Réalité scénarisée

CORRECTION BALZAC : Pour ce sujet il fallait s'accrocher au réalisme, à la doxa (opinion la plus répandue) sur Balzac. Balzac est la plupart du temps vu comme un écrivain qui s'est donné pour mission de peindre et observer la réalité. Ce n'est pas un hasard si le premier personnage qui apparaît dans la Comédie Humaine est un peintre - Théodore de Sommervieux. Chef d'œuvre inconnu - Nicolas Poussin + Fren Hofer = Balzac montre que le peintre ne voit pas les même choses que le commun des mortels

nous éprouvons de la pitié et de la terreur. Ces sentiments ne sont pas désagréables, comme dans la vie réelle et comme ils s'exercent dans le cadre d'une "illusion", que nous savons que ce que nous voyons n'est pas le réel, mais une imitation de la réalité, que personne ne souffre vraiment, ni les personnages, ni nous-mêmes, la douleur est transformée en plaisir. Cette théorie peut s'expliquer par les origines religieuses et sacrificielles du théâtre grec, lié au culte de Dionysos (tragédie vient d'un

L’analyse de ce corpus met en avant une spécificité du rêve : le lien entre réalité et irréel. Ainsi, les divers auteurs et artistes, à travers leurs écrits et illustrations, soulèvent la question suivante : De quoi sont faits nos rêves ? Dans un premier temps, il faudra souligner que le monde réel donne matière et corps au rêve, puis une dernière partie étudiera l’état de confusion vécue par le rêveur. Il semblerait que le rêve soit déclenché par des éléments de notre environnement ou encore

fonctionnements langagiers dans leur dimension transphrastique), -une composante socio-pragmatique (qui prend en considération les rituels sociaux), -une composante référentielle (les objets du monde et leur relation, c'est-à-dire à la connaissance de la réalité sociétale, anthropologique, géographique, artistique, scientifique, démographique...) -et une composante ethnosocioculturelle (qui rend compte des représentations et des valeurs communautaires ainsi que des implicites codés)7 ”. La compétence strictement

vie fictive et inspirée de la réalité mais amplement sublimée, est mieux que la vie réelle, nous pourrions nous demander quelle vie menait le cinéaste pour avoir une vision aussi négative au sujet de la vie ? Est-il préférable de vivre une vie faite d’habitudes (« métro, boulot, dodo »), de bonheur, de tristesse, de rencontres… ou de vivre la vie des héros de films confrontés à l’action, l’amour, la haine, la guerre,… ? Parfois le cinéma n’est pas inspiré de la réalité. Il nous entraîne dans un univers

animal indomptable : « elle regardait droit devant elle avec des yeux de loup qui étaient ce qu’on voyait le mieux de tout. » La 1ère version de Thérèse est véritablement, à tous les sens de l’expression, son roman. Cette distorsion imposée à la réalité est finalement peu gênante quand elle concerne autrui, mais elle est moralement plus contestable quand elle concerne Thérèse elle-même. Ne chercherait-elle pas à cacher ses crimes ? La mythomanie de Thérèse pourrait bien n’être qu’une forme bénigne

faut en cela la distinguer de la réalité. Elle se définit traditionnellement comme l'adéquation entre le réel et le discours. Qualité d'une proposition en accord avec son objet. La vérité formelle, en logique, en mathématiques c'est l'accord de l'esprit avec ses propres conventions. La vérité expérimentale c'est la non-contradiction de mes jugements, l'accord et l'identification de mes énoncés à propos d'un donné matériel. On distinguera soigneusement la réalité qui concerne un objet (ce cahier,

même que la fiction est indépendante de la réalité elle-même. Il entre nécessairement dans la fiction une dimension de mensonge. Pour autant on ne considère pas le conteur ou l'acteur comme des menteurs. C'est donc que la définition communément admise du mensonge est insuffisante. b) Peut-on tenir pour vraie l'affirmation selon laquelle: " tout ce qui est vrai doit être dit"? La vérité se définit par l'adéquation entre une proposition et la réalité. Exemple: si je dis "la porte est fermée"

incapable de se représenter un monde immense, elle ne peut se représenter que des choses à une échelle qu'elle a déjà vue, qu'elle a déjà connue. Ainsi, la conscience n'est pas souveraine car elle doit se rattacher à ce qu'elle voit, ce qui est la réalité pour elle. Par exemple, lorsque que nous sommes éveillés, nous regardons le monde avec notre esprit, nous avons conscience de ce qui nous entoure, alors que lorsque nous dormons, pendant nos rêves, nous regardons le monde avec notre esprit. A ce moment

certains de ses actes sont l'effet de mobiles inconscients. De tels actes sont-ils toujours imputables au sujet ? Ainsi, le terme d'inconscient renvoie d'une part à tout ce qui n'est pas conscient (le non-conscient en général) et d'autre part à une réalité psychique possédant une structure et un mode de fonctionnement propre et que la psychanalyse étudie. En général, le substantif "l'inconscient" renvoie au deuxième sens, alors que "l'inconscience " et le "non-conscient" renvoient au premier. L'inconscient