Quel Avenir Pour Le Mariage Homosexuel

définition ne peut pas convenir car elle est trop éloignée de l’idée de transgression. • Ensuite, la déviance peut être définie comme relevant du pathologique. Selon Becker, cette dernière englobe les malades mentaux, les toxicomanes, les homosexuels qui dysfonctionnent par rapport à la norme. Certains sociologues pensent que la déviance ne repose pas sur la santé ou la maladie. • Aussi, du point de vue sociologique, la déviance est définie comme la désobéissance aux normes du groupe

déclare la guerre à la finance », pour s’y soumettre ; on « moralise le capitalisme », pour sauver les banques ; on « dégraisse le mammouth », en l’engraissant ; on impose la parité homme-femme en politique, quand elle devient subalterne dans le mariage. La République « une et indivisible » est plurielle et divisée comme jamais. C’est la République-Potemkine. Tout est en carton-pâte. Tout est factice. Tout est retourné, renversé, subverti. L’Histoire est toujours notre code, mais c’est une

couples hétérosexuels, couples homosexuels), il ne les soumet cependant pas à un statut juridique uniforme. A chaque couple son statut ! En effet, chaque couple est régi par des règles qui lui sont spécifiques. Bien évidemment, parce qu’il demeure aujourd’hui encore le modèle familial de référence, le couple marié jouit des faveurs du législateur qui continue à le privilégié par rapport aux couples non mariés (Partie 1), qu’ils soient hétérosexuels ou homosexuels (Partie 2). Partie 1

rendent l’existence en commun impossible, la stérilité définitive médicalement établie, la maladie grave et incurable du conjoint absent découverte pendant le mariage, l’incompatibilité d’humeur rendant intolérable le maintien du lien conjugal, le refus du conjoint absent d’exécuter les engagements pris en vue de la conclusion du mariage. Toutes ces causes de divorce ont pour fondement la présence au domicile conjugal du conjoint aux torts de qui le divorce est demandé. Elles ne peuvent être

posséder des biens en leur nom propre. Mari et femme étaient une seule et même personne aux yeux de la loi. Mais cette unité se réalisait à travers la personne du mari uniquement. La femme, placée sous sa protection, perdait toute existence séparée. Le mariage marquait sa mort civile : • Le mari devenait propriétaire des biens de sa femme, même de ses effets personnels. • Il devait subvenir aux besoins de son épouse, et devait payer ses dettes. • La femme ne pouvait ester en justice, ni faire l’objet de

encore largement la norme statistiquement parlant, il peut maintenant être monoparentale, recomposée constituée d'un couple mixte marié ou non marié ou encore homosexuel même si ces exemples ne constituent pas la majorité des cas, ils ont tout de même leur place au sein de la société.. La hausse des divorces, (un couple sur deux après 5 ans de mariage) assurée par l'autorisation de divorce par consentement mutuelle en 1975, on eu une forte influence sur l'évolution de cette structure familiale. Ces transformations

nombreux à vivre en concubinage que mariés. Inversement, l’union libre est désormais répandue, surtout en ville. Le mariage intervient souvent lors de la 1ère naissance, mais les naissances hors mariage qui n’étaient que de 6% il y a 20 ans, atteignent désormais 20% des naissances annuelles. Enfin, le nombre des divorces s’accroît régulièrement, passant de 10 à 37% des mariages entre 64 et 87. Mais après un divorce, la cohabitation ou le remariage sont fréquents, montrant qu’il n’y a

à tout âge, doit honneur et respect à ses père et mère » (a. 371), « L’enfant conçu pendant le mariage a pour père le mari » (a. 312), ou, fulgurant raccourci, « En fait de meubles, la possession vaut titre » (a. 2279). La tradition roule ses diamants, et l’invention continue. S’il est écrit : « la prescription court… » (a. 2251), « les transactions se renferment » (a. 2048), « Il n’y a pas de mariage lorsqu’il n’y a point de consentement » (a. 146), « l’enfant naturel entre dans la famille de son

était fortement sous l’influence de la religion catholique, la famille était donc fondée sur le mariage catholique autrement dit elle résultait d’un sacrement. Par conséquent les traits caractéristiques de l’époque étaient que la famille est indissoluble puisque le mariage est indissoluble, et c’est la famille légitime (qui repose sur le mariage) qui est prédominante. Ainsi les enfants nés hors mariage (appelés bâtards) n’avaient aucun droit. Dans les rapports entre les membres de la famille, c’est

simplification de la procédure de divorce et l’augmentation de ceux-ci, mais aussi par l’émancipation de la femme. Ces bouleversements conduisent vers de nouvelles structures familiales avec l’apparition des nouvelles législations sur les couples homosexuels et l’émergence des familles monoparentales. Cette reconnaissance conduit peu à peu à une banalisation des familles monoparentales. Aujourd’hui, vivre seul(e) avec des enfants n’est plus stigmatisant. Cependant, d’après les statistiques la