Primogéniture

règles de primogéniture et à partir de 1328, les rois capétiens n’ont plus de fils. Pour des raisons d’ordre politique et pour éviter que le royaume d’Angleterre ne s’empare du royaume de France, les théoriciens du pouvoir vont décider que les femmes sont exclues de la transmission du pouvoir. Pour des raisons circonstancielles, une règle va être adoptée, ne peuvent succéder que les fils venant des femmes, en France, la succession à la couronne se fait selon la règle de primogéniture des enfants

pratiqué par les gens de la forêt et qui se veut typiquement méritocratique ; le Bwami Shi, quant à lui, est le prototype du Bwami pratiqué par les gens de la savane, sous forme de royauté se voulant héréditaire mais pas forcément par ordre de primogéniture afin de protéger la méritocratie et l’excellence. Dans le temps, notre analyse se focalise sur la période politique des années 90, période considérée par les analystes politiques comme période par excellence de la démocratisation et de l’instauration

point que le domaine royal ca se réduire à une région qui correspond à peu près à ce qu est aujourd hui l île de France (carte 5). 2- les fondements du pouvoir royal : la difficile affirmation de l hérédité. a- le sacre anticipé et la règle de primogéniture Capet va s efforcer de conserver le trône au profit de son fils Robert. Il entreprend des négociations avec les grands et notamment avec l archevêque de Reims (qui a le privilège de sacrer le roi). A partir du 11ème, ce privilège personnel va se

fils par anticipation car on avait prit l'habitude (coutume) la règle de l'hérédité l'a définitivement emportée. Dès le règne d'Hugues Capet on a deux rois en même temps et sont égaux. b. Introduction de la règle de primogéniture Il est aussi à l'origine de la règle de primogéniture, le premier né , on va associer l'ainé mâle au gouvernement. C'est une pratique qui présente le non partage du royaume et qui va se transformer en règle coutumière. Le fils ainé du roi régnera, les problèmes dynastiques

et de mépris, historiquement vouée par les puissants de ce monde au rang de sous-humanité, soumise à l’exploitation, au racisme, sacrifiée dans des guerres qui ne la concerne pas. C’est pour rendre à cette race sa dignité et son rang dus à sa primogéniture que le poète à le devoir de s’engager, et de rappeler que le noir est le « sel du monde » et en est le sauveur. =L’Afrique : en contrepoint d’une Europe ravagée par la guerre, décimée par les égoïsmes et la folie meurtrière qui frappe la Raison

l'intégrité territoriale du Royaume dans ses frontières authentiques. Article 20 La Couronne du Maroc et ses droits constitutionnels sont héréditaires et se transmettent de père en fils aux descendants mâles en ligne directe et par ordre de primogéniture de SA MAJESTÉ LE ROI HASSAN II, à moins que le Roi ne désigne, de son vivant, un successeur parmi ses fils, autre que son fils aîné. Lorsqu'il n'y a pas de descendants mâles en ligne directe, la succession au Trône est dévolue à la ligne collatérale

famille patriarcale, hiérarchie sociale des classes qui se reflétait dans la famille. Famille placée sous l’autorité du chef de famille (le mari qui exerçait son autorité sur sa femme et ses enfants). Inégalité entre les enfants basée sur le sexe : primogéniture male. Droit canonique : sous l’influence des canonistes, le mariage devient indissoluble. A la Révolution française la législation révolutionnaire a été très abondante en droit de la famille pour consacrer les idées de « liberté, égalité, laïcité »

aller contre la volonté du roi. La règle des élections est supplantée par la règle de supplantation. Le roi régnant choisi son fils ainé car c’est celui qui a le plus d’expérience. Il connait les problèmes de la politique. Ainsi la règle de primogéniture. Il est impossible de contester la désignation à la couronne. C’est ainsi que l’on évite les guerres à répétition. Les royaumes qui soumet sa féodalité et il va conduire a l étape de féodalité national. Le troisième caractère est l hérédité

n'appartient pas au roi. Le roi n'a que la jouissance de la couronne durant son règne. Il y a également les règles de succession, le roi ne choisit son héritier. Il doit y avoir une naissance légitime, le dauphin doit être masculin. Le principe de primogéniture, c'est le premier né qui hérite. Et enfin le principe de Catholicité. Le roi doit respecter les privilèges qu'il a accordé ou que ses prédécesseurs ont accordés à ses sujets. Ces privilèges engage le roi. Les cadres doivent contenir les pouvoirs

Capet meurt son fils Robert n’a pas de mal à se maintenir puisqu’il a déjà régné. Valeur juridique du sacre décline un peu au profit de l’hérédité. « Miracle capétien » de 996 à 1316 : aucun soucis. Pas de pb de succession. 2. La primogéniture 1027 Robert II perd son fils aîné qu’il avait associé 10 ans au pouvoir. Reste 2 fils légitimités. Les évêques conseillent au roi de respecter le droit d’aînesse, c’est le plus vieux des deux fils qui succèdera à son père le roi de France.