Porte des Ternes

des instant de grâce, et puis des moments sans vent, plats.La frustration provient de cette alternance, de ce déséquilibre, entre un Spielberg visuellement très inspiré sur des scènes splendides et un Spielberg filmant sans profondeur des images ternes. Le film atteint cependant son but: le message est compris, acquis, appris.Après un holocauste en noir et blanc (La liste de Schindler), le cinéaste s'intéresse à la traite des noirs par les blancs. Une traite sauvage, bestiale, atroce, répugnante

(panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que c’est une couleur organique (celle du sang) mais aussi pour sa valeur symbolique ; dans notre culture le rouge symbolise en effet la violence et parfois la mort. Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme l’est l’univers guerrier que dépeint Otto DIX : une guerre qui se déploie dans la boue et la crasse et qui répand la violence et la mort. La lumière Elle n’est pas traitée de la même manière dans les différents panneaux. Panneau

bouger et lui sourire. Intrigué, il revoit plusieurs fois la jeune fille s'animer sur ses clichés développés et finit par en tomber amoureux au point qu'elle hante ses rêves. Il sombre alors dans une profonde mélancolie qui causera sa mort. Notre étude porte sur l'une des dernières séquences du film, de 1h19m32s à 1h21m56s. La séquence s'ouvre sur un travelling horizontal suivant Isaac qui se précipite hors de son immeuble. Juste avant, il apprenait la mort de l'oiseau de la logeuse, qui fut un déclic

droite : Otto DIX se représente en sauveur transportant dans ses bras un soldat blessé. C'est le seul qui fait face au spectateur. C’est aussi le seul qui possède la capacité de voir. Enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme. Prédelle : ou panneau inférieur représente un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés évoquent le corps du Christ mort représenté dans la prédelle du retable d'Issenheim

lyrique s’appuie sur la réalité moderne· Au vers 3, « antiquité grecque et romaine » exprime le refus de l’art comme une imitation des classiques· Les nombreux verbes de perceptions du texte « ont l’air » (v4), « observent » (v9) témoignent d’un regard porté sur soi· Au vers 5, paradoxe avec la religion, ancienne mais pourtant neuve. Avec « est restée », le poète insiste sur l’immuabilité de cette nouveauté.· La religion est comparée avec l’aviation au vers 6 « comme les hangars de Port-Aviation », qui

brun, le gris et le bleu foncé : des couleurs ternes et froides qui évoquent l’horreur, la tristesse du camp. A l’inverse le sac rouge affiche une couleur vive et chaude qui évoque la vie et l’espoir de la survie grâce à des provisions. C’est aussi le sujet principal du tableau qui exprime ce qui est primordial pour les détenus : se nourrir. Cette œuvre est composée de trois plans : -Au premier plan, on voit un homme, un prisonnier, car il porte un costume rayé, a le crâne rasé, et a gravé sur

romaines et d'un paysage lumineux Au second plan a gauche, dans un temple en pierre au colonnes rainurées, chapiteau corinthiens et toit a caisson, au sol une sorte de damier en marbre polychrome, au fond, un environnement luxueux, un escalier, une porte décorée d'un linteau sculpté. attaché a une colonne surmonté d'une statuette doré, un personnage représentant le christ, a droite, le bourreau brandissant un fouet, entouré de deux spectateurs inconnu et d'un vieil homme vêtu de rose assis a gauche

Garibaldi Saint-Ouen Porte de Saint-Ouen Clignancourt 4 Lamarck Caulaincourt Jules Joffrin La Courneuve Saint-Denis-Porte Aubervilliers de Paris Stade de France La Plaine Saint-Denis Stade de France Fort d'Aubervilliers Porte de Simplon La Courneuve8 mai 1945 7 Porte de 12 la Chapelle Bobigny Pablo Picasso 13 Mairie de Clichy AubervilliersPantin 4 Chemins 5 Provins La Ferté Gaucher Crécy la Chapelle Château Thierry La Ferté Milon Chelles Gournay Porte de Clichy Guy Môquet

on voit : - une petite fille noir portant un vetement blanc qui la met en valeur avec le noir de sa peau .le blanc montre la pureter de l enfant ainsi que l'heroisme dont elle fait preuve . - elle porte dans sa main des objets . - on remarque que les couleurs de ce tableau sont sobres et ternes. - il y a des homme en costume d'apres leurs bracar ce sont des mareschal americain . - dans cette peinture le jaune que l'on retrouve sur la régle,les badges,les bracars represente pour Norman Rokwell

en extérieur jour, sur un pont près d'un bateau. La lumière est agressive, et transcrit parfaitement la forte chaleur de la Palestine en plein jour. En parallèle, les couleurs ne sont pas pour autant accentuée par cette lumière vive, elles semblent ternes, et donnent un effet naturel, comme dans un reportage ou un documentaire. On a tout de suite une impression d'authenticité en observant les images. Les scènes majeurs sont tournées en extérieur, de ce fait, c'est cette lumière qui dominera l'ensemble