Prolepse

mon pauvre argent, mon pauvre argent ! » • la prolepse temporelle, ou anticipation, prédestination : allusions du locuteur à un avenir proche, à un futur immédiat où les événements se précipitent dans une anachronie absurde (évocation rapide et par anticipation d'une suite d'épisodes saisis dans une isochronie parfaite : « je me meurs » (agonie, suspens de retardement), « je suis mort » (annonce de son propre décès), « je suis enterré » (prolepse narrative avec mouvement de rétrospection du locuteur

ne le sont pas : « Je raffole de la chair du marron » « je raffole de la mère du charron ».D - Figures de constructionI – La prolepse consiste à mettre en avant , en relief un terme en le mettant au début de la phrase. Exemple : « Ce cour, je n’y comprends rien » / « Ma fille, elle est très belle ». A l’oral, la prolepse est souvent le signe d’un niveau de langue relâché. A l’écrit, il vise à rendre un énoncé plus expressif. Lorsque

doit donc supprimer les éléments par un homicide. Par la suite, il sera comme aider par le destin, ce qui provoque le dénouement de l'histoire. Et enfin, il deviendra roi. Nous pouvons également rajouter que Shakespeare utilise une prolepse pour nous raconter les événements futur, et une analepse qui nous ramène au contexte historique, pendant que glocester était à la guerre. Ce qui nous aide à comprendre ses point de vue sur les autres personnes et la société. II. Identité du personnage

ou particularisant (l’espèce pour le genre ou le tout pour la partie). * La mise en abyme : représenter une oeuvre dans une oeuvre du même type. Articulation du temps * Flashback (analepse) : retour dans le passé. * Flashforward (prolepse) : anticipation de l’avenir. * Ellipse : saut dans le temps. * Plan de coupe : un plan de transition. * Plan de détail (insert) : gros plan qui insiste sur un détail. * Plan de diversion : un plan qui permet d’interrompre l’action

Maréchal été tout pour elle : « pendant si longtemps » (l.453) ; « pas une de ces heures » (l.456) , on peut observer qu’elle n’a jamais rien regretté. Grâce à Maréchal elle a connu le vrai amour : « je n’aurais jamais aimé rien » (l.459). Elle fait une prolepse : « je l’aimerai jusqu’à mon dernier soupir » (l.472-473), elle est sure. De plus, la passion de son amour fait surface par des indices de jugement : « encore plus sa femme, sa vraie femme » (l.448). Elle dit habilement que son seul bonheur a été

qu'il lui arrivera " dans la phrase i y a du passé composé et aussi du future. elle est dans un cercle vicieux sans espoire en effet le narrateur est omniscient ( focalisation zero) il connait le passé ( une analepse) il connait l'avenir de fantine( prolepse) il annonce la mort de son héroine au linge 20-21 : " elle le croit du moins, mais c'est une erreur de s'imaginer qu'on épuise le sort et qu'on touche le fond de quoi que se soit " . on a un portrait touchant de l'heroine: c'est une mort vivante:

les mêmes traits : Anouilh, en effet, pendant la première partie (v1 à 31) la présente « l’œil noyée sous le fard / tout enfantine et minaudière » (v.11) : bref, naïve. Mais on s’attend cependant à une altération de la fable originelle puisque le prolepse ( figure de rhétorique qui réfute d’avance ce qu’elle annonce ) « Crût qu’il tenait la bonne affaire » la suppose. De plus, durant toute la première partie, la cigale reste muette alors que LF la faisait engager la conversation dans sa fable.

pleine révolution en 1794 période où la terreur règne, tout le monde a peur de tous et pour gouverner la France un conseil est mis en place « le comité de salut public » et c'est de leurs yeux que nous verrons la terreur. La pièce commence par le prolepse de la mort de Robespierre le 28 juillet 1794 car la pièce ne suit pas l'histoire tel qu'on la voie dans les manuels scolaires le sujet ici n'étant pas sa mort mais son cheminement, l'ascension puis la chute,la vulgarisation de ces personnages dans

genre de la fable est un genre très codifié. En tant que récit, il met en valeur ses grandes articulations pour mieux faire ressortir les mouvements principaux du texte. La fable est un récit sur-codifié. Ici, les deux premiers vers ont valeur de prolepse : ils résument toute la fable à venir. Le vocabulaire y est simple et clair : tout est déjà dit. Les vers 3 et 4 véhiculent le même message, mais sur un mode plus imagé avec une allégorisation du Temps. Les vers 5 à 15 développent cette même idée

pluriel : langage soutenu. V26 : reprise du Ct déterminatif « du voisin » qui se précise ici dans le sens d’autrui en opposition avec « le nôtre ». Terme « manger » signifie quereller mais sa polysémie est significative pr la suite et a fonction de prolepse. V27 : l’expression est très ironique puisque le chat y fait entrer son propre nom. Il parodie une expression solennelle de serment (comme foi de roi) : registre héroï-comique. L’adv négatif « non » est fortement mis en valeur en début de vers et