Prologue

fils qu'elle adorait, Eurydice, la femme de Créon, se tranche la gorge. Analyse et interprétation. Le prologue La didascalie initiale révèle une inspiration antique mais aussi, à travers des anachronismes, que le mythe d’Antigone reste moderne. Habituellement, un prologue est un texte qui initie l’histoire par exemple en racontant des faits qui ont précédés. Mais ici, le prologue est un personnage, une espèce de narrateur qui s’adresse aux spectateurs et qui rompt l’illusion théâtrale en

ancien, la tragédie. Comprendre comment des situations d’argumentation peuvent construire le tragique. LECTURE : DE TEXTES : Antigone de Jean Anouilh La scène 1 de l’acte I de La Thébaïde de Racine Début de l’Antigone de Jean Cocteau Le prologue et une tirade d’Antigone de Sophocle La Guerre de Troie n'aura pas lieu de Jean Giraudoux, I en lecture cursive D’IMAGES FIXES : Photographies de mises en scène d’Antigone : André Barsacq, création au théâtre de l’Atelier en 1944 Jean Menaud

formes de prologues présentant le mythe d'Antigone. Comment le théâtre du XXème siècle reprend-il le mythe d'Antigone au travers de ces prologues ? Dans un premier temps nous parlerons des aspects politiques et historiques auxquelles la réécriture s'attache, ensuite nous viserons l'illusion théâtrale que les auteurs du XXème siècle utilisent ou non dans leurs oeuvres. La réécriture s'inscrit dans un projet de transposition historique et politique. Toutes ces réécritures du prologue du mythe

alors que Edmond Rostand met en scène des personnages en train d'assister à une représentation à l'Hôtel de Bourgogne avant que le spectacle ne commence, le spectacle est dans la salle avant d’être sur scène. Dans les deux derniers, l'Anoncier ou du Prologue s’adressent directement au public.On peut ainsi distinguer plusieurs attitudes du spectateurs. Certains spectateurs se laissent aller et expriment des émotions directement liées a la représentation, et sont réceptifs au spectacle qui se déroule

J.-Luc LAGARCE, Juste la fin du monde Prologue 1ère GT, 202x-202x Texte n° à connaître pour le xx xx 2023 Introduction : Présentation de l’auteur, de son œuvre. De Juste la fin du monde (1990, jamais publiée, 1999 publication posthume) Présentation du passage : La pièce n’a donc pas encore commencé et pourtant, le personnage principal, Louis,

Lire le titre complet, l’Avis au lecteur puis le prologue et répondez au questionnaire suivant1) Quelles informations le titre nous donne-t-il sur l’auteur, le personnage et le contenu du livre ? Le titre nous indique le nom de l’auteur, du moins un anagramme abrégé de son vrai nom, ‘’Alcofribas’’. Énigme ludique. L’utilisation du mot ‘’pantragruélisme’’ révèle le néologisme de ce dernier, et établit, dès le titre de l’œuvre, un ton humouristique. Le titre nous introduit au personnage principal

c'est bien l'esprit de comédie qui disparaît. Cette mort fait basculer la pièce dans l'univers tragique en transformant Roméo en proscrit. Cependant, si machine tragique il y a, elle ne fait intervenir nulle fatalité et les astres invoqués dans le Prologue n'ont pas grand-chose à y voir. L'acte IV dessine encore les contours d'une issue possible au drame des amants séparés, même si les solutions envisagées sont extrêmes : sur les conseils mal avisés de frère Laurent (qui avait marié les amants), Juliette

Comprendre comment des situations d’argumentation peuvent construire le tragique. LECTURE : - DE TEXTES : - Antigone de Jean Anouilh - La scène 1 de l’acte I de La Thébaïde de Racine - Début de l’Antigone de Jean Cocteau - Le prologue et une tirade d’Antigone de Sophocle - La Guerre de Troie n'aura pas lieu de Jean Giraudoux, I en lecture cursive - D’IMAGES FIXES : Photographies de mises en scène d’Antigone : • André Barsacq, création au théâtre de l’Atelier en 1944

l’écriture de Lagarce,en particulier celle de JLFDM.Mises en scène de la pièce : Joël Jouanneau en 2000, Michel Raskine en 2007, François Berreur en 2008 Composition de l’œuvre La pièce est composée de 5 temps : un prologue, une première partie, un intermède, une deuxième partie, un épilogue. Cette structure quinaire n’est pas sans rappeler le schéma de la tragédie classique. Il est intéressant de noter que la pièce

propos dans une lettre adressé au prince Charles-Guillaume-Ferdinand, « très peu de lecteurs ressemblèrent au chien qui suce la moelle. On ne s’attache qu’aux os, c’est-à-dire aux bouffonneries absurdes ». Il explique, en réutilisant la métaphore du prologue de Gargantua, que la plupart des personnes qui ont lu ce livre ne s’en sont tenu qu’a l’absurde. Mais Gargantua est une satire des événements du temps de Rabelais. Si les lecteurs l’avaient compris, son livre lui aurait probablement couté la vie