Plutarque

continuer à exister ! Maintenant, à chacun de formuler son avis sur la question. Ce dernier peut varier d’un individu à l’autre en fonction de la signification qu’il donne à ces deux verbes … Selon Plutarque : « Il faut vivre et non seulement exister. »* *http://www.evene.fr/celebre/biographie/plutarque-535.php?citations

édile en 65 av. J.-C., il capte la faveur du peuple en rétablissant le pouvoir des tribuns de la plèbe et en relevant les statues de Marius. Chargé de l’organisation des jeux, il emprunte massivement pour en donner de spectaculaires, alignant selon Plutarque le nombre record de 320 paires de gladiateurs. Parallèlement, César poursuit son activité judiciaire, pour des causes qui flattent le courant des populares. En 64 av. J.-C., il intente des procès contre d’anciens partisans de Sylla, fait condamner

L’anthropologie des grecs et des latins continue donc de nous servir de référence dans notre façon de coucher l’homme sur le papier. 3) Une morale et un art de vivre : par le pragmatisme de leur philosophie, de grands esprits tels que Socrate Plutarque, Sénèque (De la colère, De la vie heureuse) et Horace (latin), dont les poésies et les traités philosophiques furent en vogue à la Renaissance, ont conduit la conscience européenne vers une philosophie profane affranchie de l’idéalisme transcendant

éloges de la culture grecque manifestée aux écritures des écrivains du jeune classicisme. Ronsard lisait Homère, Hésiode et Plutarque. Les livres des romanciers grecs ou ceux des brillants sophistes du IIe et IIIe siècle avant de Christ étaient traduits et impression à l'histoire de la prose française. Amyot avait traduit La vie des hommes illustres et Œuvre morale de Plutarque. Daphnis et Chloé, les ancêtres du genre pastoral, sont traduits et commentés par Blaise de Vigénère. La traduction de Lucien

lesquels certains des citoyens les plus en vue d'Athènes. L'état d'alerte est décrété, des individus inquiétés s’enfuient pendant que le peuple prend les armes et arrête ceux qui n’ont pu s'enfuir. Finalement, l’accusation de Diocleidès est démontée. Plutarque rapporte ainsi7 : « Il n’y avait rien de sûr ni de solide dans les dépositions des dénonciateurs. Un d’entre eux, à qui l’on demandait comment il avait reconnu les visages des Hermocopides, répondit que c’était grâce au clair de lune. C’était absolument

maternel et ferme discipline, sa mère Aurelia donne à Caius et ses deux sœurs Julia une éducation exemplaire17. Cicéron attribuera à cette éducation familiale et à des études assidues l’élégance du latin de César et la qualité de son éloquence18. Plutarque et Suétone souligneront aussi son art des relations en société tout au long de sa vie : amabilité et politesse envers ses hôtes, prodigalité sans retenue, savoir-vivre et bonne tenue dans les banquets (Caton, qui pourtant le déteste, lui accorde

l’empereur Tibère, ayant voulu voir Thamus lui-même, assembla des gens savants dans la théologie païenne, pour apprendre d’eux qui était ce grand Pan ; et il fut conclu que c’était le fils de Mercure et de Pénélope. C’est ainsi que, dans le dialogue où Plutarque traite des oracles qui ont cessé, Cléombrote conte cette histoire, et dit qu’il la tient d’Épithersès, son maître de grammaire, qui était dans le vaisseau de Thamus lorsque la chose arriva. Thulis fut un roi d’Égypte, dont l’empire s’étendait jusqu’à

d’atteinte pour lui, mais de toutes les splendeurs que nous, race mortelle, pouvons toucher il a poussé jusqu’à l’ultime course ; mais ni en nef ni à pied on ne peut découvrir 30 menant à l’assemblée des Hyperboréens la route merveilleuse. » 3 Plutarque parle des îles Fortunées, au large de l'Afrique, de l'île d'Ogygie 4, une île bien 1. Ce conflit est d'ailleurs, pour F. Châtelet, La Naissance de l'histoire, 10/18, 1962, tome 1, p. 338, une idéalisation des Guerres médiques. 2. Pindare, Dixième

campa devant Alésia ». Cette défaite gauloise entrainant le repli dans l’oppidum d’Alésia est repris par deux auteurs antiques postérieurs à l’événement : Plutarque qui a vécu au IIème siècle après J.-C. originaire de Grèce, et Dion Cassius, historien romain d’expression grecque qui lui a vécu au IIIème siècle après J.-C. D’après Plutarque dans Les vies des hommes illustres : « Le plus grand nombre de ceux qui s'étaient sauvés par la fuite se renfermèrent avec leur roi dans la ville d'Alésia

manière de bien traduire d'une langue en autre, mettant en avant l'art de la traduction. Ainsi sont éditées en français les oeuvres de César, Cicéron, Juvénal, Perse et Salluste chez les Romains ; Appien, Diodore, Epictète, Euripide, Homère, Isocrate, Plutarque et Platon chez les Grecs. Ce renouveau de la pensée et de la littérature, côtoyant une affirmation du pouvoir royal et la découverte du Nouveau Monde, ouvrant les portes d'un temps perçu comme celui de l'âge d'or. Cet optimisme envers l'homme