Préface De Mademoiselle De Maupin De Théophile Gautier

français de la 2nde moitié du XIXème siècle. Ils succèdent à la période romantique où ils trouvaient que le lyrisme était à l'excès ainsi que l'engagement politique. Ces nouveaux principes littéraires furent définis dans la préface de mademoiselle de Maupin de Théophile Gautier. Ils disaient : "Il n'y a de vraiment beau que ce qui peut ne servir à rien. Tout ce qui est utile est laid,…". Les parnassiens réunis autour de Lecomte de Lisle refusaient une poésie de l'expression, de l'effusion des sentiments

grands débats idéologiques. La théorie de l’art pour l’art refuse tout engagement. Pour les Romantiques, l’artiste est un être à part, sa vocation poétique l’invite à devenir un prophète et un guide pour ses contemporains. Préface de Mademoiselle de Maupin, Théophile Gautier revendique le droit pour l’artiste de se consacrer exclusivement à la recherche de la Beauté .Selon lui, la première finalité de l’artiste est de faire une œuvre belle, « gratuité » apparente de l’œuvre d’art, qui est à elle-même

DISSERTATION Introduction : Au fil des années, la poésie a perdu de sa popularité auprès des sociétés et fut peu à peu dénuée de ses valeurs, malgré ses atouts et ses vertus évidentes. Comme le dit en 1835 Théophile Gautier dans la préface de Mademoiselle de Maupin, roman épistolaire français, « Moi, n'en déplaise à ces messieurs, je suis de ceux pour qui le superflu est nécessaire ». Il serait donc bon de se demander si, malgré la désaffection du public dont elle victime et que « oui, nos contemporains

(1823) : Stendhal y compare le théâtre racinien et shakespearien afin de montrer que le théâtre de Shakespeare est supérieur. - Hugo, Préface de Cromwell (1827) : Hugo y définit ce que doit être un drame romantique. shaepire et racine meme si c pas vraiment leurs epoke on c bocoup inspirer Il existe aussi d’autres auteurs, Théophile Gautier (Mademoiselle de Maupin 1835), Gérard de Nerval (L’Alchimiste 1839), Alexandre Dumas (Caligula 1837), Alfred de Vigny (Chatterton, 1835), Alfred de Musset (Lorenzaccio

L’œuvre de Théophile Gautier a des facettes différentes ; en effet le théoricien de l’Art pour l’Art, l’auteur du Capitaine Fracasse écrivait également des récits fantastiques (Ils sont au programme de la classe de seconde). La Cafetière dont le sous-titre est Conte fantastique permet de découvrir comment ce genre joue avec le statut de l’objet. La description met en scène un ameublement d’époque Le narrateur au début du récit découvre la chambre que son hôte propriétaire "d’une terre au fond

« Il y a dans ma fonction quelque chose de sacerdotal : je remplace la magistrature et le clergé. je juge, ce que n’ont pas fait les juges. Je juge, ce que n’ont pas fait les juges ; j’excommunie, ce que n’ont pas fait les prêtres. » (Projet de « Préface » aux Châtiments intitulé Histoire d’un crime). Hugo : le modèle du poète engagé mais les exemples sont nombreux avec Eluard, Aragon, Desnos (pendant la guerre) jusqu’à Bob Dylan et les « protest songs » des années 1960 (voir par exemple Masters of

plus souvent introduire une anthologie poétique thématique. Il est assorti parfois d’une invitation à convaincre un destinataire de l’intérêt du choix des pièces retenues ou de la lecture de la poésie en général. On pourrait imaginer également des préfaces servant à présenter une œuvre pour rédiger de manière originale une fiche de lecture. Il est évident que cet exercice est destiné à familiariser les étudiants avec un univers qui leur est étranger, à leur faire effectuer des recherches, à affiner

Présentation des Fleurs du Mal Ce recueil de 100 poèmes a été publié le 25 juin 1857 à Paris chez Poulet-Malassis. Ces poèmes sont répartis en 5 sections comportant respectivement 77, 12, 3, 5 et 3 poèmes. Ils sont précédés d'une dédicace à Gautier et du poème au lecteur. Les 5 sections initiales sont : Spleen et Idéal, Le Vin, Fleurs du Mal, Révolte et La Mort. Une seconde édition augmentée de 35 poèmes nouveaux (et d'une section inédite : Tableaux parisiens) est publiée en 1861. L'édition définitive

qui lui permettrait de créer du « beau ». Au XIXème siècle, cette conception de la poésie se renforce avec la théorie de l’ « Art pour l’art », développée par Théophile Gautier. En effet, il affirme qu’ « il n’y a vraiment de beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid. » dans la préface de Mademoiselle de Maupin. Pour atteindre l’esthétisme, les poètes choisissent les mots en fonction de leur musicalité et de leur nombre de syllabes. Le jeu des sonorités crée un effet

ou vertueux et son seul but est la beauté. C'est la théorie de « l'art pour l'art » de Théophile Gautier. Comme le dit celui-ci dans la préface de Mademoiselle de Maupin «  Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, tout ce qui est utile est laid. ». Pour les parnassiens, l’art est utile parce qu’il est art ; rien n’importe si ce n’est l’art. Baudelaire dédit les fleurs du mal à Théophile Gautier et affirme que les hommes qui ont écrit un poème sans défaut iront au paradis peut importe