Raisonnable Marc Aurèle

Les STOÏCIENS(ensemble de penseurs gréco-romains, qui ont vécu entre le IIIè siècle avant J. C.et le IIème siècle après J. C. avec l’empereur Marc-Aurèle)La notion de MONDE : le monde est-il rationnel ? est-il gouverné par un DESTIN implacable ?Quelle est alors la PLACE de l’homme dans ce monde et son pouvoir sur le monde ?L’être humain peut-il être libre dans ce monde, peut-il agir sur le monde ?Quelles règles de vie doit-il y suivre ?Qu’est-ce que le DESTIN ? en quoi diffère-t-il du DETERMINISME

donc être universelle, ce qui doit procédé de mon intention et définir une universalité c'est la raison. La morale doit dépasser la sensibilité, les circonstances, elle doit donc se fonder sur la raison. (Ici la raison revient à l'idée d'être raisonnable, voir légitime). (but de kant: morale universelle donc pas raison, contrairement à morale relative). B-le fondement du devoir morale Distinction: obligation/contrainte. Obligation: se fonde sur ce qui est légitime, Contrainte: présence

tuellement pour le combattre) qu’à un phénomène du même ordre : une passion ne peut être contraire à la raison que dans la mesure où elle s’accompagne d’un jugement faux porté sur un objet ; et même dans ce cas, ce n’est pas la passion qui est « dé- raisonnable », mais le jugement. Selon la philosophie empiriste de Hume, la raison ne fait qu’enregistrer les impressions sensibles (données psycholo- giques immédiates). Même les idées ne sont que des copies af- faiblies d’impressions sensibles issues de

quatre sources : Coran, Sounna, idjma, analogie et, s’il écarte, au moins dans un premier temps, l’abstraction, il n’exclut aucunement au fondement de tout cela, un soubassement rationnel, ou tout au moins attaché à la raison et, à ce titre, raisonnable. Point de livres de droit musulman faisant plus que d’autres autorité, tandis qu’en droit juif, référence est nécessairement faite au talmud de Jérusalem ou à celui de Babylone. Doit-on dire que le droit progresse, comme d’autres démarches de

commun de compréhension : en tant qu’être de raison, nous sommes les mêmes (texte de Marc-Aurèle). Alors qu’en tant qu’êtres empiriques nous sommes différents et séparés les uns des autres - par notre vie, nos désirs, notre corps, nos forces, notre histoire, notre culture… = autant d’hommes et d’humanités différentes, produits de fait d’une certaine histoire, de la contingence du fait – en tant qu’êtres raisonnables nous sommes fondamentalement unis participant à une même raison que nous supposons

des représentants de l'école stoïcienne, la grande rivale de l'école épicurienne, dont le fondateur fut Zénon de Cittium. La particularité de la philosophie stoïcienne est d'avoir traversé les différentes classes sociales. Elle compte un empereur Marc Aurèle, mais aussi cet esclave affranchi que fut Epictète. Il faut vivre selon la nature. Pour le stoïcien, la vertu consiste à connaître la nature et à vivre en harmonie avec elle. a) Connaître la nature Pour vivre selon la nature, il faut logiquement

éternité (= il échappe au temps). Tout le monde n’est pas sage donc il donne des conseils. Le sage n’a pas peur de la mort (= LE signe de sagesse). - ≠ fou : il vit de ses désirs, de ses passions. Il s’écoute lui-même et est donc malheureux- ex : Marc-Aurèle : empereur Stoïcien (indifférent de tout, maître de lui-même) ; tu es malheureux quand tu es en désaccord avec le tout.I. la conscience est un nouveau point de repère1. la découverte du sujet par Descartes¤ Définir l’homme par la conscience est

et désir 4 A. L’hédonisme 4 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 4 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 5 B. Le stoïcisme 6 1. Le stoïcisme classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme

procure, parce qu'il le goûte avec modération, il éprouve à en jouir un plaisir plus grand que le non sage. Il faut donc pour être heureux se passer si possible du plaisir sexuel et goûter avec modération les plaisir que procure l'art. Une gestion raisonnable des désirs naturels est donc une condition du bonheur, mais l'homme éprouve aussi des désirs non naturels et non nécessaires, c'est pourquoi nous devons nous demander si leur satisfaction nous procure le bonheur ou nous en détourne. 3) Les désirs

ne connais pas au préalable l’éventail de destins possibles, c’est-à-dire l’environnement qui cadre et limite mon choix et ma conscience qui veut choisir son propre destin ; enfin, la morale ou plutôt l’éthique car on peut se demander s’il est raisonnable quoique légitime de vouloir accomplir un destin dans l’éventualité où on pourrait « rater » sa vie en cas d’échec pratique ou bien si l’on doit plutôt choisir une direction à son existence pour que la vie vaille la peine d’être vécue. Il est en