Quiproquo Amoureux

reine prisonnière de l’étiquette de la Cour fait part de son ennui à sa suivante.  Scène II. La reine songe au mystérieux jeune homme qui lui envoie des fleurs et lui écrit son amour.  Scène III. La reine reconnaît en Ruy Blas le mystérieux amoureux.  Scène IV. Don Guritan provoque Ruy Blas en duel.  Scène V. La reine s’emploie à empêcher le duel. Acte III : Ruy Blas  Scène I. Les ministres offrent le spectacle de leur corruption et de leur cupidité (scène très écourtée).  Scène II. Ruy

texte à lire/ un spectacle à voirLe non-verbal : -Didascalies-Didascalie interne-Didascalie initiale- décors, costumes, objetsLes mots-clefs de l’intrigue : -Actes/ Scènes-Coup de théâtre-Quiproquo-Deus ex machina-Scène d’exposition(I,1), nœud, dénouement-dilemme-ironie tragiqueDéfinitions  : · Répliques  : les paroles qu’échangent les personnages sur scène ·

d’un quiproquo de la ligne 1 à 12 et la justification de l’infidélité de la ligne 13 à 31. I/ Un Comte séducteur et ridicule au cœur d’un quiproquo (l 1 à 12) A/ La comparaison entre la Comtesse et Suzanne (l 1 à 4) C’est sur une exclamationextrêmement drôle du Comte que s’ouvre notre extrait: « Mais quelle peau fine et douce, et qu’il s’en faut que la comtesse ait la main aussi belle ! » (l 1-2) Le comique de situation se trouve au cœur de la scène puisqu’Almaviva, au cœur d’un quiproquo, va

d’être connu de vous. M. JOURDAIN- Non, monsieurs. ».Dans l'acte III, scène 7 de L'avare, la situation est aussi comique, au commencement  : C'est avec étonnement que Cléante apprend que sont père Harpagon veut épouser Mariane, la femme dont il est amoureux « Madame, a vous dire le vrai, c'est ici une aventure ou sans doute je ne m'attendait pas ; et mon père ne m'a pas peu surpris lorsqu'il m'a dit tantôt le dessein qu'il avait formé ». Le comique de situation est aussi présent des le début de l'acte

développer au Moyen Age, alors que la comédie n'est pas considérée comme un genre littéraire mais comme un spectacle populaire. C'est ainsi, que naquirent les farces aux intrigues rudimentaires et aux personnages typés, exploitant les ressources du quiproquo et du comique de gestes. Cette forme populaire sera par ailleurs, plus tard, stylisée par la commedia dell'arte. En France, les farces les plus célèbres sont : • La Farce de Maître Pathelin • Le Pâté et la Tarte • La Farce du Cuvier

vocabulaire fin et soutenu est mêlé au vocabulaire courant et actuel. Cette scène reprend le thème de la séduction d' Alcmène, épouse d'Amphitryon, par Jupiter, qui a pris les traits de son mari dans un but bien précis, cet extrait étant fondé sur un quiproquo. Le commentaire s’attachera à exprimer les trois «lieux communs» comiques et mythologiques exploités par Giraudoux. [En premier lieu, il s'agira de montrer comment l'auteur exploite une scène typique de deux amants: celle du dialogue suivant

dentelle présent sur ces vêtements. Don Guritan provoque Ruy Blas en duel car il lui aussi est amoureux de la reine et veut tuer son rival, cependant la reine l’envoi donner une cassette à son père à Neubourg ce qui, fait repousser ce duel à plus tard. Acte III : Grâce à son énergie et à la protection de la reine, Ruy Blas est devenu premier ministre. Il désir sauver le royaume (conseillers corrompus…). Amoureux, il veut sauver la reine. Il invite les conseillers qui ruinent l'Espagne. La reine lui avoue

deux personnages qui est souvent une des première étapes du jeu de séduction , c'est une façon d'analyser et apprendre l'autre sans qu'il n'y ai de dialogue échanger , le regard joue un rôle important lors de la première rencontre pour les futurs amoureux. Le champs lexical dominant est celui de la vue : « aperçu » « il ne la voyait pas s'avancer» « a se regarder» l'imparfait montre une action qui dure , « julien n'avait jamais vu » et le plus que parfait montre le manque d'expérience . II)

société qui est la jalousie. Arnolphe élève Agnès dans l’ignorance pour sois disons la préservée des perversités de la société et se marier avec elle par la suite, mais la naïveté de cette dernière la mène vers le cocuage avec un certain Horace. Le quiproquo entre Arnolphe et Horace constitue tout le comique de la scène 6de l’acte IV qui nous est été proposé. En effet Horace se confie à Arnolphe et avoue ses plans avec Agnès sans qu’il sache que celui-ci est finalement son jaloux. Mais une question

secondée par son fidèle serviteur, qui apparaît ici comme le double burlesque du vicomte. - Les quiproquo : Dans le roman, le narrateur met en scène la naïveté de certains personnages à travers les quiproquo. Le premier concerne bien évidemment Cécile (Lettre 1) qui confond un simple cordonnier avec un homme du monde, celui qui s’apprête à devenir son mari. Mais, ne peut-on pas qualifier de quiproquo, l’aveuglement de Mme de Volanges à l’égard de Mme de Merteuil, ou celui de la Présidente envers