Prix Vérité

ceux qui ont les moyens et les autres, et donc moins représentatif et qu’il permet d’émettre des idées fausses à l’endroit de la démocratie. Ce texte portera donc sur le thème de la vérité face à la liberté dans la démocratie. Pour ce faire, nous répondrons à la question : faut-il davantage valoriser la liberté ou la vérité dans la démocratie? Nous soutenons que la liberté devrait être davantage valorisée et, par le présent, nous justifierons notre position. Nous allons donc définir le problème philosophique

repose la science est la croyance en la valeur de la vérité, en la dignité absolue de la vérité, érigée en valeur inconditionnelle. Ici, la science se révèle l’héritière de la grande métaphysique classique, de sa croyance en l’être vrai, par exemple sous la forme du monde intelligible et de l’idée de Bien chez Platon. Or, s’interroge Nietzsche, il serait temps de remettre en question cette volonté de vérité à tout prix. Pourquoi voulons-nous la vérité? Pourquoi la jugeons-nous préférable à l’erreur,

comme nobles. A) L’opinion est une notion qui mérite d’être défendue, même au prix de sa vie, car elle nous permet d’exprimer les pensées profondes et les valeurs en lesquelles nous croyons. L’un des défenseur de l’opinion publique le plus connu est le journaliste, qui, par exemple, par à l’étranger dans des pays en guerre pour y dénoncer les atrocités et pour rétablir l’une des valeurs fondamentales : la Vérité, et cela avec un fort taux de risque. Si l’on sort du cadre publique, peut de personne

Jaurès commença sa carrière par une brillante scolarité au collège de Castres: l'année scolaire 1869-70 il reçut le premier prix d'excellence en Latin et Grec, le deuxième prix de Français et le deuxième accessit d'histoire et de géographie. L'année scolaire 1871-72 il reçut tous les premiers prix (en Latin, Grec, Français, Allemand, histoire ...) et son accession aux premiers prix fut désormais une habitude. Il participa également à des concours entre les collèges et lycées de son Académie et entre

principes de la démonstration, principes qui sont indémontrables, et qui n'ont d'ailleurs pas besoin de démonstration parce qu'ils sont évidents. En ce sens, l'intelligence est la connaissance des vérités évidentes. La science est la connaissance des conclusions de la démonstration, ou la connaissance des vérités démontrées. La sagesse est la considération des causes premières. L'art ( ou encore la technique ) est l'application de la raison à la fabrication des objets. La prudence est l'application de

garder plus qu’un certain prix. Car pour chacun, et sans qu’il sache d’avance laquelle, il y a une limite au-delà de quoi la vie n’aurait plus de possibilité d’être vraiment la vie : elle le serait toujours en réalité, mais plus en vérité. Aucun être humain ne veut d’une vie qu’il n’ait pas d’une manière ou d’une autre raison de mener. Ainsi chacun vit-il pour lui-même d'un vivre ordonné moins à la réalité qu’à la vérité manquante de sa propre compréhension,une vérité singulière plus radicale que

est bien tranché sur le sujet affirmant que «rien n’est plus dangereux que la certitude d’avoir raison », autrement dit, le fait de ne jamais se remettre en question peut engendrer de graves conséquences. Est-ce vrai que de penser toujours avoir la vérité absolue peut être néfaste sur différents plans ou au contraire être toujours sûr de soi-même peut s’avérer être un avantage non négligeable dans notre vie de tous les jours ? Cette problématique ne nous laisse pas indifférent, dû aux grands nombres

Commentaire de texte Lucrèce dans l'extrait de son œuvre De la Nature des Choses, livre IV, pose le problème des sens, en relation avec la raison, et de leur importance dans l'apport de la vérité. L'auteur défend les sens qui nous apporteraient la vérité, selon Lucrèce ils ne peuvent nous tromper, seule l'interprétation et la raison peuvent nous tromper. Dans un raisonnement syllogistique, l'auteur va défendre sa thèse, les sens peuvent-ils nous tromper? Les premiers mots du texte sont "Tu

à conclure que cela ne mène a rien, et que par contre c'est la raison qui donne toujours les meilleurs résultats et la meilleure approche de la vérite, en dépit du mépris que nombre d'hommes lui vouent. La principale justification que je vois défendable à ce mépris est que ces gens n'ayant pas la chance de savoir raisonner correctement, vouloir à tout prix raisonner par eux-mêmes ne les menerait souvent nulle part, et il est mieux approprié pour eux de faire confiance à ceux qui savent mieux penser

(Saint John Perse, discours de Stockholm, lors de la remise du prix Nobel, 1960) « La poésie est une insurrection » (Pablo Neruda, J’avoue que j’ai vécu, 1987) • Le poète acquiert ainsi le statu de celui qui dit une vérité non soupçonnée. La vérité poétique n’est pas un vérité scientifique, elle est un voile qui se lève, une découverte – parfois autour d’un élément qui semblait très familier. « Voilà pourquoi / Je dis la vérité sans le dire » (Paul Héluard, « l’Habitude », Capitale de la douleur