Prolepse

conventions du roman traditionnel comme la nécessité d’une intrigue ou même de personnages au profit d’une nouvelle orientation dans le choix de la narration et du déroulement de l’histoire. Cette absence d’intrigue clairement identifiable, les fréquentes prolepses et analepses, la longueur des phrases et la valorisation de la réflexion psychologique aux dépends de l’action rendent toute analyse périlleuse : difficile de savoir si le roman critique la société en place et se montre subversif par des voies détournées

parents. IV. Le cadre spatio-temporel. Le temps. a) L’histoire de Suter se déroule sur 46 ans. b) L’analepse se situe dans le chapitre I, section 3, lorsque l’on apprend que le grand père de Suter était papetier. c) Prolepse d) Tragique et tragédie L’espace. a) L’histoire de Suter commence à Rünenberg., en Suisse. Il traverse la frontière au dessous de Maria-stein, franchit le Lomont et entre dans le Doubs. Il arrive ensuite à Besançon, puis à Paris

ces charognards, l’arbre est rempli de « faucons et de taons » deux animaux qui ne sont guère apprécié et souligne le fait que l’arbre est un lieu aimé des charognards qui s’y trouve en grand nombre. Qui dit charognard, dit cadavre. On trouve une prolepse par laquelle Giono laisse sous-entendre le rôle de cet arbre porteur de vie comme porteur de mort « Sa charpente devait être d’une force et d’une beauté rare pour porter avec tant d’élégance tant de poids acculés » Sa beauté apparente cache un secret

moustache d'un geste militaire et familier " qui montre que Georges Duroy est très viril et qui s’avérera être une arme de séduction pour la suite du roman. La dernière phrase confirme bien la description de l'incipit et annonce la suite du roman (prolepse). Ce n'est pas un bon personnage. L'auteur attire notre attention sur les thèmes de l'argent et de l'ascension sociale en répondant aux questions liminaires de l'incipit et présente le personnage comme amoral et impulsif. En effet, le texte s'interroge

se sent si sûr de lui qu’il pousse l’audace jusqu’à prévenir M. de G…M… de ce qui allait lui arriver (l. 19-20) , ce qui inquiète Lescaut et Manon mais le libertin ne se rend compte de rien et rit même de lui-même. Le paragraphe se termine sur une prolepse de Des Grieux en tant, non pas en qualité de personnage mais de narrateur pour souligner l’importance de l’épisode au Marquis de Renoncour à qui il fait le récit de ses aventures mais aussi au lecteur qui va en découvrir par la suite les conséquences

la machine à alcool dans sa propre vie. Gervaise est une femme superstitieuse, qui a tendance à voir autour d'elle des signes de bonheur ou de malheur. Grâce à ce trait psychologique de son personnage, Zola sème le texte de présages annonciateurs (prolepse). Ici, le présage est de mauvais augure. Le destin des personnages se met en marche. c) Une vision fantastique La fin du paragraphe s'élargit en une vision immense à caractère fantastique. La " sueur "(l.18) de l'alambic devient une " source lente

compassion et offre au jeune homme de le protéger. Il lui fait don de quatre louis d’or, et paye les gardes qui encadrent l’attelage pour qu’ils permettent au jeune homme de s’entretenir librement avec Manon durant le périple. Deux ans plus tard (prolepse), les deux se retrouvent à Pacy. Le jeune homme fait grise mine, et le marquis décide de l’inviter à l’auberge du Lion d’Or, là où il loge. Le jeune homme lui raconte alors toute son histoire, que le marquis décide de retranscrire avec exactitude

ne rougit pas face aux hommes pour bien les connaître. Et de fait, • « elle était bien plus expérimentée que moi » : le narrateur laisse échapper des informations sur la suite qui déconstruisent immédiatement le mythe de l’innocence de Manon. La prolepse expliquant qu’on l’envoie au couvent « pour arrêter sans doute son penchant au plaisir, qui s’était déjà déclaré et qui a causé, dans la suite, tous ses malheurs et les miens » annonce déjà la légèreté de mœurs de Manon, en opérant une dissociation

→ Les évènements s'enchaînent dans la même linéarité. Aucune implication personnelle du héros. Au final une impression que le héros ne s'implique jamais dans sa narration, tout est raconté sur le même ton. La narration privée des prolepses, ellipses ou ralentissements, semble plate, machinale et désincarnée. → On en vient à se demander si, tout comme sa narration, ce n'est pas à un héros « privé de sens » qu'on a affaire. II : Un Héros lui aussi désincarné. 1 : Une indifférence

Français 11èmeAnalyse de texte - marche à suivreIntroductionpetite présentation de l’auteur (nom et prénom, nationalité, dates, quelques éléments biographiques, quelques titres de ses oeuvres)Bref résumé de l’histoire (entière) en quelques phrasesSituation de l’extrait dans l’histoire et résumé de l’extrait : que s’est-il passé avant (en priorité les événements qui ont une importance pour l’extrait à analyser, qui sont les protagonistes présents, que se passe-t-il dans l’extrait, et éventuellement