Psychiatrie Hopital De Jour

de notre cours de la population des soignants en master 2 Management des Organisations Sanitaires et Sociales, il nous a été demandé de réaliser un travail à partir d’un sujet choisi parmi plusieurs propositions. Notre choix porte sur le thème : Hôpital et EHPAD : quelle passerelle de demain ? « L’hôpital, purement religieux et caritatif, est devenu de nos jours un lieu où on rassemble les malades. » J. Noël FABIANI, (1947). L’hôpital est un établissement public ou privé ayant pour première

Zone de Santé de Katwa. Il est à 25 km latitude Nord, à 1.800 m d'altitude sur une colline surplombant la ville de Butembo où la température moyenne est de plus ou moins 25° C. I.1.2 APERCU HISTORIQUE DE L'HOPITAL MATANDA L'historique de cet hôpital remonte à la période coloniale. Vers les années 1956, l'administrateur colonial obligea le chef de groupement de l'époque de lui céder un terrain. Au cours de la même année, les constructions sont entreprises. Malheureusement les travaux furent arrêtés

surveillance constante.) * Soins de suite ou te réadaptation (Soins qui se font dans le cas d’un traitement ou de convalescence) * Soins spécialisé (la psychiatrie, handicap…) Les activités hospitalières et les modes d’hébergement : * Hospitalisation complète (Dans la plupart des cas) * Hospitalisation à temps partielle (le jour ou la nuit) * Les structures qui prennent en ambulatoire (dans le but de réduire à quelques heures la durée de l’hospitalisation. Ex la chirurgie dentaire)

tant social que physique. En plus de l’isolement, les conditions sales des centres de quarantaine ou des hôpitaux dans certains pays sont affreux, ce qui fait encore peur aux gens. Rachel Gachuna, une Kenyane a partagé les conditions lamentables des centres de quarantaine dans son pays. « Les toilettes sont juste sales, en désordre... même les nettoyeurs qui s'occupent des toilettes une fois par jour se plaignent du désordre des toilettes » disait elle à la BBC. Autrement, les restrictions imposées

la police et de la gendarmerie devront travailler en fonction d’objectifs précis et seront évalués en permanence. De leurs résultats dépendra leur carrière”. La machine à faire baisser les chiffres de la délinquance est en marche depuis le premier jour. Dès juillet 2002 la consigne est claire. Sévère aussi. La philosophie d’ensemble porte un nom, “la culture du résultat” que le ministre explicite dans son ouvrage: “avec l’obsession du terrain, la culture du résultat fut la seconde règle que je nous

UN SIECLE DE FÉMINISME EN FRANCE : RECHERCHES ET BILAN Conférence de Sylvie CHAPERON (10 novembre 2004) Histoire sommaire du terme féminisme : • apparition fin XIXe siècle dans le contexte du développement de la psychiatrie aliéniste qui accorde la primauté à la théorie de la dégénérescence. Féminisme désigne donc d’abord une maladie qui touche les hommes « efféminés », allant éventuellement jusqu’à la perversion (homosexualité). • Terme détourné par une militante « féministe » au début des

sanitaire n°6(CRETEIL-VILLENEUVE-Saint Georges). Conçu initialement pour accueillir 1300 lits, il en compte aujourd’hui 898 repartis comme suit : - 512 lits de médecine - 281 lits de chirurgie - 105 lits partagés entre les urgences, la psychiatrie et la neurochirurgie En ce qui concerne l’activité ambulatoire, 51 places sont autorisées en médecine, 4 en chirurgie et 8 en dialyse. Les activités de l’hôpital s’organisent autour des grands themes : - digestif médicochirurgical -

Interviews . . INTERVIEW N° 1 F., éducatrice spécialisée, Hôpital de Jour (mi-temps) . . INTERVIEW N° 2 A. M., monitrice éducatrice depuis 1978, Hôpital de Jour . . INTERVIEW N° 3 F., infirmière psychiatrique depuis douze ans, a travaillé trois ans en internat. . . INTERVIEW N° 4 I., infirmière psychiatrique depuis 1984, expérience d'internat pendant trois ans. . . INTERVIEW N° 5 Fr., infirmier psychiatrique depuis six ans, Hôpital de Jour, une expérience d'internat (deux ans). . . INTERVIEW N°6 Mme

patients doivent payer pour leur propre matériel médical afin d'être pris en charge, ce qui entraîne un retard important dans la prise en charge et un accès limité aux soins pour la population locale, qui est confrontée à une forte précarité. Les hôpitaux, quant à eux, souffrent cruellement d'un manque de ressources et ne sont pas équipés pour offrir une prise en charge efficace à tous les patients. Ce manque de ressources nous a permis de développer certaines compétences telles que l'autonomie, les

est incontestable ; ceci ne nous empêche pas de critiquer la démarche qui vise à confirmer le diagnostic par leurs effets : « Il existe des antipsychotiques, des antidépresseurs (...) Il existe donc des psychoses, des dépressions » [1]   La psychiatrie classique disparaît donc aujourd’hui au profit d’une médicalisation de la santé mentale. Disparaissent aussi les catégories diagnostiques lui permettant d’établir une distinction entre névrose et psychose. Dès lors, les cliniciens modernes s’en