Ralph Lauren Strategie

Ban Table des matières Introduction 4 1. Entreprise Ray Ban 5 • Concurrence 5 • Produits 6 • Demande 7 • Distribution 7 2. Campagne de communication 8 • Médias utilisés 9 3. Analyse de la publicité Tomatina 11 • La copy stratégie 11 • L’approche sociologique 13 • Approche iconique et sémantique 14 Conclusion 16 Introduction Dans le cadre de notre projet de communication commerciale, nous avons décidé d’étudier une campagne publicitaire de la marque Ray Ban

de faire du chic pas cher. Certes, la qualité est moins bonne mais la stratégie fonctionne. Au départ, c'est-à-dire dans les années 70 les dessinateurs d’Amancio Ortega allaient dans les magasins et copiaient complètement les produits sauf qu’aujourd’hui l’esprit est différent on ne parle plus alors d’inspiration en dépit du concept de « copier » qui est toujours utilisé pour qualifier les pratiques de la marque. Une stratégie spécifique à la marque. Aujourd’hui, 40 chercheurs de tendances ZARA

Stratégie internationale du groupe LVMH Environnement et stratégie des firmes multinationales Mai 2009 Année scolaire 2008-2009 Université Paris 1 Panthéon Sorbonne SOMMAIRE Introduction p.1-2 I. Présentation du groupe LVMH p.2- II. La stratégie internationale de LVMH p. III. Analyse de l’environnement IV. LVMH et la crise mondiale actuelle V. Annexes Introduction Le luxe est un secteur économique apparu dans le courant du XVIIème siècle

marché de la parfumerie féminine de luxe ne souffre pas tellement mais étant donné qu’il est porteur cela explique aussi l’étendue de la concurrence. En plus de l’approche marketing pour faire augmenter les ventes, nous avons pu remarquer une stratégie particulière des marques de luxe pour tenter de garder leurs parts de marché. En effet en voyant leurs ventes en volume diminuer, ils augmentent le prix de leurs produits pour ainsi garder leurs parts de marché. B. Les acteurs de la demande

développent des produits « haut |Prix plus élevés par rapport aux cosmétiques |Giorgio Armani | | |de gamme » incorporant les innovations de |actives. |Ralph Laurent | | |la recherche de L’Oréal. Les clientes et | |Guy Larache | | |les

| |La Réunion |3 | Le nombre de golf selon les régions permet d’effectuer une segmentation géographique. De ce fait Wilson peut établir une stratégie de distribution ciblée. La cible : La cible principale est âgée de 26 à 55 ans. Elle est composée essentiellement d’homme faisant partie essentiellement des CSP+ avec un revenu annuel supérieur a 60 000€. Il faut privilégier les régions dans

[pic] SMITH ET NORBU SOMMAIRE : ❖ INTRODUCTION ❖ ANALYSE EXTERNE ❖ ANALYSE INTERNE ❖ SWOT ❖ Stratégie de segmentation, détermination des cibles marketing ❖ Stratégie marketing adoptée ❖ CONCLUSION ❖ INTRODUCTION : L’entreprise Smith & Norbu fut fondée en 2009 par Benoit Ams, elle est spécialisée dans la production artisanale de lunettes haut de gamme

depuis plusieurs années, le marché du luxe s'est mondialisé. Cela a accru la concurrence au niveau international avec l'implantation massive de marques de luxe étrangères sur de nombreux marchés locaux. Les entreprises mettent donc en place des stratégies de plus en plus agressives et ambitieuses dans les pays qu'elles convoitent le plus, pour s'imposer. Pour faire face à l'exacerbation de la concurrence sur ce marché, les groupes de luxe devront relever plusieurs défis (selon Percepta

juridique : Société Anonyme ➢ Slogan Français : " parce que vous le valez bien " ➢ Siège social : Clichy FRANCE ➢ Activité : Cosmétique ➢ Filiales : l'Oréal professionnel, l'Oréal Paris, Maybelline, Garnier, Lancôme, Ralph Lauren, Giorgio Armani, Biotherm, Cacharel, The Body Shop, Club des créateurs de beauté, la Roche-Posay et Vichy. ➢ Effectifs: 60851 personnes à travers le monde ➢ Capitalisation Mondiale : 40,7 milliards d'€ ➢ Chiffre d'affaire Mondial

permettre de maintenir à l'écart toutes les marques qui aspirent ales rejoindre sur la planète luxe. « De nombreuses marques essaient ou ont essayé de devenir des marques de luxe, note Jean-Baptiste Danet, PDG d'Interbrand Europe. Todd's, Jaguar, Ralph Lauren en sont de bons exemples. Mais elles sont pilotées par le business. Or dans le luxe, c'est la marque qui pilote le business. Pour y parvenir, il leur aurait fallu changer de modèles économiques et renoncer aux dividendes à servir aux actionnaires