Recherche Sur L Edit De Caracalla

Histoire des Institutions 13/07/2010 Introduction : Les institutions publiques : Les règles juridiques permettant à un État de fonctionner Selon Max Weber, l'État détient le monopole de la violence légitime. Groupe de recherche de Jacques Bouineau : la romanité (En quoi l'Empire romain a influencé les structures du monde musulman, en plus de celles de l'Occident?) Partie I : Antiquité, Antiquité tardive et haut Moyen-Âge Chronologie : - Antiquité : - 4000 (écriture) à 476 (chute

rendaient sacré et inviolable ; de manière qu’il n’y avait point de roi, quelque grand qu’il fût, qui pût un moment être sûr de ses sujets, ni même de sa famille. Quoique le titre de leur allié fût une espèce de servitude, il était néanmoins très recherché [78] : car on était sûr que l’on ne recevait d’injures que d’eux, et l’on avait sujet d’espérer qu’elles seraient moindres ; ainsi il n’y avait point de services que les peuples et les rois ne fussent prêts de rendre, ni de bassesses qu’ils ne fissent

autre élément caractérise l’évolution du principat, il y a un appauvrissement de l’occident face à l’enrichissement de l’orient, appauvrissement dû aux nécessités de l’administration ainsi que nécessité de défense militaire. De plus en 212 l’édit de Caracalla crée l’empire universel car il donne la qualité de citoyen à tous les hommes libres de l’empire. Tous les hommes libres sont soumis aux mêmes lois c'est-à-dire le droit romain. D’autres religions apparaissent dont le christianisme qui est différent

spécialistes reconnus. • C’est un droit empirique, il ne connaît aucune catégorie abstraite, concept juridique, pas de définition. • Droit casuistique, il s’agit de cas pratiques avec des réponses ponctuelles. Les solutions se suivent sans recherche de solutions générales. Prescriptions précises. Pas de doctrine juridique. III. Les droits dans le Monde Grec Plusieurs civilisations: ← Civilisation minoenne ← Civilisation mycénienne ← Période de transition : les Ages Obscurs

Publié avec le concours du Centre National de la Recherche Scientifique DIALOGUES D'HISTOIRE . ANCIENNE ~ ... .. 33/1-2007 .· Presses universitaires de Franche-Comté / 2 AVERTISSEMENT D faut a priori se faire une idée des relations entre l'Histoire en général et l'histoire du droit en particulier. L'histoire du droit porte non seulement sur le droit.- ou les systèmes de droit, - mais aussi sur les institutions et pourquoi pas sur les faits sociaux voire les mentalités des peuples qui constituent

règles positives données par l’état et le métier de juriste consisterait à connaitre et appliquer des textes de lois. En effet selon Platon le juriste est à la recherche de la solution meilleure. Mais ca ne signifie pas qu’il prêche l’utilitarisme ( définit par Bentham). Selon Bentham le travaille du juriste doit être considéré comme la recherche des lois les plus convenables au désir de sa clientèle, les mieux propres à maximiser les plaisirs de l’individu. Mais selon platon le but du droit n’est pas

sont connues que par leur monnaie. (1000 cités). Cité : communauté politique, communauté de citoyen (40000 max.). Ils sont solidaires et sont soumis à des lois. C’est un état de droit. La cité est indépendante à ses propres lois (autonomie). Elle recherche l’autarcie économique (éviter de dépendre de l’étranger). La cité est maitresse de son régime politique. Elle ne doit pas payer d’impôts (tribut) à une puissance étrangère. Tous les habitants ne sont pas des citoyens (être né d’un père et d’une mère

ensuite Pompei et Caesar, Siga est vainqueur des anciennes allié de Rome au motif qu’on avait enlevé cette possibilité d’être citoyen romain aux latins). On a près la guerre social 88-89 il y a une naturalisation collective de certain allié (Edit de Caracalla). 3) Les pérégrins Ce sont des hommes libres qui viennent à Rome mais ce sont des étrangers qui n’ont aucune participation à la vie politique à Rome et ils n’ont pas le conubium ni comercium, leur droit c’est leur droit national, leur coutume

guerroyer, à la paix et au calme, il (Agricola) exhortait les particuliers, il aidait les collectivités à édifier temples, forums, maisons, félicitant ceux qui se montraient zélés, réprimandant ceux qui l'étaient moins ; ainsi l'émulation dans la recherche de la considération remplaçait la contrainte. (…) On en vint même à apprécier notre costume et à porter souvent la toge ; peu à peu on se laissa séduire par nos vices, par le goût des portiques, des bains et des festins raffinés. Dans leur inexpérience

assister à une généralisation de la citoyenneté sous l’empire, cela résulte de deux facteurs :  La multiplication des concessions de citoyenneté réalisées à l’égard des peuples conquis.  Une mesure générale ou loi administrative : l’Edit de Caracalla (212 Ap J-C). Cette loi confère la citoyenneté à presque tous les habitants libres de l’empire. Les peregrinsdeditices (les étrangers) n’étaient toutefois pas inclus car Rome jugeait cette catégorie comme pas assez digne pour accéder à la citoyenneté