Profondeur des couleurs

Introduction La couleur est un phénomène physiologique provoqué par l’excitation de photorécepteurs situés sur la rétine par une onde électromagnétique. Une onde électromagnétique est induite par les électrons des atomes d’un objet émetteur. Lorsqu’un atome est excite, certains de ses électrons vont passer d’un niveau d’énergie donné à un niveau plus faible, cette perte d’énergie s’accompagne de l’émission d’une onde électromagnétique perçue par l’oeil. L’oeil humain étant sensible à la puissance

projette un motif lumineux directement suivi par le motif même motif avec les couleurs inversées, tout cela a une haute fréquence. Cette haute fréquence va permettre d’obtenir un motif uniforme. La première caméra est synchronisée avec le premier motif émis et permet de reconstruire la scène grâce à la triangulation vu précédemment. La seconde caméra est quand à elle synchronisé au motif uniforme pour permettre de récupérer la couleur. Le but de cette méthode étant de combiner les avantages de la lumière

analyser la construction, les lignes de force, la composition, la profondeur, les couleurs, les dénotations et les connotations (sens figuré: sous entendu). Plans plans général et perspective : informatif, situer le lieu de l'action. plan moyen: favorise l'identification. gros plan/très gros plan: déclencher l'émotion. Lignes lignes verticales: dynamisme, arrêt du regard. lignes horizontales: calme et profondeur, infini du regard. lignes diagonales: centre de l'image, lieu privilégié

est une huile sur toile de 181×219,1 cm de 1911 faites par Henri Matisse. Le début du XXème siècle dans l’histoire de l’art est marqué par une explosion des codes et convention de la peinture et de la représentation artistique, les formes et les couleurs, les sujets se libèrent. On a le début de l’exploration de ses rêves et moi profond avec le symbolisme de Klimt qui va se poursuivre par la suite beaucoup plus tard avec les surréalistes, puis le début des recherches dans la construction picturale

Franco-Allemand de la Première Guerre Mondiale. Absence de profondeur  l’image a l’air aplatie. L’artiste n’a pas cherché à représenter selon les lois de la perspective, il n’a pas représenté d’espace en profondeur. Couleurs: Premier plan: personnages colorés. Les vêtements bleus et verts, ainsi que la lampe en haut à gauche, viennent illuminer la composition, créant un contraste avec les couleurs sombres.Arrière plan: couleurs ternes, terreuses, manquant de luminosité. Lignes de construction:

Mitrailleuse, 1915, huile sur toile, 610x508mm, London, Tate Britain www.tate.org.uk 2 Impression générale En regardant la peinture, une sensation d’oppression s’installe immédiatement en nous. Celle-ci est expliquée par le mélange de couleurs sombres et de couleurs criardes et par le fait qu’aucun vide n’est présent sur le tableau ; chaque partie est comblée d’un élément. En examinant bien les visages des trois soldats et de l’homme mort, à terre, nous ressentons des émotions de haine, de peur et

de monstration qui accompagne l'image, le générique d'une émission de télévision. Fonction poétique Améliorer la qualité du message Rhétorique et stylistique Travail sur les composants plastiques de l'image: les formes, les couleurs, les matières. Fonction métalinguistique Mener une réflexion sur le code lui-même. Dictionnaire, grammaire Fonction assumée parle langage verbal. Selon la nature du document, une ou plusieurs fonctions domine. Il convient de

surchargée par endroit mais le reste assure un certain équilibre grâce à sa simplicité. La palette de couleur de l'oeuvre varie du noir au blanc, en passant pas des couleurs pastelles, des gris, des bleus, des verts et du bordeaux. Celles qui dominent sont le bleu clair et le bleu gris. Le fond est blanc cassé, couleur de la toile. Les surfaces noires forment un contrastes avec les couleurs dominantes claires. La lumière du tableau vient des deux panneaux centraux car la technique utilisée est

qu'il s'est lui même porté. Le bras droit de ce dernier touche le sol, sa main droite est près du glaive rougi. Un soldat enveloppe dans le linceul le corps d'Antoine et regarde un militaire aux mains jointes. Les cuirasses des soldats sont faites de couleurs chaudes, le bord d'or du lit de parade sur lequel est étendu Antoine apporte un contraste par rapport à la lividité du torse, à la blancheur du linceul, à l'éclat métallique de la lame du glaive et au bleu dur de la tunique. Cléopâtre est au second

La répétition du trait, le remplissage, ne laissent pas le moindre centimètre carré vierge. Onomatopées et mots complètent les compositions. Les personnages bruts ou naïfs de la peinture "populaire" sont modelés par un large cerne noir empli de couleurs vives, posées dans un style rapide, volontairement simple. Les œuvres sont parfois agressives, souvent animées et toujours colorées. Elles sont dans le prolongement du « pop art » américain, de l'art brut européen, de la publicité et de la bande