Pulsion Et Destin Des Pulsions Freud

d’hystérie de Dora Freud nous introduit à l’état de la maladie de Dora à travers deux rêves, l’un est un rêve qui exprime le souhait de Dora d’être protégée de son père de son désir pour Mr K. Le deuxième est un rêve de vengeance de son père parce qu’il désire Madame K. Pendant la présentation du premier et du deuxième rêve ainsi que les commentaires postfaces, l’état de la maladie de Dora se complexifie puisque plusieurs causes de son hystérie viennent en jeu. Freud mentionne la tendance

Le tueur au menthols. Tel un fauve qui part en chasse, il commença à repérer la zone, marchant sans destin, à l’affut des proies, la quelle était la plus accessible, la plus méritante de son coup fatale, celle qu’il allait libérer des chaînes de ce monde, la proie parfaite en tout point, celle qui pourrait satisfaire sa soif de sang. Tout le long de la rue Freud, une longue avenue de passage dense aux heures de pointe, il attendit, camouflé dans un petit bar avec son café et ses menthols. Une

conscience : «Qu’est-ce que la conscience ? Vous pensez bien que je ne vais pas définir une chose aussi concrète, aussi présente à l’expérience de chacun de nous.» = saisie intuitive. Mémoire + choix : elle est fondamentalement intentionnalité. Freud, la psychanalyse, l’inconscient L’appareil psychique est comparable à un iceberg : sa plus grande partie est inconsciente. Topique des 3 lieux : Censure Refoulement Actualisation du souvenir Refouler : chasser des désirs du système préconscient-conscient

Spinoza fixe une première limite au rire, celle d’outrepasser la dignité de la personne et de se complaire dans la bassesse et la bêtise. Le rire visant la personne pour le plaisir de lui faire mal, en dehors de toute préoccupation personnelle, non destiné à servir celle ou celui qui en ait le sujet, n’est qu’une raillerie sans intérêt, hormis peut-être d’en apprendre un peu plus sur le railleur. Le rire méchant est en effet d’avantage la conséquence d’une blessure ou d’un dérèglement psychique chez

fragilité de la conscience = le tragique ; la tragédie c’est quand un homme est déchiré, divisé, séparé, c’est-à-dire quand on a quelque chose d’inconciliable ; on parle aussi quand un homme cherche à échapper à son destin grâce à sa liberté, mais il n’échappe tout de même pas à la force de son destin ; ces situations parlent le mieux de la nature humaine (qui n’est ni dieu ni bête)- exemple : Antigone de Sophocle * cette tragédie illustre l’essence même de ce qui est irréconciliable ; dire que la conscience

càd sur le principe du même, le principe du familier, principe du déjà connu. Le but du moi est de détruire le non moi. Le non moi c'est l'autre, ce que le moi ne maîtrise pas et qui le met en danger. Il s'agit de détruire sa propre altérité car Freud dit : « le moi n'est pas le mâitre dans sa propre maison ». La haine de l'autre serait donc le résultat de l'amour de soi = origine de problèmes identitaires Le rapport à autrui est basé sur la discord et l'asymétrie. On fait supporter à l'autre

Anne Ducrey (Paris-Sorbonne) Attention : ceci est un COURS qui emprunte la forme d’un commentaire composé, nécessairement plus complexe donc que l’étude que l’on vous demanderait puisque destiné à informer la lecture du texte. Zola, Nana , Chapitre XIII, p. 443 (« Muffat avait accepté ») …… p. 448 (« en chemise. ») On est à la fin du XIIIe chapitre, un chapitre marqué dans son ensemble par l’exagération épique et la mythification

bien par l’apprentissage que l’homme accède à la culture. Le langage, dont on a parlé, permet l’éducation et favorise l’accès de l’homme à la culture laquelle tend à maîtriser l’animalité contenue en chaque homme. C’est elle qui tend à arrêter ses pulsions animales, ses envies premières, ses appétits extrêmes. Il semble donc que la différence entre l’homme et l’animal se situe entre nature et culture. Toutefois, quand on observe certaines terribles situations humaines, à l’instar des dictatures,

Le désir Extraits de textes philosophiques sur le désir. D'abord, quelques citations : Sometimes a cigar is just a cigar. Freud L’amour, c’est offrir quelque chose qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas. Lacan Les étoiles, on ne les désire pas. Goethe Il tourne dans le cercle étroit de ses désirs, comme un jeune chat jouant avec sa queue Goethe, Faust, « La cave d’Auerbach à Leipzig » Le mimétisme du désir (et des affects en général) : Belle comme la femme d’un autre. Paul

L’Homme a-t-il naturellement besoin d’autorité ? « L’Homme est un loup pour l’Homme, quand on ne le connaît pas », écrivit Plaute dans sa comédie Asinaria , vers 195 av J.-C. L’inconnu, l’étranger, évoque irrésistiblement cet état brut auquel nous nous référons lorsque nous songeons sans trop y réfléchir, à ce que serait l’Homme « naturellement ». Resurgit alors chez certains, cette angoisse de la mort violente, à cause de l’incertitude de ce que l’inconnu pourrait