Réalité scénarisée

réels. Cela le mène alors vers un autre monde des sens, celui des rêves. Parfois extrêmement concret, ceux-ci sont cependant le fruit de notre imagination. C’est alors qu’il nous fait supposer que nous sommes endormis, bien sûr le songe n’est pas réalité, mais les couleurs qui le compose et l’illusion qu’il crée sont véritables. Puis, il avance deux théories, sur le créateur du monde. D’abord celle où le Dieu est bon et que les choses existent tel que nos sens les perçoivent ou bien, il y a un Dieu

tous les soirs l'on regarde pendant deux heures exprimant les sentiments les plus nobles et que l'on ne connaît pas autrement ? Quand enfin l'on parvient à être admis chez elle, ses traits vous rappellent des sentiments si agréables, que toute la réalité qui l'entoure, quelque peu noble qu'elle soit quelquefois, se recouvre à l'instant d'une teinte romanesque et touchante. Cette cristallisation n'est pas autre chose que l'illusion féconde qui embellit tout. Cela nous explique pourquoi Stendhal pensait

appelait au début la "nouvelle danse" est devenue à mesure de son affirmation la danse contemporraine. Le changement radical de la socièté dans un temps relativement cour , le besoin existenciel pour l'art d'abandonner la simple représentation de la réalité comme moyen d'expression. Tout cela déclanche une rupture essentiel dans l'art . D'autres critères que le beau contient une ligne dont la provocation, le rejet de la socièté. Le rôle du hassard , de l'absurde et de l'inconscient (Freud) qui aura sa

sa signification comme en son possible : «Ainsi commençons-nous à entrevoir le paradoxe de la liberté : il n'y a de liberté qu'en situation et il n'y a de situation que par la liberté. La réalité humaine rencontre partout des résistances et ces obstacles n'ont de sens que dans et par le libre choix que la réalité humaine est.», E et N, 546. Partant, l'homme est celui par qui tout existe , celui par qui tout advient : sur fond d'indifférenciation, il fait surgir son monde – qui est le monde sans l'être

• « la mort » : le substantif iciutilisé semble renvoyer à une réalité précise, qu'il serait d'emblée possible de distinguer de ce qui n'est pas elle. Mais est-ce bien légitime ? Peut-on parler de la mort comme d'une réalité distincte, nettement identifiable et séparable ? Si oui, de quelle mort s'agit-il ? Les situations d'emploi du terme lui confèrent des significations très variées : si, en biologie et en médecine, on parle de « mort clinique », on parle aussi, en physique, de « mort thermique

qu’il correspond au réel qu’il décrit, c’est grâce a la photosynthèse que les feuilles sont vertes et ceci est vrai car au cours des années des scientifiques ont fait des recherches et des expériences pour le démontrer. Il faut confronter à la réalité tout énoncé pour savoir s’il est faux ou vrai. La théorie de la verité correspondance considère que la verité est une proposition qui est directement lié au monde, c'est-à-dire qu’un énoncé est vrai si celui-ci décrit adéquatement l’état de choses

Connaissance du lieu. Autre exemple sur un humain, on peut faire une typification : sportif… construit sur des aprioris. Autre exemple : Une photographie, la carte permet UNE représentation (un ensemble de symbôles, de signes qui réfèrent à une réalité). Toute vérité est provisoire (exemple de la terre, plateronde) • 1bis° La question de la représentation…pour s’approprier…l’espace (Viajes de VArones Prudentes de Suarez Miranda, livre IV, chap XIV, Lerida, 1658. Cité par Jorge Luis Borges, Histoire

propre vérité sur la chose, bien quelle soit différente de la réalité. Contrairement a la vérité objective elle ne s’appuie pas sur des sciences ou des preuves existantes mais sur l’homme et son esprit. La vérité subjective est acquise par un seul et unique individu .Il est le seul a penser ce qui est pour lui la vérité. Cette vérité est un moyen pour l’homme de se donner confiance en soi, de s’évader d’une contrainte ou de fuir la réalité en étant persuadé de connaitre une vérité meilleure. Cependant

pour autant. Oui mais les acteurs, eux on peut être eut du mal à joué, sans réalisme le comédien peut se détaché de l’histoire, perdre le fil! Repris Louis. Justement non, le coupa Henry, c’est le comédien qui tient ce rôle « d’ancrage » dans la réalité, le décor n’a rien à voir la dedans. C’est à vous de faire imaginer aux spectateurs le décor, à travers vos gestes, vos déplacements, votre ton … Le blond pris la parole à son tour. Henry, ne trouves tu pas au contraire que le décor permet aux spectateurs

---------------------------------------------------------------------- Les hommes écrivent-ils seulement pour se divertir ? La lecture consiste à se distraire, le livre est un objet de passe temps. Les lecteurs prennent plaisir à fuir la réalité en se plongeant dans un livre. On peut s’identifier à un ou plusieurs personnages en ayant l’impression de vivre la scène racontée. Il nous fait rêver ou nous fait peur. Mais un livre sert-il seulement à divertir ses lecteurs ? On peut se demander