Pléonasme

Devoir 3C – Dissertation critique 1 Sujet de dissertation critique A-t-on raison de penser que Saint-Denys Garneau et Émile Nelligan présentent, dans Cage d'oiseau et Les Corbeaux , une même vision de la fatalité ? Discutez. Pour commencer, la fatalité est associée à une mort funèbre (V) dans Cage d’oiseau de Saint-Denys

sans paroles réelles (sc. 1) / Jurons comme " diantre " (sc. 2, p.27) / Langage familier : " Je m’en goberge " (sc. 1), " gaillard " (sc. 2) 2/Des tics de langage : " un brin " (p.48, 50) 3/Les fautes de langage comme les pléonasmes : " comme vous êtes civil et poli " (sc.1), " En fin finale " (sc. 11) 4/Les bons mots : " Le tout gratis, sans purgation ni saignée " (sc. 2) 5/Alors que le maître maîtrise la rhétorique Au départ, les maîtres chez Marivaux

• Mon patron, Monsieur/monsieur xxxx, est formidable Testez votre orthographe (Vous devez trouver au moins cent fautes dans ce texte. Toutes ne sont pas des fautes d'orthographe au sens strict, certaines sont des fautes de style, des pléonasmes ou même des mots familiers à éviter (qui ne sont pas comptés dans la centaine de fautes !) Au niveau lexical, ce texte ne semble pas un texte spécial, mais la correction fait ressortir les erreurs ! En visionnant ces phrases, vous

Hazel et ne peut lui dire à cause du Capitaine : « Quand Françoise découvrit le visage de la jeune fille, elle ressentit un choc d’une violence extrême. Fidèle aux instructions qu’elle avait reçues, elle n’en laissa rien paraître. » (l.171-175) Le pléonasme, « un choc d’une violence extrême », décrit parfaitement la réaction de l’infirmière lorsqu’elle aperçoit le magnifique visage que porte Hazel. Malheureusement, Françoise ne doit montrer aucune émotion et ne rien dire à Hazel sur ce qu’elle vient

par Satan profanés ACCUMULATION Juxtaposition d'une série de termes Ex: Un gros meuble à tiroirs encombrés de bilans, de vers, de billets doux, de procès, de romances IRONIE Dire le contraire de ce que l’on pense Ex: Surtout ne te presse pas ! PLEONASME Répétition de termes superflue Ex: Un géant vraiment grand SYNECDOQUE Remplacer un mot par un autre ayant une relation d’inclusion avec celui-ci (la partie pour le tout ou le tout pour la partie). Cas particulier de la métonymie. Ex: Le tout pour

a- dimension comique, ton léger objets de décoration cités sont des objets banals qui n'ont rien de luxueux comique de mots : « ces fleurs artificielles auront fleuri » vers 17-18, « mes parents (ceux dont je suis l'enfant) » vers 21 qui est un pléonasme. vers 2 : comparaison ridicule, le poète ne nous voit pas donc ne peut pas voir la cheminée vers 16 : la vente d'un napperon est ridicule mélange de registre familier et soutenu (présentation grivoise de la statue vers 6 et description de la glace

définir (Nos goûts, nos sentiments…) Cela peut renvoyer aussi au fait d’être naturel, faire ce que l’on veut être spontané. Satisfaire ses désirs ou pulsions immédiates. Ça peut signifier être constant dans ses choix. «Être soi-même » est presque un pléonasme, Car cela parait évident, si l’on existe nous sommes nous-mêmes. On ne peut pas être autres que nous-mêmes. Ne pas être soi-même peut aussi correspondre à la non-maitrise de soi, dans le cas de maladies ou de prises de substances qui modifient le

de la justice : « bien » ; « mal » ; « balance ». B. L’émancipation des esprits La nécessité de penser par soi-même au premier plan : « Il faut commencer par » L’essentiel est de : « se bien dire à soi-même et par se bien convaincre » = pléonasme, insistance. Mme du Châtelet, seule, femme, se proclame garante de la morale épicurienne, face aux « moralistes », nombreux et très influents => les opinions s’affirment et divergent. Thème central des Lumières dans Kant, Qu’est-ce que les Lumières

présenté comme habituel et rituel : « quoique cela ne soit pas la coutume »(l.24). b) Un spectacle : * Dimension spectaculaire donnée à l’événement, valorisation par adjectifs mélioratifs : « bel autodafé »(l.4), « grande cérémonie »(l.6) ( ici pléonasme), « belle musique »(l.21). * Opposition entre la rapidité de l’évocation de la prison « huit jours après »(l.14) ( ellipse narrative qui donne l’impression d’être expédié) et le ralentissement mettant en valeur la cérémonie, notamment du fait

qu’elle ressent. En effet, elle supplie, ordonne à Hippolyte de lui donner la mort ou de la frapper. L’utilisation de l’impératif présent (« venge-toi », « punis-moi » v.30, « frappe » v.38) montre son désespoir. De plus, en se désignant par le pléonasme « monstre affreux » v.34, Phèdre met en valeur l’extrême vilénie de son amour interdit. Par ce procédé, elle donne une raison de plus à son beau-fils pour mettre fin à sa vie. Enfin, elle se livre totalement à son destin face à Hippolyte. Le présentatif