Pléonasme

obscures. Ni vous ni moi n’y avons plus de part, ils nous sont infidèles à jamais. Heureusement, il me reste ma chambre, il sera bon d’y mourir seule. Situé à l’Acte III scène III, page 124. L'auteur à recours au pléonasme ce qui crée un effet d'insistance. Également, dû au pléonasme, l'expression de Martha est plus expressive ce qui nous fait comprendre qu'elle aussi veut mourir et quelle est vraiment désespérer depuis le départ de sa mère. Bref, le langage utiliser par Camus pour retirer tout

et la conjugaison), la syntaxe (constructions de phrases, concordance de temps) et le vocabulaire. Dans une copie de français, la langue employée doit être soignée, ce qui vous interdit les familiarités et les tournures relâchées, mais aussi les pléonasmes, les impropriétés de langage et les expressions consacrées par la « tendance » ravageuse que répand sans scrupule le monde médiatique et des réseaux sociaux, ces cours de récréation virtuelles. On a bien le droit de parler comme on veut, mais d’écrire

|PERSONNIFICATION | |REDONDANCE | | |ALLEGORIE | |PLEONASME | |Par substitution |METONYMIE, |Utilisant la syntaxe |ANAPHORE | | |SYNECDOQUE

Rodrique est tourmenté face au choix du dilemme B. Conséquences dramatiques d’un choix 1. Juxtaposition dans la 2e strophe a) «L’un me rend malheureux, l’autre indigne du jour» (v.27) à Rodrigue est face au choix qu’il est prêt à sacrifier 2. Pléonasme et répétitons a) «trépas» (v.34-45), «mourir» (v.42-44), «mourons» (v.43) C.B. : rodrigue doit faire face à une triste réalité C.II. : Rodrigue doit faire un choix déchirant entre l’honneur et l’amour [III] Une prise de décision libératrice

de particulier ; ce sont les nombreux pléonasmes dont il est affublé et qu’il lui impute une redondance ironique des termes : « Mais les maîtresses maîtrisées ont des cheveux chevelus. Cieux célestes terre terrestre. Mais où est donc la terre céleste ? ». Desnos se sert d’un style verbeux et ambigu puisqu’il n’y a aucun accroissement corrélatif dans ses termes. Il cherche a influencer le lecteur de façon indirecte en renforçant chaques mots par un pléonasme afin de lui donner plus de sens, excepter

saturniens, 1866. *** Texte 1 Oh ! je fus comme fou dans le premier moment, >>> comparaison Hélas ! et je pleurai trois jours amèrement. Vous tous à qui Dieu prit votre chère espérance, Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance, >>> pléonasme Tout ce que j'éprouvais, l'avez-vous éprouvé ? Je voulais me briser le front sur le pavé ; >>> hyperbole Puis je me révoltais, et, par moments, terrible, Je fixais mes regards sur cette chose horrible, Et je n'y croyais pas, et je m'écriais

.................................................................30 3 mots qui changent de genre............................................................31 Les fautes d'orthographe trop fréquentes...........................................32 Pléonasmes........................................................................................33 Foix/ fois/ foie/ foi.............................................................................34 au/ chez.............................................

brin d'herbe sacré qui nous donne le pain. (A. de Musset) Personnification : Métaphore par laquelle un objet est considéré comme animé, un animal comme une personne. Ce fauteuil me tend les bras. Le chien pleurait devant la porte. Pléonasme : Redondance, addition d'un terme dont le sens est déjà présent dans l'énoncé. Je l'ai vu de mes yeux, je l'ai entendu de mes oreilles . (Littré) Descendre en bas. Polyptote (m) : Dans le discours, proximité de plusieurs formes

notion comme agressif, violent, bestial, féroce, abruti, déjéction, animosité, souiller et se vautrer sont le champ lexical de l’animalité. Lexique : Souiller : dégelasse, sale Métamorphose : change de forme Méta : à coter Morph : forme Pléonasme : parler tout le temps avec « je » Xénophobie : peur d’un peuple Xéno : peuple Phobie : peur

de sujet, il devient objet : « L’un me heurte », « Des paveurs […] me bouchent le passage ». L’enjambement entre les deux premiers vers fait ressortir le contraste entre cet homme, seul, et la foule, amplifié par les choix lexicaux qui forment un pléonasme : « la presse / D’un peuple d’importuns qui fourmillent sans cesse ». Puis le « je » s’efface dans la suite du texte, comme si le bruit ne lui permettait plus de faire entendre sa voix : « on n’entend que des cris » (v. 31) forme une généralisation