Proust Sur La Lecture

Fiche de lecture Les registres de langue Les registres de langue (ou niveaux de langues) représentent des manières différentes de s’exprimer et de formuler des pensées de sens plus ou moins proche. Ils sont utilisés par des communicateurs en fonction de leur niveau d’éducation, leur culture et cercle social, de la personne à qui ils s’adressent, des rapports hiérarchiques établis et du degré d’intimité entre eux et également en fonction du contexte de communication. De ce fait, on distingue traditionnellement

impression ex : Madame Verdurin dans A la recherche du temps perdu de Proust, qui tient un grand salon pour paraître cultivée aux yeux des gens qu'elle invite → dénonciaton d'un travers humain très répandu B. permettent de rendre le roman plus attrayant exemple : un personnage de meurtrier peut rendre un roman plus à suspense, on a peut-être plus envie de savoir s'il va se faire arrêter ou pas donc ceci rend la lecture plus agréable C. permettent de donner un espoir au lecteur : malgré ses

lequel les effets de rupture sont prépondérants. Ce style incite à la lecture à haute voix, donnant ainsi à cette activité le statut de jugement moral de par l’effet rhétorique obtenu par la lecture orale sur les auditeurs. La Bruyère consacre au demeurant toute une section des Caractères aux effets pervers de l’éloquence. Nombre d’écrivains ont suivi le chemin stylistique tracé par La Bruyère : depuis Marivaux jusqu'à Balzac et Proust, en passant par André Gide. Biographie[modifier] On a longtemps

lendemains du double « épuisement » du naturalisme et du symbolisme, le XXème siècle s’ouvre par une Belle Epoque qu’il est d’abord pour les trois grands genres traditionnels. La poésie avec Apollinaire, le théâtre avec Claudel, et le roman avec Gide et Proust paraissent en effet retrouver un souffle nouveau et surmonter leur épuisement de la fin du XIXème. Mais la Grande Guerre précipite la brutale confrontation de la littérature et de l’art en général avec les réalités – techniques, sociales et idéologiques

politique moral qu'elle pourrait éventuellement contenir. Marcel Proust dans son ouvrage "le temps retrouvé", défend tout comme Kant, l'autonomie de l'esthétique de l'art par rapport auautre domaine (politique, moral).l'art, la littérature sont des pratiques esthétique qui ce suffise à elle même. Il n'est pas nécessaire de légitimer une œuvre d'art en la mettant au service d'une cause. C'est pour cette raison que Marcelle Proust rétorquera au théoriciens de l'art utilitaire ou humanitaire , qu'une

cultivé, est la lecture. Rien ne peut la remplacer. Ni le cours parlé, ni l’image projetée n’ont le même pouvoir éducatif. L’image est précieuse pour illustre un texte écrit : elle ne permet guère la formation des idées générales. Le film comme le discours, s’écoule et disparaît : il est difficile, voire impossible, d’y revenir pour le consulter. Le livre demeure, compagnon de toute notre vie. Montaigne disait que trois commerces lui étaient nécessaires : l’amour, l’amitié, la lecture. Ils sont

Ami Verlaine, P. Les Fleurs du Mal Rimband, A. La Comédie Humaine Mallarmé, S. Voyelles Zola, E. L’azur Maupassant, G. de Madame Bovary 4. Apollinaire, G. Le Cimetière marin Proust, M. Nadja Rolland, R. Les Faux - Monnayeurs Valéry, P. A la recherche du temps perdu Breton, A. Voyage au bout de la nuit Gide, A. Thérèse Desqueyrou Mauriac, F. Jean - Christophe

suicidée en province. Emma Bovary est la fille d’un riche paysan, élevée dans un couvent et qui a passé son adolescence à lire des romans d’amour à l’eau de rose. Lorsqu’elle épouse Charles Bovary, elle croit trouver en lui le prince charmant de ses lectures enfantines. Rapidement déçue par son quotidien de femme au foyer et par la médiocrité de son mari, elle essaie de réaliser ses rêves d’amour passionné auprès de ses amants, qui se montreront aussi veules que rustres. Définitivement désillusionnée

laps de temps dans notre existence ou dans notre journée si on réduit l’échelle, qui serait consacré à l’activité imaginante Par ex le temps où l’on dort. Ou l’enfance qui est souvent considérée comme période de prédilection de l’imagination (jeux lectures de contes…) Mais le temps c’est aussi la durée qui s’écoule temporalité ou temps vécu, donc cette fois subjectif ( ce qui sera court pour l’un paraitra durer une éternité pour un autre). La durée n’est pas découpable, les moments s’interpénètrent

permanence, ce qui le conduira à la perte de sa bien-aimée. Il accuse le destin de tous ses malheurs. 2) L’histoire racontée par le romancier doit nous attendir. Le romancier doit raconter une histoire qui ne nous laisse pas indifférent dans sa lecture, qui nous procure des sentiments, que ce soit de la colère, de la joie ou de la tristesse. - L’Assomoir d’Emile Zola : Gervaise suit l’homme qu’elle aime jusqu’à Paris, mais celui-ci la quitte. Nous suivons l’histoire touchante de Gervaise qui doit