Rationalité limitée

intentionnalité et leur rationalité. l'intentionnalité : Les acteurs ont des préférences, et leurs choix sont guidés par celle-ci. Il peut y avoir des contraintes. On ne parle plus de comportement mais de conduites. Les acteurs définissent leurs conduites en choisissant celles qui sont le mieux adaptées à leur envie. la rationalité instrumentale pure : « La fin définie les moyens » → Choisir le moyen le plus efficace pour parvenir à ses buts, ses objectifs. la rationalité actiologique :

Plan du cours M1 Economie Psychologie des comportements Louis Lévy-Garboua 2009-2010 1. La rationalité limitée La ligne de partage entre économie et en psychologie Les biais cognitifs L’effet d’information non pertinente Le rejet du calcul marginal Les coûts irrécupérables Biais de jugement et heuristiques : le biais de conjonction L’illusion de contrôle Effet de dotation, disparité entre prix d’achat et prix de vente

différencier les uns des autres. Ainsi une décision absurde d’un individu ou d’un groupe est "une action radicale et persistante contre le but qu’il veut atteindre dans le cadre de la rationalité de référence". Les deux notions essentielles à souligner sont "l’action radicale et persistante contre l’objectif" et "la rationalité de référence". Pour déclarer une décision absurde il faut un puissant décalage, une énorme contradiction entre l’action et le but, cela nécessite par ailleurs que le but soit clairement

arbitraire et non naturelle Première partie L’organisation comme problème Où l’on tente d’expliquer la rationalité propre au phénomène "organisation", ce système d’action interne. Chapitre I L’acteur et sa stratégie L’organisation pose problème pour l’acteur car son fonctionnement repose sur une logique d’écart entre la théorie et la réalité, c’est-à-dire d’une part entre une rationalité surévaluée par l’admiration et la confiance des acteurs pour l’efficacité des résultats collectifs, et d’autre

pouvoir avoir le monopole du marché. Les marchés produisent des marchandises et offrent ces marchandises à une demande solvable (c’est-à-dire que les futurs acheteurs possèdent les moyens financiers d'acheter) Pb: Est-ce que la demande est seulement limitée à la demande solvable?? Rep: Non, 3° Les biens publics et les externalités A) La définition des Biens: bien public: a public good Mal public: a public bad Les définitions font d’abord référence à la sphère de la consommation, donc il y’a un

explications ne remettent pas en cause l’hypothèse de rationalité et la formulation traditionnelle des choix en incertitude. Or, c’est précisément en cela que se distingue ce que l’on nomme aujourd’hui la « finance comportementale »4. Ce courant d’analyse tente de tirer les conséquences de diverses expériences de psychologie cognitive qui ont montré que les choix individuels observés en laboratoire contredisaient souvent les principes de rationalité généralement admis. En ce sens, la volatilité et

l’achat et la vente des produits. -Publicité, communication, gestion du site fait par l’entreprise. 2) Toutes les décisions n’ont pas la même incidence sur l’avenir d’une entreprise et ne concerne que très peu de personnes, certaines ont une portée limitée, d’autres engage l’avenir de l’entreprise. Cette première approche des typologies des décisions permet ainsi d’envisager des classifications fondées sur l’importance de la décision par l’organisation. 3) Première étape :- prise de conscience de l’impératif

théorie économique son hypothèse de rationalité que nous trouvons dans la théorie du consommateur aussi bien que dans celle du producteur. . La rationalité est un attribut du comportement individuel qui est assimilé à un calcul intéressé. Elle prend la forme d'une optimisation d'une fonction de satisfaction sous contraintes. Elle permet de trouver de façon formelle et non équivoque l'affectation la plus pertinente des moyens matériels disponibles en quantité limitée. Nous pouvons distinguer six postulats

l’acteur et son comportement ? D’après L’acteur et le système, l’acteur et son comportement se définissent au sein d’une organisation l’acteur évolue par lui-même et non pas par la rationalité que celle-ci impose. On constate donc un écart entre la théorie et la réalité, c'est-à-dire d’un coté on retrouve une rationalité surévaluée de l’administration, et d’un autre, la complexité des comportements humains, lesquels sont toujours contingents du besoin de liberté. Par conséquent, on observe des dysfonctionnements

anthropomorphique de l'organisation ne permet pas d'analyser le sens que ses membres donnent à leur action, censée s'ajuster quasi-nécessairement à ses besoins. 3- Les courants anglo-américains contemporains (60's) Le courant culturaliste a posé que la rationalité sur laquelle sont fondées les entreprises modernes ne suffit pas à expliquer les fonctionnements et dysfonctionnements des organisations. La tendance managériale pense que l'on peut inculquer la culture souhaitée aux membres d'une organisation,