Quiproquo Amoureux

l'ouvrage. Certaines oeuvres littéraires utilisent des procédés comiques. Ces oeuvres utilisent des procédés comme le quiproquo, le comique de geste ou encore les jeux sur les mots. Molière utilisa ces procédés dans beaucoup de ces oeuvres, notamment dans Les fourberies de Scapin, paru en 1671. Cette pièce raconte l'histoire de Scapin, dont le maitre, Léandre est tombé amoureux de l'égyptienne Zerbinette. Pour l'épouser, celui-ci doit la racheter à la troupe qui la possède. Mais le père de Léandre;

s’embarrasse votre amour. JUPITER Ah! ce que j’ai pour vous d’ardeur et de tendresse Passe aussi celle d’un époux, Et vous ne savez pas, dans des moments si doux, Quelle en est la délicatesse. Vous ne concevez point qu’un coeur bien amoureux Sur cent petits égards s’attache avec étude, Et se fait une inquiétude De la manière d’être heureux. En moi, belle et charmante Alcmène, Vous voyez un mari, vous voyez un amant; Mais l’amant seul me touche, à parler franchement, Et

* dialectiques : opposer des points de vue federateurs. * Reunir les interlocuteurs autour d’un projet commun * Persuasive poussé a la décision a l’action. * Un cas particulier : le quiproquo * Comique ou tragique Erreur sur l’identité d’une personne ou sur la nature le quiproquo établie un connivence avec le lecteur. Le dialogue a ici une fonction essentiellement informative : Neron livre un secret a Burrhus : l’assassinat prémédité de Britanicus et ses mobiles Mais il s’engage

Une déclaration d'amour douloureuse Acte II, scène 9 « Lisette, quelque éloignement…que je souffre ! » [Présentation œuvre] Cette scène est la deuxième entrevue entre Dorante et Silvia. Elle se situe juste après l’aveu amoureux des valets, au registre comique. Si la première rencontre des deux maîtres était placée sous le signe de la galanterie et du badinage, puisqu’elle nous montrait la « surprise de l’amour », celle-ci va se distinguer par sa gravité et par la souffrance que vont éprouver

les lieux, les personnages et le temps sont basés selon l’intrigue. Agnès, jeune fille innocente, est décrite comme quelqu’un de bête pendant que Arnolphe tombe désespérément amoureux tout en supportant sa théorie sur les femmes en même temps que Horace est dés le début aveuglé par l’amour. Le fonctionnement des conflits amoureux est souvent semblable dans toutes les œuvres. Ici nous pouvons évoquée la Commedia dell Arte italienne du XVIIème siècle, dont un des séduisants est effectivement Horace.

l’époque, comme les tragédies classiques, romantiques ou encore la comédie classique. Parmi ces genres théâtraux nous allons voir lequel est le lus adapte pour rendre compte des sentiments amoureux. Tout d’abord, nous allons voir si le drame romantique est le plus adapte pour rendre compte des sentiments amoureux. Le drame romantique est apparu au début du XIXème et fut crée par Victor Hugo. Il vient juste après le romantisme et parle donc d’amour mais d’amour malheureux et triste, qui finit le

« Peu importe qu’il soit un malentendu triste ou joyeux, tomber amoureux est toujours un début de victoire. » R. Enthoven L’amour est un sentiment que la majorité des êtres humains ressentent une fois au moins dans leur vie. En effet, il y a l’amour que l’on ressent pour sa famille et ses proches. Mais il y a surtout l’amour que l’on ressent pour son partenaire. Cela représente un sentiment éternel de bonheur et de bien-être pour chaque individu. A ce propos, R. Enthoven déclare : « Peu importe

scène comiqueAprès la tension dramatique de la scène 7 (dialogue troublant entre Silvia et Dorante en domestiques), l’arrivée d’Arlequin donne de la légèreté au dialogue. 1. Comique de situation- Le quiproquo : l’ensemble de la pièce repose sur des quiproquos au sens propre (prendre qqn pour qqn d’autre). Ici, l’inversion des rôles entre Dorante et Arlequin assure cette 1ère forme de comique. Il est en effet amusant de voir comment un valet déguisé en maître se permet de parler

sa deuxième réplique. 3) anachronismes Anouilh une fois de plus pervertit le langage de la tragédie par l'emploie de nombreux anachronisme "carte postale" "rouge à lèvre" "café" 4) quiproquo Il s'agit en réalité d'un dialogue de sourd, construit autour du quiproquo du rendez vous d'Antigone. Cette discussion avec la Nourrice renforce un peu plus la solitude d'Antigone car sa nourrice ne comprend pas du tout la situation qu'elle va devoir affronter Antigone apparait seule

trompé, il veut épouser une femme sotte pour qu’elle n’ai pas voir ailleurs. Il met ainsi en place une stratégie pour que sa future femme soit ignorante. Cependant, il est intéressant de noter que lorsqu’Agnès lui « appartient » il n’en n’est pas amoureux alors que lorsqu’elle prend de la distance et qu’il n’est plus maître de la situation, subitement, il s’éprend d’elle. De plus, c’est sa peur d’être trompé qui crée la pièce. Plus sa jalousie et sa curiosité augmentent (à propos de la manière dont