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Ce catalogue porte de nom d’édit du préteur , cette édit du préteur publié chaque années est une sorte de programme d’activité indiquant les moyens judicaire mise a la disposition des plaideurs en particulier les formules d’actions. Autrement dit le droit prétoriens est en création permanant. Ce droit prétorien assure sans cesses le renouvellement du droit civile, naturellement chaque préteurs a son entrée en charge ne renouvelle pas cette édit, en fait il se contente de le mettre a jour. C’est pourquoi

pénal, il a mit les bases du système pénal actuel. C’est le premier qui a posé le principe de la responsabilité individuelle (avant elle était collective). A partir de Dracon, c’est la personne individuelle responsable pour ces hommes. On commence à rechercher l’intention (acte volontaire ou non), on peut ainsi modifier les peines en fonction de la gravité de l’acte. 2ème réformateur : Solon (594avant JC). La situation sociale à Athènes ne s’est pas améliorée. Il n’a pas rétablit la justice sociale

Pour des raisons pratiques, l’habitude a été prise de renouveler les dispositions du magistrat précédent. Il ne fait que reprendre les règles établies et en rajouter quelques unes de temps en temps. Cela va entraîner une stabilisation de l’édit. Cet édit est en quelque sorte codifié et se fige peu à peu. Les différents prêteurs vont se contenter de reprendre les dispositions anciennes sans en rajouter. Hadrien va donc demander au début du IIème siècle, au juriste Julien de faire une édition définitive

Progressivement, les jurisconsultes privés disparaissent. L'empereur s'entoure des plus célèbres jurisprudents (Gaïus, Paul, Ulpien, Modestin, Papinien...). Les lois de l'empereur ou constitution impériale (valeur impériale): ● ● Edit: disposition d'ordre général, ex: edit de Caracalla Rescrit: réponse écrite donnée par l'empereur à un particulier, magistrat ● Décret: ce sont des décisions du tribunal impérial (présidé par l'empereur) ● Mandat: instructions administratives Les constitutions impériales sont

tolérance c’est vite transformé en politique de faveur du christianisme. Cette politique favorable a connu son apogée avec Théodose (empereur) qui a régné de 379-395. Au cours de son règne la religion chrétienne devient la religion officielle de l’empire. Edit de Thessalonique de 380 qui impose la religion à l’ensemble de l’empire. Le christianisme devient la religion officielle de l’empire. Aon condamne les autres religions et on les persécute. Les liens entre l’Eglise et l’Etat ? L’Eglise veut manifester

d’édit du préteur, cette édit publié chaque année est une sorte de programme d activité des moyens judiciaires mis a la disposition des préteurs ( en particulier les formules d action ). Autrement dit, le droit prétorien est un droit qui est en création permanente, il assure sans cesse le renouvellement du droit civil. Naturellement, chaque préteur a son entrée en charge et ne renouvelle pas en entier cet édit, il se contente de le mettre a jour. C est pk au fil du temps l édit du préteur a fini par

a récusé le procès qui a été fait au nomos au nom de la nature. Et pour cela il distingue entre deux type de natures: la nature des hommes et celle des animaux. Si la nature des animaux est faite de violence, celle des hommes s'accomplie dans la recherche de la justice. la question est de savoir où réside la justice. Et c'est là qu'on retrouve la méthode de questionnement perpétuel de Socrate qui doit permettre aux homme de découvrir la véritable justice. En acceptant sa mort, il témoigne de son attachement

notions : Liberté/Bonheur /Etat) Le bonheur est un concept indéterminé avec une définition vide de contenu( état durable de satisfaction complète qui renvoie à un désir absolu). En effet nous nous accordons sur le nom, au sens où le bonheur est recherché pour nous même, mais il y a des accords dans la définition. Néanmoins Kant dans la Critique de la raison pure, « méthodologie transcendantale », chapitre II, 2ème section , formule une définition vide de tout contenu empirique : « Le bonheur est

sont connues que par leur monnaie. (1000 cités). Cité : communauté politique, communauté de citoyen (40000 max.). Ils sont solidaires et sont soumis à des lois. C’est un état de droit. La cité est indépendante à ses propres lois (autonomie). Elle recherche l’autarcie économique (éviter de dépendre de l’étranger). La cité est maitresse de son régime politique. Elle ne doit pas payer d’impôts (tribut) à une puissance étrangère. Tous les habitants ne sont pas des citoyens (être né d’un père et d’une mère

s’occupe que des procès entre citoyens romains) et un pérégrin (il s’occupe que des procès avec des étrangers). Le préteur a une fonction triple : - A son entrée en fonction, il promulgue un édit dans lequel des actions en justice qu’il met à disposition des plaideurs. - Il organise les procès en fonction de son édit mais il ne juge pas lui-même. Il autorise le procès et désigne un juge à qui il va indiquer la règle à appliquer. - Il dispose lui aussi d’un imperium qui lui permet de donner des ordres