Polysémie

éventuelle en vers et en strophes. Identifier ces choix formels, c’est mieux comprendre le pouvoir et la beauté du texte poétique. Le pouvoir des mots et primordiale, le poète est celui qui crée avec des mots. Il renouvelle leur sens en jouant sur leur polysémie et sur leurs connotations ; il les détourne de leur usage habituel, de plus, la prose ressembla à la marche, qui a un objet précis ; la poésie à la danse qui «  ne va nulle part «  (Paul Valéry). La poésie a une dimension plus profonde : elle est

allitération en v 2) Un enfant poète -référence au merveilleux du conte « petit poucet, égrenais, ombres fantastiques» -Enjambement au v6/7 - Référence au mythe d’orphée comparaison lyre/élastiques -Champ de la poésie: rimes, rimant, muse, lyre, pied( polysémie, jeu de mots) - Pointe du sonnet personnification des souliers, présence du registre lyrique mis en parallèle avec «pied» 3)Un sonnet imprégné de fantaisie - sous-titre du sonnet, défintion du mot fantaisie -mélange des niveaux de langues -mélange

l’illusion de se résigner // « L’onde si lasse » => à la fin du poème, c’est lui qui devient las -          Fin de la strophe : « ni temps passé ni les amours reviennent » ð lucidité, désespoir -          « je demeure » = dernier mot du texte Polysémie, plusieurs interprétations possibles :  ð désespoir complet (malgré lui) ð aspect passif                                                                                ð Je suis là, je résiste ; stabilité è Circularité du poème Selon la lecture

majuscule) : lequel ? En quoi ce support vous paraît-il bien choisi ? Que signifie aujourd'hui l'expression « c'est une peau de chagrin » ? Le chagrin est une peau de chèvre ou d'onagre, mais en quoi est-on bien en droit ici de tirer parti de la polysémie de ce mot ? Au terme de vos réponses, vous pouvez établir un bilan qui synthétise l'intérêt du texte. Il s'inscrit dans le genre fantastique, mais illustre aussi des aspects essentiels de la création mythologique chez les romanciers modernes : l'héritage

irrésistible de l'amour » ¨ il utilise un vocabulaire religieux dit à la sensualité pour la toucher : « autel de l'amour », « âme », « pardonner », « serment »... II- lettre sacrilège/libertine 1- double langage ¨ polysémie des mots + expression qui exprime le désir + la sexualité/le plaisir < cf. « ardeur dévorante », « ivresse », « troubles », « je ne finirai pas cette lettre sans être obligé de l'interrompre » ¨ lecture « sensuelle », libertine du passage

Fin de Partie : Quel est le rapport avec le titre ? L'expression « fin de partie » évoque la dernière manche d'un jeu qui définit perdants et gagnants. Loin de réduire la pièce à un sens unique, le titre en ouvre la polysémie. I- Un décor symbolisant la fin A. Des personnages en fin de vie - Tous sont infirmes, ont de grandes difficultés pour se déplacer. Nagg et Nell n’ont plus aucune autonomie et vivent dans des poubelles : preuve qu’ils ont bien vécu et qu’il est temps de

Apollinaire a montré dans d’autres poèmes qu’il savait utiliser un vocabulaire riche ð c’est donc consciemment qu’il a choisi ces termes-là. - L’absence de ponctuation entraîne une ambiguïté du sens : « y fleurit tes yeux » ð ? ð Ambivalence, polysémie - Liberté de versification : les vers 2 et 3 constituent un alexandrin coupé en 2 La troisième strophe est constituée d’une seule longue phrase ð elle allonge le poème - L’utilisation du « et » emphatique en début de vers (v7)

retourner le sens des mots, de lui trouver d’autres sens : « l’air qui lui apporte » v13, v14 : « le monde étoufferait » le poète ainsi travaille à renouveler le langage et à lui donner vie. C- Aspect comique * v1 : « herbes de Provence » polysémie, fait référence aux épices de Provence et aux plantes. * V15 : « En vrai lombric de France » référence patriotique. Humour décalé. * V9 : « le poète est comme un vers de terre » aspect ridicule. * Présence d’humour avec le registre

irréaliste et enfantin II – Volonté d’instruire : Récit DIDACTIQUE Dés le début, la catastrophe est annoncée : - v 3 : « prétendait » → souhait présomptueux - moquerie sur la coquetterie de Perrette - légèreté : morale et intellectuelle (polysémie) - « la dame de ses biens » (v 24) → se moque avec une périphrase : faux titre de noblesse reposé sur du vide. - retour cruel à la réalité v 27 : « en grand danger d’être battue » - le terme de « farce » montre le ridicule → Morale implicite

vivant DEUXIEME RECIT Explication rationnelle : la jeune femme dépérit dans la tour Explication surnaturelle : la tableau aspire la vie de la femme 4. Certains mot sont en italique « charme » l62 (2 sens : séduction et/ou sort). Jeux sur la polysémie des termes &gt; HESITATION CONCLUSION : Le récit fantastique repose sur une ambiguïté. L'enjeu essentiel est de faire progresser le thème de peur. On trouve dans ce seul récit beaucoup de thèmes fantastiques : – le thème de la mort – le thème