Porte des Ternes

photo est celle de Marius. RESUME DE MARIUS A force dobserver les grands voiliers qui font escale dans le vieux port,en face du bar de son pre Csar,Marius na plus quune obsessionpartir.Cette uvre est si forte quelle empche de voir lamour que lui porte Fanny,la petite marchande de coquillages qui tient ventaire sur la terrasse du bar de la Marine.Ce nest que lorsque lun des clients Matre Panisse la serrera dun peu trop prs quil en prendra conscience.Pour garder Marius,Fanny se donnera lui mais en

bourgeois gros et gras, frais de bêtise, dont la tenue égrillarde réjouissait les passants, qui avait quelque chose de jeune dans le sourire, semblait être un septuagénaire hébété, vacillant, blafard. Ses yeux bleus si vivaces prirent des teintes ternes et gris-de-fer, ils avaient pâli, ne larmoyaient plus, et leur bordure rouge semblait pleurer du sang. Aux uns, il faisait horreur ; aux autres, il faisait pitié. De jeunes étudiants en médecine, ayant remarqué l'abaissement de sa lèvre inférieure

ce qui se présentait comme principe du devoir de mémoire se mue bientôt en parade de l'horreur. Les mutilés sont exhibés sur la place publique. Leurs souffrances sont récupérées par la démagogie du pouvoir politique. Chaque État fait étalage de ses porte-drapeaux de la douleur. III. ANALYSE ICONOGRAPHIQUE ET ICONOLOGIQUE DE DIE SKATSPIELER Otto Dix va stigmatiser cette instrumentalisation des mutilés de guerre. Représentés à la terrasse d'un café Les joueurs de Skat exposent leur morbidité à l'avide

une famille juive ; la grand-mère, la mère qui porte son bébé, et les 3 autres enfants. Ils sont pales, affamés, épuisés. Ils ont avec eux leurs affaires car ils sont déportes des ghettos puis emmener dans ce camp sans savoir ce qu'ils allaient leurs arrivés. La grand-mère, elle, est épuisée, accablée. On le voit par sa tenue (dos bossu). De plus, ces petits-enfants se tiennent sur elle. Son regarde est vide. La mère qui se trouve derrière porte son bébé. On peut imaginer qu'elle crie car sa

Marais, qui « fait sa leçon », décrit – avec une grande fidélité à l'œuvre quignardienne – la vie des Sainte Colombe et notamment celle de son maitre. Le générique, sur un plan fixe, met en lumière le visage vieilli de l'acteur Gérard Depardieu, il porte une perruque, son maquillage est grossier et abîmé. Plus visible encore est son attitude : somnolant, affalé sur son siège ; Marais est ici l'image de l'homme de cour déchu, perdu. Outre ce visage égaré, la musique : sont audibles trois notes constamment

ce qui se présentait comme principe du devoir de mémoire se mue bientôt en parade de l'horreur. Les mutilés sont exhibés sur la place publique. Leurs souffrances sont récupérées par la démagogie du pouvoir politique. Chaque État fait étalage de ses porte-drapeaux de la douleur. III. ANALYSE ICONOGRAPHIQUE ET ICONOLOGIQUE DE DIE SKATSPIELER Otto Dix va stigmatiser cette instrumentalisation des mutilés de guerre. Représentés à la terrasse d'un café Les joueurs de Skat exposent leur morbidité à l'avide

vêtements sont, eux aussi, plutôt sombre et ternes. Seuls les blouse blanches et rouges se détachent et contraste par leur couleur.Donc au premier plan à gauche nous voyons une femme qui doit être une une blanchisseuse, Sa silhouette et sa bouche sont tordues et déformées par la douleur et l’épuisement. Douleur et épuisement dues au lourd sceau quel porte et à l’énorme tas de linge appuyé contre sa hanche.Au second plan, nous voyons une mère qui porte son bébé dans les bras. L’auteur insiste sur

c'est a dire 6 mois après le début de la guerre en Corée. Les couleurs de se tableau se rapproche du gris, le tableau est sombre avec des couleurs ternes. Au premier plan,on peut voir le contraste entre les deux groupes. A gauche du tableau il y a les civils nus,les formes de leurs corps sont rondes. A la droite du tableau il y la troupe américaine qui porte des armures. Leurs ligne de corps sont droite, se qui évoque la violence et l'agressivité. Pablo Picasso a donc utilisé la technique du cubisme

descendant. La perception de l’homme est dépendante du regard et de l’intérêt porté par l’observateur à cette dernière. «Ses chevilles étaient si fines qu’elles pliaient par instants et qu’on craignait de les voir se briser.» Chaque détail voit se succéder sur le mode du monologue intérieur le commentaire désapprobateur de l’observateur. La disposition d’esprit négatif d’Aurélien du à un physique disgracieux «ses cheveux étaient ternes ce jour-là, mal tenus […]. C’était disproportionné. Plutôt petite, pâle

inférieur 204 x 60cm. Les personnages sont donc représentés à taille réelle ce qui intensifie la force de l'oeuvre. Il n'y a pas d'écart d'échelle entre le spectateur et l'œuvre. c) Couleurs et lumières Les couleurs utilisées sont très sombre,ternes et sales, tantôt froide(noir, gris…),tantôt plus chaudes(rouge et bruns) mais toutes sont associées à la mort et la destruction. Elle symbolise la pluie, la boue et le sang dont parlent tout les témoignage de poilus. La lumière: les trois panneaux