Principe de plaisir

Le temps du plaisir Il y a un temps pour tout, un temps pour le plaisir ? Il y a un temps pour semer, un temps pour récolter (Ecclésia, Bible) Le temps du plaisir, le type de rapport au temps lorsque nous éprouvons du plaisir. Raisonnement par la négative, ce que n’est pas le temps du plaisir : ⇒ Pas un temps tragique : Expérience de la perte, le temps est source de perte, d’abolition, rapport au fait de ne pas être. Temps tragique : condition de perte irrémédiable. Tragique : impossibilité

merUn plaisir privilégié Le plaisir le plus vif et le moins aliénant est celui qui se trouve tout entier du côté de la vie et de la liberté. Un plaisir qu’on a toutes les raisons de privilégier et de faire partager.Ce n’est évidemment pas le plaisir de la drogue et de ses succédanés, succès damnés de l'alcool et du sexe notamment. Il existe donc un grand plaisir qui nous emmène loin, sans amoindrir la capacité de s’en passer, ni épuiser le désir de le retrouver. Il s’agit du plaisir de nager

67iLe plaisir absence de douleurs En s’inspirant de la physique atomiste de Démocrite : Epicure : Univers = corps + vide * Vide = nécessaire permettant le mouvement des corps. * Corps = formés d’un ensemble d’atomes, d’éléments simples, insécables et immuables (constant), * L’âme = particules abstraites dispersés dans l’agrégat du corps. L’âme et lié étroitement au corps (corporelles) / disparaitre une fois le corps se décompose. Rapport très fort entre l’atome et le sensible

science. En conséquence, la tâche du philosophe consistera à dégager le principe objectif et universel de la conduite humaine. Or, c’est à partir de l’observation de la nature humaine qu’il entend tirer ce principe moral. Les hommes, selon lui, fuient la douleur et recherchent le plaisir. C’est là la règle dont ils usent dans toutes leurs actions. En un mot, ils recherchent le bonheur qui consiste en un maximum de plaisir et un minimum de douleurs. S’appuyant sur une conception naturaliste de

le principe de Kant met en valeur la notion du devoir moral. Selon Kant, une personne doit accomplir son devoir moral parce qu’en tant qu’être rationnel on comprend que la décision rationnelle serait la bonne chose à faire, selon le principe d’universalisation. Donc une personne aurait la responsabilité d’ignorer ses sentiments pour définir son devoir moral. Les sentiments pour Kant sont très instables, ce qui signifie en d’autres termes du mauvais jugement d’un individu. Selon ce principe, un individu

structure des Maximes capitales où Epicure présente les 4 principes (maximes) fondamentaux de l’éthique : I. Seul le divin est bienheureux et incorruptible : il n’éprouve ni soucis ni passions et n’en cause pas à autrui II. La mort est absence de sensations, elle ne peut donc nous causer aucune souffrance III. L’absence de douleur est le plus bas degré du plaisir. Douleur et plaisir s’excluent mutuellement, ils sont contradictoires. IV. Le plaisir l’emporte sur la douleur qui est toujours provisoire

tout premier lieu à une réflexion sur le désir et le plaisir qu'engendre sa satisfaction. Sénèque affirme catégoriquement qu'il serait pure folie de rechercher le bonheur dans la satisfaction des désirs. Rechercher la plénitude dans la satisfaction des désirs, c'est se condamner à voir sans cesse renaître le vide que l'on tente de combler. Dans le même esprit Socrate, dans le Gorgias de Platon, comparait le jouisseur incapable de retenir le plaisir à un homme s'efforçant de remplir un tonneau percé

avoir un ordre social d’écouter la raison ? Parce que la raison est productrice des lois universelles pour la morale. Une loi universelle c’est une loi morale qui s’applique à tout le monde et qui est vrai pour tous. La morale étant un ensemble de principes. Or, respecter les lois universelles c’est respecter tous les êtres capable de raisonner. Ainsi, on ne traite aucune personne comme étant un moyen, mais bien comme une fin. Traiter une personne comme moyen c’est le considérer comme étant incapable

UntitledCommentaire d'une œuvre suivie Thèse et hypothèse La morale utilitariste repose sur le principe du plus grand bonheur pour tous. Autre- ment dit, une action est morale, c’est-à-dire utile, si et seulement si elle contri- bue globalement à augmenter le bonheur – et / ou diminuer le malheur – des êtres humains, et même de tous les animaux « sentants ». Présentation Dans le premier chapitre du livre, Mill a commencé par rappeler la nature et l’importance philosophique du pro- blème du Souverain

peuple sera heureux grâce à la succession des plaisirs. Mais en va-t-il ainsi ? Certains plaisirs ne s'avèrent-ils pas néfastes ou superficiels car ils font perdre des choses essentielles comme ici la liberté ? Ne sont-ils pas tous, par essence, éphémères, alors que le bonheur serait plutôt un état général, profond et durable ? En même temps la libération d'un peuple est aussi un plaisir immense pour ce dernier et contribue à son bonheur. Le rôle du plaisir dans le bonheur reste donc à déterminer, afin