Photographie Sentiment

La photographie selon Roland Barthes Né le 12 novembre 1915 à Cherbourg l’écrivain, critique et sémiologue, Roland Barthes fut l'un des principaux animateurs de l'aventure structuraliste française. Le Degré zéro de l'écriture, paru en 1953, fut rapidement considéré comme le manifeste d'une
" nouvelle critique " soucieuse de la logique immanente du texte. Ses Mythologies (1957) le firent connaître d'un vaste public. Avec Le Plaisir du texte (1973), Roland Barthes par Roland Barthes (1975), Fragments

allemands. Hilla Wobeser, née en 1934 à Potsdam et Bernd Becher, né en 1931 à Siegen, se rencontrent en 1959 à lʼAcadémie des Beaux-Art de Düsseldorf. La photographie sʼest imposée à Bernd Becher par nécessité; il y recourt en 1957 pour faire le portrait dʼune mine en voie de démolition. Ils débutent leur collaboration avec une série de photographies de mines et maisons ouvrières dʼune zone industrielle en Allemagne. Ces photographes mèneront, pendant plus de 40 ans, un projet descriptif et systématique

un regard décalé. Sculpteur-plasticien, il utilise la photographie comme un jeu d’images et de regards croisés. (Regards croisés entre : celui du spectateur qui cherche à voir le personnage, le personnage qui regarde le paysage et ce dernier qui s’offre un nouveau point de vue par l’œil du photographe) Un ciel à l’envers de quoi tomber à la renverse ?! Il crée la surprise, un nouveau point de vue sur l’extérieur. A partir de ce sentiment étrange, le spectateur cherche le détail, l’illusion. (La

Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou à Paris. Dans cette série l'artiste prétend montrer des animaux qu'il aurait découverts, empaillés, en Écosse, à partir des recherches d'un scientifique mystérieusement disparu. Ses photographies sont à la limite entre le jour et la nuit, le visible et l’invisible. Il a réalisé des montages et des trucages subtils dans les images qui nous laissent une impression “d’étrange“. Le travail final propose une installation avec une interaction

ses plans simple sont finement accordés et harmonieux. Dès lors, ses yeux bleu gris, ses lèvres rose foncée et sa peau de type Caucase ressortent d’avantage. La complexité dans cette oeuvre réside dans le manque d’informations que transmet la photographie. Hors mit ce qu’il y’a de visible et d’évident, l’absence de mise en scène, de tenues vestimentaires et de tout autres détails ne laisse pas de place à l’interprétation ou l’analyse psychologique du personnage. La photo ne montre pas plus que ce

Cassation considère que le sujet de l’article était écrit dans le but légitime de satisfaire le droit à l’information d’actualité des lecteurs, que la veuve est impliquée dans le décès de son mari par le lien du mariage qui les unissait, que les photographies illustrent de manière appropriée le sujet de l’article mais que surtout elles ne sont en rien une atteinte à la dignité de la veuve. Arrêt du 4 Novembre 2011 La première chambre civile de la Cour de Cassation La 4 novembre 2011

domaine familial, évitant alors une situation familial oppressante et part dans un pensionnat à Andover, Massachusetts, puis entre quelque temps plus tard dans une école privée de l'Académie Abbott où elle commence à porter un réel intérêt pour la photographie. Elle prend d'ailleurs son premier autoportrait à l'âge de 13 ans avec un Yashica 6x6, qu'elle utlisera durant tout son parcours artistique. En septembre 1975, elle entre au Rhode Island School of Design, une école des beaux arts, où elle poursuit

de l'usine de teinturerie proche. La grand-mère à Anny Duperey était couturière à domicile et son grand-père électricien. Sa tante, elle, était secrétaire. L'auteur dormait dans la même chambre que ses parents. Son père avait son laboratoire de photographie à côté et sa maman ne travaillait pas. Anny Duperey tient son amour des animaux de sa grand-mère qui possédait des poules et une dizaine de chats. Ses parents décident de déménager pour pouvoir vivre plus tranquillement et parce que ils allaient

stills » (« Photographie de plateau sans titre ») est une série d’environ 69 photos en noir et blanc qui reprend le genre des « stills » des films de série B des années 1950. (série B : film à budget réduit, tourné rapidement et dont le générique ne comprend pas de grandes vedettes.) Chaque « stills » est l’image d’une femme clichée, dans un décor réel. Mais si les photos sont faciles à situer au premier regard, elles ont quelque chose d’inconfortable, d’incommode. C’est ce sentiment d’ « inquiétante

Fiche de lecture : Arnaud Claass, Le réel de la photographie, 2012, éd. Filigranes Repères biographiques et introduction sur Le réel de la photographie. Arnaud Claass est un photographe français né en 1949. C'est également un théoricien de la photographie (bien qu'il refuse ce terme de théoricien) qui enseigne à l'Ecole nationale de la photographie d'Arles depuis 1982. Co-fondateur des Cahiers de la photographie, il publie de nombreux ouvrages, dont le dernier en date qui fera l'objet