Prolepse

Brodeck. De grâce, souvenez-vous. Brodeck » Entre ces deux pages, le personnage, chargé par les villageois d’écrire un rapport sur ce qu’il appelle « l’Ereignies », narre sa vie par de fréquents retours en arrière (analepses) et des anticipations (prolepses). Brodeck, enfant, a été recueilli par Fédorine lors d’une guerre. On peut imaginer qu’il est juif : allusion à la circoncision « je n’avais jamais prêté attention au petit bout de chair absent entre mes cuisses » p. 166, ch XIX. Fédorine et lui

résumés qui redisent ce qui s'est passé pour rappeler au lecteur le fil de l'histoire. Les SCENES: (temps de l'histoire=temps du récit): par exemple, le dressage du chien, les joutes (p.109). Les pauses sont essentiellement des monologues. Les PROLEPSES: (antcipations): sont nombreuses. Béroul se plaît à anticiper sur la suite de l'action comme s'il voulait par avnace rassurer son public sur l'issue heureuse des amants ou sur l'issue malheureuse des barons (p.81). Les ANALEPSES: (rétrospectives):

le mot ''héritière'' indique la richesse, la lignée mais aussi sa jeunesse. Tout cela préfigure que étant belle, aristocrate, héritière tout est réuni pour que cette jeune femme fasse un marige d'exception. analepse = (remonter dans le passé) / prolepse = (projection dans le futur). * c) L'importance du portrait moral Mme de la Fayette effectue une analepse en effet c'est le passé de melle de Chartres qui va nous permetre de bien cerner qui elle est. Elle a été élevée par sa mère ds un milieu

et de sonorités (répétitions de sonorités, rythme ; paronomase ...) ; 4) Jeux de composition : a) rhétorique : art de la chute ("in cauda venenum"), composition cyclique, anadiplose ; fausse concession ; prévention des objections (prolepse) ; b) syntaxique : anaphore, attelage, rapprochement cocasse ...; c) typographique : mise en page, changement d'alinéa ; ponctuation (points de suspension, d'exclamation) Critères d'identification : 1) Affrontement de deux individus

crains que ce ne soit dommage, car j’ai souvent entendu dire... » (ligne 23-24) ; ici, il marque une pause dans la narration pour avertir ses lecteurs que ce silence peut être une mauvaise chose, surtout dans cette situations précise. Il s’agit d’une prolepse, (ou d’une anticipation) une figure de style par laquelle on annonce en avance quelque chose ou bien des informations ultérieures sont révélées. Plus loin encore, Chrétien, en tant que clerc retranscrivant des légendes sur Perceval, rappelle qu’il

devient parataxique : « Trente et un. Trente deux.....Trente sept », l'obsession temporelle est rendue palpable, le temps devient un personnage. « Bientôt malheureusement le temps ne sera plus le maître » : le narrateur intervient usant d'une prolepse, il annonce la fin du règne du temps, tout en le regrettant par l'usage de l'adverbe mais aussi de tout un champ lexical de la fausseté, de l'illusion : « cerne d'erreur et de doute », « sournoisement », « inversion », « décalage », « confusion »;

cravate noire. → Les évènements s'enchaînent dans la même linéarité. Aucune implication personnelle du héros. Au final une impression que le héros ne s'implique jamais dans sa narration, tout est raconté sur le même ton. La narration privée des prolepses, ellipses ou ralentissements, semble plate, machinale et désincarnée. → On en vient à se demander si, tout comme sa narration, ce n'est pas à un héros « privé de sens » qu'on a affaire. II- Un Héros lui aussi désincarné A- Une indifférence

La parole combat le silence En raison d’une volonté de prendre son temps, de gagner du temps, de retarder la fin d’un échange. Comment Hamm voit-il la/sa fin? (P.90) : seul contre le silence et l’inertie ; c’en sera fait du son, du mouvement (prolepse de la fin). b) Le silence est associé à la mort Le silence parasite leur vie, introduit une mécanique de mort qui se dit sous les termes du ‘ça avance’. Les psgs luttent contre l’approche de la mort. Le silence apparaît sensiblement comme

narrateur unique, multiple Le narrateur est unique dans le roman. Seul François raconte l’histoire. Construction de la narration : chronologique/linéaire, retour en arrière, anticipation La narration est chronologique, on a aucune anticipation (prolepse), ni aucun retour en arrière (analepse). Le roman débute en 1914, début de la guerre qui marque le début de la relation entre Marthe et François et prend fin en 1918 avec la mort de cette-dernière. Les grands thèmes développés L’amour, l’infidélité

poète. Il  renouvelle ici le thème de manière originale. Nous allons voir comment.   I)                    La représentation de la femme dans le poème. ( ou Un tableau réaliste de la vieillesse) Ronsard procède à une projection dans l’avenir (prolepse). Il représente la belle et jeune Hélène de Surgères chez elle, à la fin de sa vie. Hélène est évoquée au futur « vous serez » (vers 1 et 11). Le cadre de la scène est celui de l’intimité domestique.  « auprès du feu » « au foyer ». Le moment