Pourpoint

parviens aussi a nous montrer l'évolution spirituelle de son personnage notamment dans sa façon de se vêtir. Le premier costume de Gargantua rappelle sa noblesse : c’est un costume tel qu’on peut le trouver à la cour de François Ier avec chemise, pourpoint, chausses, crevées. Le costume est de plus très riche p.99 : « grosse émeraude de la grosseur d’une orange », « fins diamants, de fins rubis, de fines turquoises, de fines émeraudes et d’unions du golfe Persique ». P.101 : « d’anneaux d’or, avec

les yeux; mais vous avez un bon visage, et votre habit me paraît tout neuf. » Sire Maurice est loin d’être éblouissant, il a peu d’importance aux yeux de Lorenzo. SIRE MAURICE             « Comme votre esprit; je l'ai fait faire d'un vieux pourpoint de mon grand-père. » Sire Maurice n’est pas dupe, il voit la supercherie de Lorenzo. Suite « épée » revient plusieurs fois, rappel de la tuerie du tyran, de la lâcheté de Lorenzo. SIRE MAURICE             « Votre esprit est une épée acérée

dessin final en plusieurs pochoirs différents, un pour chaque couleur. En occident, on les avait remplacés par des caches en métal ou en carton pour obtenir des matrices de plus grandes dimensions, mais coûteuses et peu pratiques. Pour en revenir au pourpoint à longues manches, orné de fourrure, utilisé dans son film,il s'agit d'un vêtement porté au Moyen Âge et à la Renaissance par les hommes. Mariano Fortuny s'est inspiré de l'art oriental par l'utilisation des couleurs rouge carmin dû à la teinture

· INTRODUCTIONDans l’extrait que nous allons étudier, nous sommes au cœur du voyage initiatique du picaro qui, rejeté par ses deux premiers maîtres, nous amène dans le chapitre trois, quelques pages après la rencontre entre Lazare et son troisième et nouveau maître, un écuyer désargenté. Ce passage reflète les conditions et la pauvreté de la population espagnole sous le règne de Charles Quint en 1520, où le pays connait une grande famine. C’est quelques années plus tard, en 1554, qu’est

« le visage », « front » et de la vieillesse avec « chauve », « ridée » et « fatigues de l'âge ». Par conséquent, le portrait est basé sur le réel. Pour finir, la description des vêtements avec les expressions « dentelle étincelante » et « le pourpoint » nous prouve que ceux-ci sont d'époque pour le contexte de l'œuvre et que par conséquent ce récit s'appuie sur des éléments de la réalité. Ces éléments tirés de la réalité sont cependant transposés et le « vieillard » devient donc un personnage

tête et sentis mes joues blafardes s'empourprer. Je ne connaissais rien de lui, mais, sa prestance et sa particulière tenue vestimentaire m'impressionnaient et me donnaient le sentiment qu'il était l'idéal masculin auquel j'aspirais. Il portait un pourpoint grisonnant descendant en pointe vers la ceinture. Tailladé d'une fente appelée par ces messieurs une «  chiquetade », le collet droit de celui-ci était blanc et à franges inégales. Il était également vêtu avec de hautes bottes à pont levis avec des

le réaliser, elle parait prête à tout faire. C'est une femme croyante, fidèle et déterminée mais si les choses ne font pas à son gré, elle prolonge rapidement dans le désespoir. Le Seigneur: un homme vêtu d'un habit magnifique. Il porte un pourpoint d'or, un baudrier d'or et une vaste cape blanche. Apparemment, il est riche. c'est lui qui assure le bonheur du couple amoureux et qui le menace en même temps. Son nom est le centre même de ce conte. Tantôt il hante l'esprit des personnages, tantôt

combattre p. 30, Emilie s’apercevant que son crayon a disparu p. 43, le singe qui s’échappe p. 68, la découverte de l’imposture d’Emilie p. 75 … etc). La petite fille découvre la variété des vêtements des gens du château. On relèvera quelques éléments : pourpoint de velours bordé d’hermine (p. 21), coiffe à bourrelet de soie d’où s’échappe une longue écharpe blanche (p. 22), coiffe de laine, corselet (p. 23), culotte bouffante et bas multicolores (p. 26), turban incrusté de pierreries (p. 27), robes brodées

après un accident très grave de voiture sur le pont de Neuilly, auquel il survécut miraculeusement, Pascal fit une expérience "d'extase mystique" . On découvrira à sa mort, un parchemin ( le Mémorial) que Pascal avait caché dans la doublure de son pourpoint et qui relate l'état d'exaltation dans lequel il se trouvait cette nuit-là. Il y affirme la certitude de sa foi et s'engage à la soumission envers le Christ : "Certitude, certitude, sentiment, joie, paix. Joie, joie, joie, pleurs de joie". Cet épisode

encadrent les pieds nus de tous les protagonistes, ceux de Jésus s'appuyant sur celui de sa mère qui émerge des plis de la robe, près de lui. L'horizon passe un peu au-dessus du centre du tableau et passe par la ceinture de la Vierge, habillé d'un pourpoint rouge et d'un ample manteau bleu foncé qui tombe en grands plis Marie, assise et tournée vers la gauche de la composition, a le visage très finement entouré d'un voile ; elle laisse son regard tomber sur celui de son fils qui allonge le bras gauche