Quiproquo

TEXTE 1  : Molière « Acte 1, scène 5 » Intro : A la fois dramaturge, directeur de troupe, metteur en scène et acteur, Molière est une des figures majeures du théâtre du XVIIè siècle. Il excelle dans la farce puis dans la comédie de mœurs, plus subtile, qui dénonce les vices et passions excessives, contraires à l'idéal de l'honnête homme du XVIIè siècle. Dans Le Malade Imaginaire , Argan, un hypocondriaque, veut imposer à sa fille Angélique

Quiproquo : du latin "quid pro quo", une chose pour une autre, Méprise, erreur qui fait prendre une chose, une personne pour une autre. Le quiproquo est un procédé (comique ou tragique) très souvent utilisé au théâtre, notamment dans les comédies et il est lié à la double énonciation (le spectateur en sait plus que les personnages) et parfois aussi dans la tragédie (Oedipe de Sophocle, Phèdre de Racine). Dans Phèdre, Thésée croit que son fils Hippolyte a tenté de séduire Phèdre, son épouse et

exactement). Le premier comique est le comique de situation, les quiproquos y participe beaucoup, le premier quiproquos est silencieux, c'est celui du début de la pièce. Quand Marc regarde longuement le tableau et que Serge croit qui l'admire alors qu'il se demande pourquoi il l'a acheté. Le deuxième quiproquos est celui de rire « il riait de bon cœur mais pas pour la bonne raison », Marc se moque du tableau. Le troisième quiproquos est important, c'est celui de la fin de la pièce, le skieur sur la

Séance 2 : L'école des Femmes, Molière Introduction : C'est une scène d'aveu, avec un double quiproquo. I/ Une scène d'aveu comique : 1) Un aveu difficile : la parole d'Agnès innocente et cruelle : -Contraste avec l'innocente d'Agnès et son insouciance et l'angoisse d'Arnolphe. Elle lui avoue tout sans voir le mal. (« Oh tant il me baisait les bras ») Arnolphe est au martyre, il souffre. Mais il veut connaître la vérité, donc il continue à l'interroger. Cela se traduit par les

marquise. Celle-ci vexée par les reproches de Mme Jourdain quitte les lieux. Scène 3 à 5 1) Qu’est-ce qu’un quiproquo ? C’est un malentendu entre 2 personnes qui croient parler de la même chose ou de la même personne. 2) Scènes 3 et 4 : Sur quoi porte le quiproquo ? Le quiproquo porte, ici, sur l’identité de Covielle et de Cléonte. 3) Quels éléments font comprendre au lecteur qu’il y a un quiproquo ? Le lecteur sait que Covielle et Cléonte sont déguisés grâce aux didascalies (ou indications scéniques)

d’une des dernières représentations du malade imaginaire en 1673. 3. L'œuvre, les personnages, l'avis personnel: I-Le cadre spatio-temporel L'histoire se déroule pendant une journée, dans la maison du père de Célie, l’action tourne autour d’un quiproquo. Cette intrigue respecte la règle des 3 unités. II-Les personnages Gorgibus, père de Célie ne tient pas ses promesses et souhaite que sa fille épouse le meilleur parti possible. Célie est une très jeune femme, elle est insouciante, obéissante

« Euh ! » V .576 « Mon Dieu, non ! » V.583 . Ce passage s’appuie aussi sur un procédé comique bien connu : Le quiproquo . Du vers 571 à 578 un premier quiproquo émerge . En effet, le quiproquo porte sur ce qu’Horace a pris à Agnès ; Arnolphe parle de prendre la virginité de celle-ci, quant à la jeune fille elle parle d’avoir pris un objet plus précisément ici un ruban . Ce quiproquo se situe exactement au même vers que ceux où le rythme est qualifié de rapide. Le second malentendu a lieu aussi

I, on assiste à un quiproquo ds lequel Argan apprend à Angélique qu'elle va se marier, elle pense que c'est avec Cléante (son amant) mais en réalité son père parlé de Thomas Diafairus (un médecin). Pba: Comment Molière, dans cet extrait, utilise-t-il le quiproquo comique pour lancer l'intrigue de la pièce ? Muts: 1) Jusqu'à la réplique de « Toinette à Argan » : Le père veut marier sa fille 2) Jusqu'à la réplique d'Angélique « Cléante, neveu de monsieur Purgon » : Le quiproquo 3) Jusqu'à la fin de

contexte de la scène, annonce du plan.  Plan  I. Une scène comique mais aussi une réflexion sur le mariage.  1. Les procédés comiques  2. Une scène dynamique  3. Une réflexion sur le mariage  II. Une scène de quiproquos et des contrastes ; les relations entre les personnages  1. Quiproquos  2. Contrastes  3. Complicité  I. Une scène comique mais aussi une réflexion sur le mariage.  1) Les procédés comiques  - Jeu de masques qui rendent la situation comique  - Comédie de mots : « mon père qui était

L16-L29- II- La « folie » du quiproquo à la révélation. « C’est à la tête que le mal le tient. » Ici, Dubois révèle le mal de Dorante en créant un comique de geste comme l’indique la didascalie « il se touche le front ».On observe alors que la scène devient alors réélement comique. La comparaison à valeur hyperbolique « timbré comme cent » vient alimenter le blâme que Dubois fait de son maître pour ensuite mieux faire son éloge. Puis, Araminte est surprise de la confidence de Dubois car celle-ci