Plutarque

lendemain, offrit un sacrifice aux dieux lis ses prouesses, comme remerciement. Etonnamment, Diodore de Sicile reste muet face lpisode de gordien. Plutarque de son ct voque quelques lignes prcises. Ne nous attardons pas sur les dtails, il cite nanmoins toutes les versions connues Il sempara aussi.. le joug de cette manire. Simple et concis, Plutarque ne fait aucun commentaire sur ce passage. Ceci demeure trange quand on observe les diffrentes analyses quil excute sur certaines actions ou traits

l’Antiquité = ils montrent ce qu’ils désirent montrer : chaque auteur se concentre sur un passage lié à leur sujet d’étude et oriente notre vision · Ce qui concerne l’histoire ancienne = prudence (surtout les dates)Point personnalités : Plutarque : Plutarque né vers 46 à Chéronée en Béotie et mort vers 125, est un philosophe, biographe, moraliste et penseur majeur de la Rome antique. Grec d'origine, il est considéré comme un médio-platoniste. Il s'opposa dans certaines de ses 

et références 4.1 Notes 5 Voir aussi 5.1 Bibliographie | Éléments biographiquesLes détails de la vie de Sophocle sont connus, bien qu'assez mal, grâce à une compilation anonyme3, à la Souda4 et aux mentions d'auteurs comme Plutarque ou Athénée5. Il est le fils d'un certain Sophilos et naît en 496 (selon la chronique de Paros6) ou en 495 (selon son biographe anonyme3), à Colone, village près d'Athènes, où il situera sa dernière pièce Œdipe à Colone. Il reçoit une éducation très

soulignée par l'Église catholique, qui rejetait le matérialisme de cette philosophie. C'est en effet par la pieuse fidélité gardée par les disciples, pour le maître et sa doctrine que se distingue l'école épicurienne. C'est une chose merveilleuse, dit Plutarque, comme ses frères étaient affectionnés envers lui ! Les épicuriens aiment leur maître, ils le respectent ; bien plus, ils l'adorent à l'égal d'un dieu. Il était à peine mort que déjà on l'honorait de statues. Sa patrie célébra l'excellence de son

qu’il donne à imiter (bien mal formé : et lequel si j'avoy à façonner de nouveau, je ferois vrayement bien autre qu'il n'est). Il situe ainsi les Essais par rapport au genre littéraire de la biographie d’hommes célèbres, comme les Vies parallèles de Plutarque dont il est un lecteur assidu (voir l’allusion à Demades dans la Vie de Démosthène : « il disait qu’il avait pu souvent se contredire lui-même, mais l’intérêt public, jamais ») : il ne propose pas à voir une vie illustre, mais une vie basse, et sans

physicien, mathématicien et ingénieur. La vie d’Archimède est peu connue, on ne sait pas par exemple s’il a été marié ou a eu des enfants. Les informations le concernant proviennent principalement de Polybe (202 av. J. Chr. - 126 av. J. Chr.), Plutarque (46 - 125), Tite-Live (59 - 17) ou bien encore pour le cas de l’anecdote de la baignoire, de Vitruve, un célèbre architecte romain. Ces écrits sont donc, sauf pour Polybe, très postérieurs à la vie d’Archimède. Concernant les mathématiques, on

prêtre à 25 ans. Comme tous les grands hommes de formation humaniste, Erasme voyage beaucoup en Europe. En Italie, il publie les Adages (recueil de formules et de citations grecques qu'il commente) et d'autres ouvrages d'auteurs grecs (Platon, Plutarque), et latins (Plaute, Sénèque). En Angleterre, il rédige en 1509 l'Eloge de la Folie et le dédie à Thomas More alors conseiller d'Henry VIII, avec lequel il partage son goût pour l'érudition. Pendant 10 ans, au cours de ses nombreux voyages

Caton il y a un complot des médecins grecs qui veulent tuer les barbares et surtout des romains qu'ils diraient Opiques càd imbéciles notions vue dans juvénal opiques qualifie les rat latins qui idiots mange des parchemins couvert de poémes. Plutarque, vie de Caton l'ancien Sur une ambassade grec que l'on peut situé en -155. Sur l'aversion de Caton l'ancien envers la gréce et sa culture. Il attaque les philosophes qu'il qualifie de sophistes, les mots de prédiction nous renvoie aux texte de

part la mousikế, terme qui chez les Grecs regroupe la danse, la poésie et le chant. Pour ce qui est du volet sportif, un entraînement physique pour les deux sexes, comprenant la course à pied et la lutte, disciplines confirmées par Euripide15. Plutarque (Vie de Lycurgue) ajoute à cette liste le lancer du disque et du javelot. Théocrite16 représente des jeunes filles clamant fièrement leur participation aux mêmes courses que les garçons, le long du fleuve Eurotas, et leur recours à l'embrocation

l'âme humaine.  Montaigne n'a de cesse de décrire les infirmités de la condition de l'homme, qu'il abaisse au rang de créature désemparée : "est-ce pas un misérable animal que l'homme?" ("de la modération", chap XXX), "j'enchérirais volontiers sur Plutarque; et dirais qu'il y a plus de distance de tel homme à tel homme qu'il n'y a de tel homme à telle bête" ( "du repentir" chap XLII). Cette infinie diversité de l'homme est pour Montaigne un sujet inépuisable en exprimant que tous les hommes sont égaux