Mourir pour ses idées
Mourir, oui mais pourquoi ? Si l’on est sur d’une chose, c’est qu’actuellement, il est plus facile de mourir pour protéger sa patrie ou quelqu’un en particulier, soit quelque chose de concret, que de mourir pour ses idées, ses convictions. Car pour décider de se sacrifier ou de risquer sa vie pour une idée, il faut incontestablement qu’elle soit à nos yeux d’une force et d’une amplitude qui bouleversera notre vie ou qui défendra, même après notre mort, des valeurs que nous estimons comme nobles.
A) L’opinion est une notion qui mérite d’être défendue, même au prix de sa vie, car elle nous permet d’exprimer les pensées profondes et les valeurs en lesquelles nous croyons. L’un des défenseur de l’opinion publique le plus connu est le journaliste, qui, par exemple, par à l’étranger dans des pays en guerre pour y dénoncer les atrocités et pour rétablir l’une des valeurs fondamentales : la Vérité, et cela avec un fort taux de risque. Si l’on sort du cadre publique, peut de personne en France sont prêtes à mourir pour leurs opinions, sauf des cas extrêmes où par exemple la personne appartiendrait à une secte, et devrait accomplir des rituels illégaux et dangereux voir mortels dans le but de pouvoir se dévouer à ses croyances. On peut aussi prendre en exemple les kamikazes (qui le font par croyance, et non par manque financier), qui se vouent à une mort certaine pour la défense d’une idéologie qui influencera leur ère…
B) Nous allons à présent aborder une autre valeur fondamentale ; la liberté. En évitant de parler de la défense de la liberté au niveau public (défense du pays, partie précédente), il est tout de même possible de l’étudier au niveau individuel. Par exemple, nous pouvons aborder le sujet de la Grève de la Faim toujours très pratiquée en France car elle est non violente et permet de faire pression sur la cible de la grève en