Pléonasme

différent signifie ne pas avoir les mêmes caractéristiques qu'autrui, se distinguer de lui. Etre soi-même, c'est révéler son caractère propre, sa manière propre d'être et de penser. C'est ce qui me rend original et donc, différent d'autrui d'où le pléonasme fondamental qui consiste en ce qu'être soi, c'est forcément être différent d'autrui. Mais est-ce vraiment cela ? Dans « autrui » se cache le terme « autre » qui est à distinguer de « différent ». Être différent, c'est être opposé, ne pas avoir les

décidé d’essayer d’être enfin sérieux et de mettre fin à son défi personnel de concours d’improductivité au bureau, après avoir atteint le score phénoménal de -657% : non seulement cette journée inutile n’aura servi à rien, si ce n’est à faire ce pléonasme, mais en plus un temps précieux perdu lui est directement imputée à cause de multiples erreurs dans la gestion des comptes de l’entreprise … ou comment modifier des tableurs n’importe comment histoire de mettre tout son travail en l’air. L’époque

L'homme qui rit fait partie des livres que je suis sûre de ne jamais oublier. Un grand Hugo mais c'est un pléonasme, non ? Respect Victor ! L'histoire tient du génie et Victor HUGO est un virtuose. Pour la forme, on y retrouve l'écriture foisonnante, passionnée, grandiloquente, lyrique de l'auteur. Pour le fond, c'est un pamphlet violent dénonçant l'injustice. En quelques mots : Un enfant est abandonné sur une plage anglaise. Il s'appelle Gwynplaine et recueille un bébé qui gisait auprès

 L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mot en début de phrase Le pléonasme : Il s'agit de l'emploi d'un terme superflu (exemple : monter en haut) La gradation : des mots sont assemblés successivement de manière croissante ou décroissante Le parallélisme : reprend une structure syntaxique (exemple : partir pour tout laisser, quitter pour tout abandonner) La répétition : le même mot est réécrit plusieurs fois L'allégorie : on représente des valeurs abstraites avec des images

prendre parti). À cette occasion j'ai découvert effaré qu'il existe des hendiadys et des aposiopèses – je ne savais pas ! – des catachrèses, et même des hypallages. Ô puissant bestiaire ! On ne m'avait pas prévenu. Je n'étais pas au courant. Des pléonasmes et des répétitions, oui, chacun connaît cela ; mais des anaphores, mais des hypotaxes, mais des zeugmes, ou zeugma ! Mais des hypallages ! Que le monde est vaste... Et donc, sans ces bizarres chimères, nous dit monsieur Marías, il n'y aurait pas

ses moyens et imagine que le couple se réjouit de la voir dans cette situation, elle leur prête des propos sadiques. CL autorité « dominer » « tutelle » « danser au son de sa flûte » La mère veut avoir la main mise sur les décisions du couple. Pléonasme « petit vacillement à peine perceptible » Le narrateur s’attache à des choses très subtiles

Une figure de style est un procédé qui agit sur la langue et crée un effet de sens ou de sonorité. figures de répétition : -L'anaphore : c'est la répétition d'un mot ou d'un groupe de mot en début de phrase -Le pléonasme : Il s'agit de l'emploi d'un terme superflu -La gradation : des mots sont assemblés successivement de manière croissante ou décroissante -Le paralléllisme : reprend une structrure syntaxique -La répétition : le même mot est réécrit plusieurs fois

texte spécifie tout de même que c’est de son fouet que Pharaon fouaille ses chevaux. Ce pléonasme est utilisé ici comme figure de style pour montrer l’extrême violence de Pharaon. C’est de surcroît « à tour de bras » que les chevaux sont fouettés et, venant clore la gradation, le narrateur spécifie bien qu’il s’agit de fouet « à double lanière », donnant l’impression que toute la force mise en place par le pléonasme est doublée au final. Cette proposition est suivie par une très forte description de

C e passage est extrait du roman L’insoutenable légèreté de l’être de Milan Kundera, écrivain tchèque naturalisé français. Il fut écrit une première fois en tchèque en 1982 avant d’être traduit en français en 1984, traduction révisée depuis 1987 par l’auteur. L’histoire se passe en la région de Bohême dans la Tchécoslovaquie de 1968, année du Printemps de Prague auquel prend suite l’occupation Soviétique. « Le roman est une méditation sur l'existence

recherche de sensations fortes. Ils ont déjà tout essayé et cherchent de plus en plus fort. L’emploi de « Celui-là » (l5-6) et de la restriction « ne…que » nous montre que celui qui ne boit que du vin est considéré comme sobre et qu’il y en a peu. Le pléonasme « usage trop fréquent » (l7) nous laisse penser qu’ils ont tellement bu de vin que c’est devenu leur boisson habituelle. L’antithèse « réveiller leur goût déjà éteint » (l8) est accompagnée d’une personnification du goût. Les jeunes essayent de réveiller