Ready Made

grande variété de techniques et de styles qui se chevauchent.), de par les mouvements initiés par les rayons de la roue, et le premier de ses ready-made, ces objets manufacturés élevés au rang d'art. C'est à travers sa pratique du ready-made que Duchamp va passer à la postérité (periode de croissance). Devenant une pratique à part entière de Duchamp, le ready-made intègre toute une stratégie artistique = une exhortation de la mise en scène, la revendication d'un concept au détriment d'un savoir-faire

utiliser pour créer des rapprochements entre les différentes œuvres, références, réalisations. Je décris ce que je vois : - Identifier la nature de l’œuvre : 2D, 3D, photographie, peinture, dessin, sculpture, collage, œuvre in situ, installation, ready made, assemblage, etc. - Identifier les éléments constitutifs de l’œuvre : couleurs, formes, personnages… J’interprète - Le sens de l’œuvre (les intentions de l’artiste, ses choix plastiques, esthétiques) - La contextualisation : mise en relation de

américaine, considérée aussi comme une artiste féministe, qui travaille surtout avec la photographie mais elle a aussi fait des courts métrages. On retient surtout d’elle ses affiches « publicitaires ». Les origines de l’art conceptuel remontent au ready made de Marcel Duchamp dans lequel l’art est défini par le concept ou l’idée de l’art. Son but étant d’utiliser le pouvoir du langage à travers la retouche photographique. Barbara Kruger met ses slogans sous formes de panneaux publicitaires car elle

punk rock, qui a pleinement exprimé ses idéaux. Etymologiquement, punk signifie « personne dupe », ou « objet sans valeur ». L’esthétique punk prend ses sources tout d’abord chez Marcel Duchamp, qui pose une nouvelle conception artistique avec le ready made, objet anodin (comme une cuvette de toilette, ou un porte-bouteille) qui prend une dimension abstraite du fait de son exposition. Ce qui fut et est encore dénoncé par un certain nombre de partisans comme « n’étant pas de l’art » a été repris dans

trouvent dans la cour de son musée. Basbous est le précurseur de la sculpture moderne au Liban. Il a travaillé dans différents matériaux et styles également sa marque était d'expérimenter des formes et des matériaux concrets. Il a même converti objets ready-made comme les radiateurs de voitures dans les œuvres d'art valides. Il a été le premier à faire des sculptures de pierre monumentales au Liban. Ses techniques et son style de sculpture l’ont permit d’avoir une grande influence sur sa génération de

les années 1880, est marquée par une tendance croissante à l’effacement des frontières instituées, conventionnelles, entre « ce qui est de l’art » et « ce qui n’en est pas ». Depuis que Marcel Duchamp commença à exposer, en 1914, ses premiers reday-made (un urinoir, un porte-bouteilles, une roue de bicyclette, etc.), dont nous aurons l’occasion de parler plus loin, il est entendu que n’importe quoi peut devenir de l’art, pourvu qu’un artiste le décide en apposant sa signature – et que le public joue

1955. Inventeur des « ready-made » au début du XXe siècle, sa démarche artistique exerce une influence majeure sur les différents courants de l'art contemporain. À ses débuts, il fréquente principalement des artistes d’inspiration cubiste tels que Fernand Léger et Robert Delaunay, ou encore Albert Gleizes et Jean Metzinger, auteurs de l’ouvrage Du Cubisme qui pose les bases théorique du cubisme en 1912. Il s’écarte de la peinture, vers 1913-1915, avec les premiers ready-made, objets « tout faits »

"Le Nu descendant l'escalier" est exposé à la grande exposition Armory Show à New York où Duchamp se présente comme l'un des principaux représentants de l'avant-garde française. "La Roue de bicyclette", est le premier objet d'une longue série de "ready-made". Marcel Duchamp se contentera alors de choisir les objets et les exposer et ouvre ainsi la voie aux démarches avant-gardistes les plus extrémistes. Marcel Duchamp se rend aux Etats-Unis et s’installe à New York en 1915. Il y deviendra une vedette

Il cherche à rendre compte d’une absence, de ce qui n’est pas présent. Mais ici, l’œuvre finale (la Boite-en-valise) acquiert tout de même un statut ambigu, entre l’œuvre d’art et le document. C’est ici que réside toute l’œuvre de DUCHAMP et du ready-made en général, la frontière entre l’art et le non-art. 2- Un auxiliaire de création Certains artistes utilisent la photographie pour son aspect purement documentaire. Chez Marina ABRAMOVIC et ULAY, la photographie de la performance Relation

ces immigrés Trinidad. La musique au rythme rapide et aux paroles très peu descriptible a quand même causé une manifestation appelée « carnaval de nothing Hill » entre les immigrés et la police britannique. En 1916, un courant provocateur, Le Ready-Made consiste à prendre un objet banal, à le transformer, de changer son nom et de le placer dans une galerie comme une œuvre d’art, en plaçant l’objet dans un contexte et une fonction différente qui surprend et parfois révolte le visiteur. Ce qui donne