou  héros?  Diderot  affirme-­‐t-­‐il   clairement  quel  type  de  narrateur  raconte  le  récit?   -­‐ Analysez  la  dernière  phrase  du  paragraphe  de  la  page  51  («  Ils  continuèrent  leur  route   […]  qui  sont  assis.  »)   -­‐ Analysez  la  phrase  qui  début

[pic] Objectif : La fin d’Andromaque est-elle digne des héros ? I. Récit intensément dramatique : la mort du roi 1. Raconter la mort de Pyrrhus - Les règles classiques rappellent qu’il faut, en vertu de la bienséance, ne pas montrer la mort sur scène. C’est donc la parole d’Oreste qui vient rendre compte de cette scène (prétexte : la soumettre à Hermione qui l’avait commandée, promettant en échange de suivre Oreste en Grèce et de l’y épouser). - La mort est annoncée dès le

prisonnière. . Acte II - Arnolphe réprimande Alain et Georgette, ses serviteurs, pour avoir permis à un jeune homme de rencontrer sa pupille. Il interroge ensuite Agnès afin de découvrir ce qui s’est précisément passé lors de cette entrevue. Le récit que lui fait la jeune fille le rassure : sa réputation n’a pas été entachée. Mais il décide de précipiter le mariage. Agnès, croyant que son futur mari est Horace, lui exprime sa gratitude, mais Arnolphe la détrompe sans ménagements. Acte III -