Radicalité

Comme l'ont fait, avant lui, plusieurs générations d'utopistes, Mathieu Puyaubreau envisage la pratique de projet comme un vecteur technique et politique d'organisation. Il se réfère, sans préjugés, à ceux qui ont osé imaginer, sous couvert de radicalité, des modèles spatiaux sur-puissants : Archigram, Constant, Friedman, Kurokawa... Il s'inspire également, pour répondre à l'exigence de mobilité et de rapidité, des inventeurs d'habitats ultra-légers : Jean Prouvé, Ionel Schein, Shigeru Ban... Conçu

existe, en effet, un "point de vue" technicien sur le monde. C'est même sur sa dénonciation que s'appuie, un peu partout en Occident, le militantisme écologique, quand il veut contrecarrer la bêtise scientiste ou refuser le règne des objets. Dans sa radicalité, cependant, la critique essentialiste ne laisse guère d'autre choix que de combattre résolument la technique et la société marchande, tout en se défiant, par principe, des sciences fondamentales elles-mêmes. Elle conduit à un refus global. Adieu

s’intéresser aux passions révolutionnaires et ces passions révolutionnaires sont au fondement de la révolution qui mettra fin à la société d’Ancien Régime. Il va tenter de comprendre l’évolution de ces passions révolutionnaires en s’interrogeant sur leur radicalité. Ces passions sont motrices, elles sont sources de changement social et elles sont radicales. Ces passions ont été manifestées par la révolution française mais elles n’apparaissent pas avec la révolution, elles sont déjà à l’œuvre dans la société

elles sont réformistes et révolutionnaires. A chaque extrémité, on peut trouver des moyens radicaux, pour conduire à une cassure fondamentale avec les structures politiques en place à Gauche, pour préserver l’ordre du Monde à droite. Parfois, la radicalité de ces idéologies fait qu’elles se tendent vers le totalitarisme et cherchent si elles ont le pouvoir à s’imposer de manière non partagée sur la société pour exercer un contrôle total sur la population toute entière. Pour revenir au centre incarnant

correspondant à la fulgurance des images entrevues. Ex :Strophe 8 : v.30-31 : je sais le soir/ L’aube . L’ellipse grammaticale du verbe « savoir » crée aussi un raccourci temporel (ds l’ellipse grammaticale se fait aussi une ellipse temporelle) dont la radicalité est soutenue par l’enjambement qui positionne « soir » en fin de vers et « Aube » par rejet au début du suivant (position qui par ailleurs correspondent symboliquement au sens des deux mots). Les deux moments deviennent une sorte d’instantanéité

partie cinq mille étudiants clament « À l’Elysée ». Cet événement marquera la rupture et le décalage entre les mouvements syndicaux et les mouvements étudiants. FO pour sa part, n’apprécie guère les pratiques du mouvement étudiant et dénonce leurs radicalités dans les moyens d’actions. Pour Jacques Sauvageot représentant du mouvement étudiant : « l’accord de Grenelle ne peut avoir aucune valeur car le gouvernement n’est pas un interlocuteur valable ». Plus tard, de nombreux leaders étudiants regretteront

enchaîne à la ligne 4 : «de satisfaire intégralement tous ses besoins ». Pour un lettré comme Kropotkine, un pléonasme n'est jamais gratuit : « intégralement tous » en est un, mais ô combien rhétorique. Il s'agit ici, encore une fois, d'insister sur la radicalité de l'exigence. Tout comme à la ligne 10 : «Il est dans l'idée gouvernementale elle-même, il est dans le principe d'autorité. » Le problème est donc en profondeur, s'il était en surface, il serait peut-être temps d'agir, mais dans le cas présent

cause l’esclavage dans l’immédiat, mais qui permet de maintenir les colonies et l’économie stable. On lit ligne 136 « Et avant un siècle, cette colonie fortunée n’eût offert que des hommes égaux, libres et heureux. » Ce discours tranche avec la radicalité des propos tenus dans la première partie du document. En fait ici, nous n’avons pas l’article en entier, dans la suite, on peut lire la rencontre entre les commissaires et les esclaves. Le discours est plus direct, plus radical, peut être est-ce

débats politiques abordant la problématique de la violence et de l'insécurité. Tout d'abord, dans les années 80, on constate une division droite/gauche. Ensuite, dans les années 2000, l'échiquier politique formerait une sorte de bloc sans rupture ni radicalité. Les seules alternatives émergeraient des extrêmes. Comment a-t-on évolué d'un clivage à une homogénéité sur les questions de violence ? Comment est-on arrivé d’une situation sur-politisée dans son exploitation médiatique et désocialisée dans sa

Louis-Ferdinand Cline (1894-1961) Louis-Ferdinand Destouches (de son vrai nom) Il bouleverse le paysage littraire franais en 1932 la publication de son roman Voyage au bout de la nuit. Le roman tonne (et choque) cause de la libert et de le radicalit du style employ Cline se dfinit comme styliste avant tout. Son style, quil appelle sa Petite Musique sinspire du langage populaire parl et se libre des conventions littraires juges trop rigides et nuisibles lexpression de lmotion, quil sagit