Question prioritaire de constitutionnalité

Le Conseil constitutionnel a été saisi le 1er juin 2010 par la Cour de cassation (arrêt n° 12030 du 31 mai 2010), dans les conditions prévues à l'article 61-1 de la Constitution, d'une question prioritaire de constitutionnalité posée par MM. Daniel W., Laurent D., Eddy et Driss G., Hamza F., Antonio M. et Ferat A., Mme Elena L., MM. Alexander Z., Ahmed B., Samih Z., Rachid M., Mike S., Claudy I., Grégory B. Ahmed K., Kossi H., Willy P. et John C., Mme Virginie P., MM. Mehdi T., Abibou S., Mouhssine

Droit constitutionnel « Le contrôle de constitutionnalité en France et aux Etats-Unis » Proposition de plan Introduction La constitution est un texte qui fixe les droits et les devoirs fondamentaux des individus au sein d’une société. Corps de règles suprêmes, elle fonde l’autorité étatique, organise ses institutions et ses pouvoirs. En cela elle assure le bon fonctionnement d’une communauté, généralement d’un Etat. La constitutionnalité désigne le caractère de ce qui a la nature d’une

normes elle est au sommet, c’est la norme suprême du système juridique français. Par conséquent, les normes lui succédants ne peuvent la contredire . La constitution est protégée par le conseil conseil constitutionnel grâce au contrôle de constitutionnalité. Néanmoins, la Suprématie de la Constitution est actuellement remise en cause et cela à cause du droit de l’Union Européenne et le droit issu de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales.

liberté d'association qui permet l'introduction du préambule de la constitution dans les normes de référence du conseil (DDHC, Préambule de 1946, Les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République. Dorénavant, il contrôlera la constitutionnalité des lois à partir de ce préambule également. De plus, la révision constitutionnelle du 29 octobre 1974 facilite la saisine du conseil en l'élargissant à 60 députés ou 60 sénateurs (en plus du président de la république, du premier ministre

décret n°55-885 du 30 juin 1955, est contraire aux articles des droits de l'Homme et du citoyen ce qui entraîne la question de la conformité de la loi aux articles de la Constitution. La partie du défendeur au pourvoi avance les arguments que la loi L.5112-3 du code général de la propriété des personnes publiques est applicable au litige, et que le sujet ne portant pas sur la constitutionnalité de la loi l'article 61-1 ne s'applique pas et il n'y a pas de raison de renvoyer l'affaire au Conseil Constitutionnel

23 juillet 2008, le contrôle de constitutionnalité n'avait lieu qu'a priori. Dès lors, le contrôle de conventionnalité se révèlait être le seul moyen de mise en avant de l'irrespect des normes fondamentales, a postériori. Depuis la Question prioritaire de constitutionnalité qui permet ce contrôle après la mise en application de la loi, le contrôle de conventionnalité a perdu de son importance et une part de son utilité. Cependant, les contrôles de constitutionnalité et de conventionnalits continuent

principes généraux de droit. En effet, toute loi organique ou réglementation parlementaire doit être soumise à un contrôle de constitutionnalité avant son adoption, et depuis la révision de 2008 elle peut être contrôlée à posteriori, en effet le conseil constitutionnel est devenu directement saisissable par le justiciable créant ainsi la question prioritaire de constitutionnalité (QPC). Le conseil constitutionnel a donc une importance capitale lors de son exercice de contrôle sur une loi, il l'exerce

règlements des assemblées sont désormais obligatoirement soumis, avant leur application, au contrôle du Conseil Constitutionnel. Ainsi en juin 1959 le Conseil Constitutionnel a interdit le vote de propositions de résolution à l’issue d’un débat sur une question orale. Cette décision revêt un caractère capital dans l’établissement des fondations de la Vème République elle inaugure de plus la jurisprudence du Conseil Constitutionnel. Elle affirme le principe suivant, alors méconnu en France que le Parlement

Il y'a une multiplication des droits textuels : Pyramides avec 5 niveau de normes existent dans notre droit textuel français : Sommet 1 : Constitution ( + Lois constitutionnelles , lois référendaires à objet Constitutionnel + Bloc de Constitutionnalité ( Déclaration des droits de l'H de 89 , Préambules de la Consti de 58 ) Sommet 2 : Lois organiques et règlements parlementaires . ( Valeur infra constitutionnelle et supra législative ) Sommet 3: Les lois ordinaires + Ordonnances ratifiées

reporté de quelques mois. Le tribunal a renvoyé sa décision au 7 mars 2011, jour prévu de l’ouverture du procès de M.Chirac, pour « prise illégale d’intérêts » et détournement de fond ». S’il a démenti en être à l’origine, la question prioritaire de constitutionnalité, qpc, a finalement provoquée le report, ce mardi 8 mars 2011, du procés de Jacques Chirac, sur les emplois fictifs ouvert la veille. Cette procédure, si elle aboutissait, pourrait aller jusqu’à le faire annuler. Introduite, il