Réalité scénarisée

premier, qui a suscité questionnements et remises en cause. 1ère définition de l’existence : l’existence est une position, donc (cf Kant), c’est ce qui est posé ici et maintenant. ⇒ On trouve donc ici un couple d’idées-paradoxe : illusion vs réalité ontologique. 2ème définition de l’existence : mais l’existence c’est aussi et surtout le synonyme de la vie ! ⇒ Exister c’est vivre. « La beauté existe-t-elle ? » devient ainsi : « La beauté est-elle une vie ? ». On a deux questions : « La beauté

suspendu dans une terrible tension. Rien ne bouge mais l’horloge continueàmarquer lasuccession des minutes. L’horloge devient le symbole de la bombe à retardement qui va exploser, un temps exceptionnel arrivera avec ses personnages exemplaires. La réalité décrit par Malraux n’est seulement visible, c’est aussi sensible. L’action de déraillement a une profondeur psychologique chez Katow et à la foisavec la solitude de Katow s’expose à travers de sa vision, c’est lui seul qui sent cette fascination,

peut pas croire qu’un proche est décédé par exemple, parce qu’on se le refuse. Le film Matrix, résume assez bien cette notions de refus du savoir : Lorsque Néo passe ses premiers jours hors de la Matrice, il a dut mal à « croire » à cette nouvelle réalité, puis il s’habitue à la vie à bord du Nebuchadnezzar. Morpheus lui explique d’ailleurs que lui-même « refusait de croire » en ce monde, en cet esclavage humain jusqu’à ce qu’il le voit : pour lui, ca ne pouvait pas exister, on refuse de croire donc

d’être asservi, tout autant que d’affirmer que l’homme ne doit en aucun cas vouloir restreindre sa liberté. Est-ce possible de vouloir librement renoncer à sa liberté ou l’absence de liberté n’est-elle jamais choisie mais toujours forcée? En réalité, une totale liberté de l’être humain ne peut être qu’utopique. En effet, cela imposerait une absence de lois, et sans celles-ci , une anarchie qui amènerait violence et désolation partout dans le monde .Or, dans la nature humaine, il n’existe qu’une

spatiale d’où l’idée que la nature est mathématisable » c'est-à-dire une nature, des objets construits, déduits d’un système de coordonnées. Husserl nomme ainsi « épochè », la mise entre parenthèse de la thèse naturelle du monde, c'est-à-dire, la réalité extérieure du monde induite par le raisonnement scientifique. C’est la mise entre parenthèse de « l’habitude » de raisonnement. Pour Bergson, grâce à l’épochè, le point de vue du vécu originel est un flux, « ce qui était divisible devient indivisible

Cette émission a pour seul but d'augmenter son audimat pour cela elle est prête à donner aux téléspectateurs ce qu'ils demandent: l'intimité des gens montrée à tous avec plein de détails croustillants. Mais pourtant un loft n'a rien avoir avec la réalité, avec la vie ou la vérité des gens. Dès le départ, tous est préparé à l'avance dans les moindres détails. Bien souvent le gagnant est déjà choisi et les votes des téléspectateurs ne sont pas vraiment pris en compte. En plus il y a beaucoup de débat

préoccupations des directions et, par contrecoup, des salariés, le changement fait en conséquence figure de problème central pour toute entreprise qui se respecte. A la vérité, une prudence méthodologique bien inspirée conduirait à interroger la réalité même de ce que l’on nomme le changement. Au signifiant changement peuvent être en effet accolés des signifiés contradictoires. Ce qu’une direction quelconque entend par changement, n’a que peu de lien avec le sens que les salariés ou les responsables

la poésie consiste-t-elle à « dresser un paravent contre le monde », selon les mots d'Alain Bosquet? Nous allons tout d'abord étudier tout d'abord la poésie qui s'écarte de la réalité, puis le fait qu'elle fuit la réalité, et enfin une réalité amélioré. Les poètes font en sorte que leur poésie s'écarte de la réalité. Tout d'abord, ils utilisent une remise en cause de la syntaxe traditionnelle : poésie relève de l'oral, donc la sonorités, musicalité, assonances, et allitérations, mais les

histoire vraie ou fictive, basée sur une intrigue vécue ou imaginaire. Avec cette citation extraite de son livre Le rouge et le noir, Stendhal, en fervent défenseur de la littérature réaliste, affirme que le romancier se doit d’offrir un reflet de la réalité sociale et politique d’une époque, y compris dans toute sa dureté et toute sa noirceur, et même si le lecteur doit s’en trouver choqué ou scandalisé. La mise en avant de la notion de miroir fait référence à une retranscription fidèle du monde extérieur

uvre est un jeu. Prenons l’exemple des enfants. Très souvent, l’enfant n’aime pas ou n’apprécie guère la réalité dans laquelle il vit. Il se créé alors un nouveau monde : le jeu. Dans ce jeu, l’enfant incarne tous ses désirs même ses désirs inconscients. A l’âge adulte, l’homme joue beaucoup moins, c’est évident. Mais ce n’est pas pour autant qu’il a renoncé au plaisir de jouer. Il y a en réalité une forme de substitution du jeu : c’est l’art. Quand un homme regarde un film, il vit pleinement ses désirs