Que Savons Nous D Autrui

Introduction : A travers notre présentation nous allons vous parler des grandes lignes qui interagissent entre d’un coté le droit et de l’autre la morale et la religion Comme nous l’avons apprit en début d’année à travers les cours de Mme Bénejat, nous savons d’ores et déjà que le droit est un ensemble de règles dites de « droit ». Ces règles représentent des normes de conduites et la particularité principale de la règle de droit par rapport aux autres ce sont ses caractères contraignants. Globalement

l’égard du pouvoir peut mener un citoyen droit en prison. Enfin, en cas de conflit interne, notamment entre deux communautés, les causes peuvent être d’ordre religieux, ethnique ou politique. En ce qui concerne par exemple L’Irlande du Nord, nous savons que des protestants britanniques se sont installés et ont pris le pouvoir dans cette région, soumettant la population catholique à leur dominance. Comme les Irlandais catholiques voyaient leurs droits bafoués, ils ont eu recours au terrorisme pour

ils n'hésiteront pas à l'utiliser. Corps Il est vrai que la violence est assez souvent plus destructrice que la lâcheté. En effet un conflit quelconque peut être évité si un des protagonistes fait preuve de lâcheté. Dans le cas contraire, nous savons par de nombreux exemples que la violence engendre la violence et que ce type de conflit se termine la majorité du temps par une atteinte à l'être humain mais aussi souvent par la mort. Il est également vrai que certaines révolutions ou revendications

interpersonnelle, parce que l’homme a besoin de confiance, de placer sa confiance en celui qui, plus expérimenté, pourra lui apprendre quelque chose. Dans une grande partie de notre vie, nous passons notre temps à croire, à mettre notre confiance en autrui pour entrer en relation avec lui : relation maître/disciple, relation parents/enfants, etc…autant de situations existentielles qui sont des modalités de l’amitié, des relations interpersonnelles fondées sur la confiance, sur le fait de croire en quelqu’un

peuvent se présenter . Par exemple, la notion de faute, de dommage moral, de dommage physique, de dommage par ricochet, de réparation, de préjudice, etc. sont définies par les juges par l'article 1382 : " Tout fait quelconque de l'homme qui cause à autrui un dommage , oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer . La suppléance de la loi est la deuxième fonction des juges . Cet article pose l'obligation de juger sous peine de poursuite pour "déni de justice" , même en cas de silence

nous sommes donc obligé de faire des actions qui ne nous conviennent pas, afin de respecter ces normes sociétales. C'est d'ailleurs à cette autorité du milieu social que nous sommes engagés. Nous n'y échappons point car tout est évalué, jugé par autrui, et n'a de sens que par rapport à eux. Ainsi nous nous plions tous les jours au conformisme social, et endossons un rôle, qui ne nous représente pas, et nous force à effectuer des actions qui ne sont pas, celles que l'on aurait voulu exécutés. Ce

par son devoir d’introspection se connaître parfaitement et donc avoir conscience de lui-même. Et si le sujet a conscience de soi, alors il est certain de se connaître et de connaître ses différences aux autres. Il a su s’analyser et se comparer à autrui. Il est donc certains de faire parti d’un monde, même douteux, ou rempli d’illusions, il est donc certain de se connaître, une certitude que lui a donner la conscience de soi. Ainsi la conscience de soi permet au sujet de savoir avec certitude qu’il

dans la conduite humaine, en faisant état d’un système de valeurs. Le système de valeurs de celui qui pense par lui-même est-il le bon ? Au nom de quoi le justifie-t-il ? * Penser par soi-même, c’est d’abord ne pas penser par autrui. D’ailleurs répéter passivement ce qui se dit ou ce qu’on dit ne peut pas s’appeler penser, ce qui montre que l’expression doit être comprise dans une perspective qui met en valeur l’effort de l’individu pour réfléchir par ses propres moyens. En effet

L'autre : « l'autre » en philosophie recouvre une pluralité de sens et n'est pas strictement réductible à « autrui ». C'est le contraire du même, du connu, du normal, du prévisible : tout ce qui fait éclater les repères… Tout ce qui dérange les habitudes mentales et force de l'étonnement. Ebauche de plan : I) Les autres peuvent nous aider à pacifier la peur de l’inconnu : A ) Autrui : le garde fou de la normalité lorsque la raison vacille ; B) Mais aussi la victime à sacrifier comme bouc-émissaire

impensable et même immorale de détruire des langues et de renier les racines de certains. Au contraire, c’est le fait de reconnaître ces différences et de les accepter en chacun qui briserait les barrières dans notre mental et on pourra alors regarder autrui avec beaucoup plus d’empathie. On ne verra plus les étrangers comme des ennemis en pensant que comme ils ne sont pas comme nous ils ne sont pas normaux, mais en acceptant leurs différences on pourra alors se préoccuper réellement de l’autre et le