Productivité Et Salaire

matières premières, la hausse des salaires ainsi qu’une baisse de productivité sont tous des problèmes contribuant à l’augmentation des coûts de production. Voici un extrait tiré du cas qui démontre bien ce que je découvre : «Les coûts de production, eux, ont augmenté à cause des coûts plus élevés des matières premières, des hausses de salaires et d’une baisse globale de la productivité à l’usine.» (tire du cas La Société Moderne, p.5) La baisse de productivité

social britannique (commandé par CHURCHILL). * Post-keynésiens = transforment l’œuvre de KEYNES en Keynésiannisme. Cependant, ceux-ci s’intéressent au long terme. * 80 : NEK (Nouvelle École Keynésienne). Pensent que le chômage est dû à des salaires excessifs. CH1 : L’INVESTISSEMENT * Tous les économistes reconnaissent le rôle fondamental de l’investissement dans la croissance. Consensus sur ses effets mais pas sur les mécanismes. * INVESTISSEMENT = acquérir des moyens de production :

dures de grèves et de conflits (avec séquestration des dirigeants, fortes mobilisations syndicales). En un mot, le compromis salarial Fordiste a du mal à se reproduire; les salariés rejetant les modalités mêmes de ce compromis entre augmentation des salaires et conditions de travail exécrables. · Ajouté à cela, l'arrivée de nouvelles générations d'ouvriers dans les années 60 qui ont été scolarisés et rejettent ces conditions de travail. C'est à cette époque que vont émerger les critiques les plus

par la progression des gains de productivité qui en découle, peut favoriser une hausse quantitative de l’emploi (I). Nous approfondirons la relation en montrant que les effets sont aussi de nature qualitatifs en modifiant la nature des emplois créés (II). I – Le progrès technique favorise à long terme la création d’emplois Le progrès technique a notamment pour effet de modifier le rythme d’accroissement de la productivité en accélérant les gains de productivité. Les conséquences sur le niveau de

La contribution de Keynes 1) La théorie du salaire. C’est pour la théorie de l’emploi que l’analyse keynésienne présente l’alternative la mieux connue à la position néoclassique. Dans la “Théorie générale” Keynes se situe résolument dans le camp des opposants à la théorie “classique” qu’il résume en indiquant qu’elle est toute entière construite sur deux postulats [1] permettant d’assurer l’égalité de l’offre et de la demande de travail évitant ainsi l’apparition du chômage involontaire : - la

expérience professionnelle). Apports de cette théorie: ● Justification des dépenses publiques de formation et de santé. ● Justification des inégalités de salaire. ● Explication des inégalités de développement et de pauvreté. ● Explication de la difficulté d'embaucher des chômeurs de longue durée. Critiques apportées à cette théorie: ● Les inégalités de salaire ne sont pas uniquement dues aux inégalités de formation. On constate des pratiques discriminatoires. De plus, l'augmentation du niveau de diplôme

sont les entreprises et les demandeurs sont les ménages. Le prix s’appelle prix de vente. ▪ Le marché du travail est un marché qui met en relation les offres de travail des ménages et les demandes de travail des entreprises. Le prix s’appelle le salaire. (inverse sur le marché de l’emploi) ▪ le marché des capitaux est un marché où s’échange de l’argent. II – Une économie de marché régulée A - L’ECONOMIE DE MARCHE Une économie de marché  est une économie où les activités économiques sont coordonnées

travail, notamment des salaires, peut faire baisser le chômage. 1) Le modèle anglo-saxon (bien en présenter les caractéristiques qui témoignent d'une plus grande flexibilité du travail, en s'intéressant à la FQE, à la FQI, et au fait que ces pays puissent proposer des salaires plus faibles car...), un modèle qui semble créer beaucoup d'emplois, notamment dans les services, et qui permet d'obtenir un taux de chômage faible, parce qu'il existe moins de protection pour le salarié (salaire, horaires, durée

ce dernier qui permet l’acquisition et l’amélioration des ressources productives. B) Le Travail Il désigne l’activité rémunérée qui participe à la production de biens et services. Il est fourni par les individus et ménages en échange d’un salaire. Il est représenté par ce qu’on appelle la main-d’œuvre c’est a dire l’ensemble des employés de l’entreprise. Le travail présente une double dimension quantative et qualitative : La quantité de travail est représenté par le nombre de salarié ou le

supplanté les manifestations d'étudiants. Les revendications ouvrières semblent particulièrement claires et relèvent essentiellement des contraintes exercées par l'organisation taylorienne-fordiste de leur activité. Le caractère compensatoire des salaires élevés des usines des "trente glorieuses" ne suffit plus face à la nature abrutissante des tâches répétées à longueur de journée. L'aspect particulièrement aliénant du travail taylorisé (Georges Friedman parlera d'un travail émietté) pressenti comme