Pictural Et Linéaire

et religieuses qui étaient à l’œuvre dans la peinture avant : art devient une science avec ses lois et ses règles mathématiques : mais derrière, vision du monde (centrale et linéaire, point de vue unique) 3 niveaux d’analyse : - iconique : la dimension proprement plastique - iconographique : les conventions picturales permettant son identification - iconologique : la vision du monde sous tendue par l’image - relation d’interdépendance entre le niveau général d’une « culture » et celui

XVIème siècle. Désormais, les peintres représentent des scènes religieuses plus sensibles, avec des personnages aux apparences plus humaines et des portraits de gens non nobles apparaissent. Ainsi, le XVème siècle marque une rupture avec la tradition picturale que l'on appelle « gothique » et qui était imprégnée de l’esprit du Moyen-Age. B) Le parcours artistique de l'artiste Page 3 sur 11 En 1408, à l’âge de 21 ans, Guido di pietro rentre au couvent de Fiesole, situé sur les hauteurs de Florence.

Kandinsky appliquent la temporalité de la musique sur la toile et s'expriment par des références musicales. Des éléments communs apparaissent entre les Arts : la dynamique du son correspond à l'intensité de la lumière. Les lignes et les formes picturales possèdent un rythme (ceci plus accentué encore dans l'architecture), correspondant à la durée et à la rythmique musicale. Peï, l'architecte de la pyramide du Louvre, disait récemment : "l'architecture n'est autre que de la musique figée" et l'architecte

propos l’analyse de Blumen-Mythos de Paul Klee faite par Thürlemann (1982), où le semioticien tente de construire des classes des éléments de surface et des élements linéaires qui ne sont répérables qu’à l’intérieur du tableau. 15. Un contre-exemple est celui de Paul Klee (1964) qui a construit des sortes d’alphabets picturaux. MARIA GIULIA DONDERO / L’ÉNONCIATION ÉNONCÉE DANS L’IMAGE 245 procès. Si on devait suivre cette voie, chaque énoncé visuel déploierait ses propres outils de compréhension

représentation de la profondeur spatiale. Règles de perspective codifiées par Léon Battista Alberti (dans de Pictura), architecte italien. Elles disent que tout le tableau doit converger vers un point de fuite. Deux types de perspective : • Linéaire : convergence des éléments vers un point (peintres du Quattrocento). • Aérien : représentation des distances par les dégradés (primitifs flamands). Proportion Rapport de mesure étudié, produisant un effet d’harmonie entre les parties

dans la mort, intégrité de Caignet... Le narrateur déroule les faits choisis et les interprète sans laisser d'initiative au lecteur autre que celle d'imaginer les scènes. o dans le film, une construction en flash-back alors que la construction est linéaire dans le roman. Cette différence de construction donne une dimension mélancolique au film (retour sur un passé heureux, regrets...). · dans les visées de l’oeuvre : o o o o o subjectivité de la voix off : jusqu'à quel point considérer

officiel de l’Empire qui n’en admet pas d’autres. On retiendra de celui-ci un ensemble de sujets puisés dans l’histoire et faisant valoir des modèles héroïques et sur le plan plastique la domination des valeurs graphiques et linéaires au détriment des valeurs picturales. (Ingres apparaît comme une figure transitoire, à la fois suiveur de David pour ce qui est de la « ligne idéale épurée» et néanmoins novateur par l’extraordinaire plasticité des formes développant librement des jeux d’arabesques)

officiel de l’Empire qui n’en admet pas d’autres. On retiendra de celui-ci un ensemble de sujets puisés dans l’histoire et faisant valoir des modèles héroïques et sur le plan plastique la domination des valeurs graphiques et linéaires au détriment des valeurs picturales. (Ingres apparaît comme une figure transitoire, à la fois suiveur de David pour ce qui est de la « ligne idéale épurée» et néanmoins novateur par l’extraordinaire plasticité des formes développant librement des jeux d’arabesques)

une rupture fantastique qui est confirmé par le bouleversement qu’entraîne l’apparition du livre. Il remet en cause toute la structure habituelle du livre en le rendant «infini» car il ne lui attribut ni début ni fin et la numérotation n’est pas linéaire. Le parcours de lecture n’est donc pas unique. Avec cette oeuvre l’auteur met en avant que l’idée d’infini se rapproche de l’hypertexte qui dépasse la contrainte de début et de fin. Dès les premières lignes Borges parle d’«Hypervolumenes». La notion

d’ateliers représente un parcours de travail, jalonné par des motifs divers Ce parcours invite à une expérience originale de l’art et de la littérature, les propositions étant le plus souvent associées à la rencontre d’une oeuvre extérieure (littéraire, picturale ou musicale) L’atelier cultive également l’écoute et l’attention réciproque : un temps de lecture à voix haute et d’échanges accompagnant chaque moment d’écriture. Ethique Tous les participants écrivent et s’engagent à lire les textes produits en