Raisonnable Rationnel

de la raison, en conformité avec « l’âme raisonnable ».De cette manière la bonté se caractérise par sa passivité, c’est à dire qu’elle ne demande aucun effort puisque seul le « caractère naturel » joue un rôle pour définir tous ces actes. Montaigne par un exemple nous explique que la bonté est donc cette disposition naturelle qui nous permet de ne pas être toucher par les offenses qui nous sont fait et donc de bien réagir. A l’opposé des « âmes raisonnables par elle-même et bien nées » les âmes vertueuses

chercher à le réaliser. Le désir semble sans limites : on peut désirer des montagnes d'or, on peut rêver d'avoir des ailes, le désir repousse les limites du possible. Le désir se nourrit de fantasmes qu'il peut forger contre toute considération rationnelle de leur possibilité. Mais connaît-on bien les limites du possible et de l'impossible? Ce qui est impossible à un moment ne l'est plus à un autre et c'est en désirant l'impossible qu'on le rend possible. Il était impossible d'abolir l'esclavage

répond à l’objection de Garve : ce vouloir formel, cette universalité purement rationnelle, est hors de portée des hommes ; il manque ici un mobile (un principe de détermination sensible de la volonté). Si en théorie – dans sa tête – un homme subtil peut comprendre Kant, en pratique – dans son cœur -, nul n’est mobilisé par la représentation du devoir.– 15 – Garve se trompe, car cette représentation rationnelle de la loi en tant que loi fait naître en l’homme le sentiment du respect, qui

Rappel de la définition kantienne de la moralité : 
Agir moralement pour Kant est et ne peut être que le fait d'un agent libre et raisonnable ( Kant dit souvent que la liberté est " la clef de voûte " de son système philosophique ). La moralité s'éprouve ( c'est-à-dire : nous ressentons, quand nous agissons, que nous agissons " par liberté " ) dans la conformité des actes aux principes universels que la raison énonce comme 'mobiles' de l'action par devoir. C'est en ce sens que, paradoxalement, agir

l'évidence.La véritable liberté est rationnelle: elle est liée à la raison, à l'évidence claire et distincte.Cf Kant : l'action est libre lorsque la conscience se détermine contre les désirs sensibles en fonction d'un principe rationnel. Une volonté libre obéit à la loi rationnelle qu'elle se donne. C'est le principe de l'autonomie de la volonté.La liberté morale n'est donc rien d'autre qu'un pouvoir de la raison. Une volonté libre et une volonté soumise à la raison rationnelle ne font qu'un => Etre libre

admettent, sont précisément les devoirs moraux. Définition du concept d’action : agir consiste à mettre en œuvre certains moyens pour atteindre certaines fins. Plus précisément, une action est le résultat d’une décision venant clore une délibération rationnelle visant à déterminer la meilleure manière de satisfaire un désir. Toute action se caractérise donc par une certaine fin et par certains moyens (Aristote, Ethique à Nicomaque). Ex. : supposons que nous soyons hédonistes et que nous jugions que

débuts de l’humanité. N’est - il pas alors absurde d’imaginer que, malgré tout, l’histoire humaine est celle d’un progrès moral ? - Le but de l’article est de montrer que le cours des événements historiques peut constituer l’objet d’un savoir rationnel et que donc une histoire conçue comme science est possible. L’objet est de proposer et de justifier une interprétation philosophique de l’histoire de l’humanité fondée sur l’idée d’un progrès tendant à la réalisation d’une constitution cosmopolitique

l’autre (un cadre de réflexion nécessaire pour réfléchir en termes particuliers).--> Ceci n’est pas dans le bouquin. 1. Raison et objectivité : Sen va a l’encontre de la « théorie du choix rationnel » définie comme l’ « habile promotion de ses intérêts propres ». Pour lui, au contraire, un choix rationnel peut également être effectué en prenant en compte la situation d’autrui. Sen croit en la puissance de la raison objective. Il pose la question de la nature de l’homme (le pessimisme de Nietszche

(Montélimar). Les notions au programme : Désir, volonté, raison, bonheur. La problématique : Est-il rationnel de désirer l'impossible (conforme aux exigences de la raison et à nos intérêts) ? Est-ce raisonnable au regard de la dualité de l'Homme : être de raison et être de désir ? Les difficultés / pièges à éviter : Bien définir le désir en le distinguant du besoin et de la volonté raisonnable. Bien définir l'impossible qui peut être l'interdit, mais aussi le contradictoire, l'illimité (désirs

I. La croyance ne relève pas d'une démarche rationnelle. a. L'opinion, qui est synonyme d'illusion, se manifeste par un refus parfois violent de la raison (Platon). b. La foi religieuse renonce à donner une explication rationnelle de ce qu'elle tient pour la vérité. II. La croyance est un fait humain pénétré de pensée (Hegel). a. L'irrationalité de la croyance correspond à une rationalité inconsciente (Jung). b. Il n'est pas absurde de faire confiance aux autres, d'avoir, foi en eux.